Nosferatu est une fable gothique, l’histoire d’une obsession entre une jeune femme tourmentée et le terrifiant vampire qui s’en est épris, avec toute l’horreur qu’elle va répandre dans son sillage. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Merci à themightywatcher qui a créé cette fiche
Le film est trop vampirisé par ses belles images et oublie de susciter le trouble, l'angoisse et l'érotisme propres à l'infernale créature...
J'ai un avis contraire à Lesfilmsdelogre comme d'habitude ! La réalisation avec une seule idée de mise en scène est pauvre.. le film n'est que pan ou tilt lents.. c'est d'un ennui...
Si on couple ça au scénario qui est inintéressant, on obtient un film rompiche rompiche. Seul point positif : Aaron Taylor Johnson <3 toujours incroyable, qu'importe le texte.
Il faut que Robert Eggers réglé son problème avec les femmes qui se dévouent pour les hommes, et son trip faussement historique plein de clichés sorti de Discovery Channel..
L'esthétique en elle même est plutôt irréprochable mais oui, ça manque peut être de folie niveau mouvement de caméra, l'ensemble est propre malgré le sujet et l'ambiance et le problème est peut être là. Trop propre pour une histoire aussi sombre et gothique.
Quant au méchant, il est un peu cliché, grosse voix caverneuse de ouf jamais naturelle, ça effraie beaucoup moins qu'un méchant avec une voix normale. Les méchants les plus effrayants sont un peu les Monsieur tout le monde et ici on est sur un spectre opposé.
Après c'est cool de voir Nicholas Hoult et sa carrière un peu bouger, Lily Rose Depp joue bien la possession même si des fois ça frôle inévitablement le ridicule.
Je précise que c'est ma première rencontre avec Nosferatu (je vais corriger ces lacunes en 2025).
Nosferatu meets Alice madness returns
peut-être l'interprétation la plus intéressante, loin devant celle de Werner Herzog. la métaphore érotique est ultra poussée, la photo est sublîme et la mise en scène nous révèle qq surprises dont j'espère un jour voir les images de tournage.
Le film est honnête, conscient de son héritage et de ses références, qu'il assume pleinement et réemploi judicieusement. Le scénario est globalement l'original, comme lui il tient en 4 lignes. Il s'offre quand même le luxe de nous montrer ce qu'est un vampire, plutôt que de nous l'expliquer sur une page de manuscrit ; ainsi que de creuser les relations des personnages entre eux en affirmant le caractère actif d'Helen.
J'ai aimé les jeux d'ombres et le discours sous-jacent sur la nature du monstre de cinéma. Bill Skarsgard est méconnaissable, même si plus iconique en rideau qu'en prothèses.
Je me demande quand même si on peut apprécier ce film sans connaître ses prédécesseurs. Quelqu'un qui rencontrerait Nosferatu pour la première fois ne voit-il pas là qu'un petit film gothique classique avec quelques jumpscares pour tromper l'ennui ?
N'empêche, faut reconnaître que c'est plus dynamique et mieux ficelé que la version 1922, quant bien même elle reste mon indécrottable préférée.
Quite à faire du re-make, j'aurais peut-être aimé un peu plus d'audace et de goût du jour dans le propos.
Ce fut un peu comme regarder quelqu'un faire une crise d'asthme pendant deux heures, entrecoupé de crises d'épilepsie.
On peut dire que le film a su générer chez moi du malaise. Ça, et la bande son trop forte, et l'absence globale de lumière, qui donnait envie de leur refiler des lanternes à toutes les scènes. Pas fan de la réalisation d'Eggers ce coup-ci.
Cependant, le film fait quand même le job. J'ai trouvé que ça s'améliorait nettement à l'arrivée de Willem Dafoe. Toute la fin est plutôt sympa.
Et puis, niveau histoire, sa seigneurie le comte Orlok reste toujours un personnage mythique.
Les acteurs sont bien le film est pas mal mais il rappelle trop l'histoire de Dracula de Bram stoker, on va pas se mentir ses du copie colle de Dracula avec quelque différence par si par la ses dommage !
Esthétiquement c’est incroyable !
Je suis contente de ne pas être aller au cinéma… C’est tellement une déception pour moi
La réal est inc mais le film est chiant bien que divertissant au début.
L'accent du compte Orlok, les dialogues... tout est surjoué et c'est une décision artistique que je comprend. Mais cela rend le film presque drôle. Super beau. Mais involontairement comique.
J'aurai sans doute plus apprécié le film si je n'avais pas su qu'au départ c'était Anya Taylor Joy qui aurait dû jouer Ellen. Je suis déjà pas fan du jeu de Lily-Rose Depp (même si elle s'en sort correctement ici) , mais là j'ai passé le film à me dire que ça aurait été tellement mieux joué par Anya Taylor Joy. Sinon fidèle à l'esthétique du réalisateur et plutôt bonne adaptation du film de 1922.
Très déçue. Qu'est-ce que c'était naze.
Le film est beau, mais c'est tout ce qu'il a pour lui. Même s'il a une certaine esthétique, tout est froid, ça manque de personnalité. La storyline est barbante au possible, en plus d'être cousue de fil blanc. (Apparemment, c'est un remake d'un autre film de 1922 que je n'ai jamais visionné, donc cet aspect est propre à moi.) Surtout, j'ai trouvé l'histoire interminable avec énormément de remplissage en prime : ça met du temps à réellement décoller. Et quand ça décolle, c'est juste ennuyant.
Je n'ai pas aimé tout le côté "too much" de la réa... Tout est tellement surjoué que ça fait cliché de film d'horreur. Le Comte Nosferatu est RIDICULE et toutes les scènes de possession etc aussi. Idem pour les scènes pseudo érotiques.
A contrario, j'ai été agréablement surprise par Lily-Rose Depp qui a bien géré son rôle.
Dommage que le film soit à ce point insipide quoi...
Bref, ce film m'a lassée et fatiguée, j'ai eu l'impression qu'il durait 3 heures alors que non. Next.
Bon, ici, on est donc sur la version du Nosferatu, qui je le rappelle, est en fait une version alternative, artistiquement parlant, puisque le premier film sorti en 1922 devait être la première adaptation du roman de Stoker, mais comme ils n'ont pas eu les droits de l'adapter, ils ont fait quelques changements, notamment sur l'apparence du vampire, sa nature et enfin son point faible, il n'est donc plus un aristocrate séduisant, mais une créature laide et repoussante, il ne symbolise plus la séduction et l’érotisme, mais la peste et la maladie (d'où le parallèle avec les rats), et son point faible n'est plus un pieu dans le cœur, mais la lumière du soleil. L'histoire reste quasiment la même cela dit.
Je n'ai personnellement pas vu la version de 1922, mais le peu d'images que j'en ai vues étant enfant avait suffi à me marquer au fer rouge, jusqu'à aujourd'hui, plus de vingt ans après. C'est par là que je vais commencer, l'aspect visuel du film.
Le film est très propre visuellement, et s'inscrit vraiment dans la lignée artistique du premier métrage de 1922, le côté expressionniste en moins), c'est-à-dire à dire avec un maximum de noir et de blanc, mais je trouve que le contraste entre les deux est mal géré, le noir est des fois trop intense je trouve par rapport au blanc, lors de certaines scènes de nuit.
On retrouve évidemment les plans inévitables pour ce genre de film, comme un plan du château de loin etc.
Après au niveau visuel ça manquait de scènes fortes avec le Nosferatu, qui n'était pas très marquant, je trouve, en gros, c'est beau, mais ça manque de folie à ce niveau-là, Dommage.
Pour ce qui est des acteurs, le casting me faisait peur au départ, Bill Skarsgard en Nosferatu j'étais pas fan du tout, mais au final il s'efface très bien et on ne le reconnait pas, après faut dire que son personnage ne nécessite quasiment aucune émotion ni expression, ce qui doit aider. Lilly-Depp, dont je suis pas fan non plus mais qui s'en sort plutôt bien, je m'attendais à bien pire.
Au final je ne retiens que Willem Dafoe (béni sois-tu !) et Aaron Taylor-Johnson, qui dégage bien plus de choses que Nicolas Hoult, alors qu'il a un rôle secondaire, c'est terrible.
Et puis coté musique je ne retiens riens de marquant, ça décolle juste vers la fin du dernier acte.
Voilà pour moi, je trouve le film assez moyen et c'est dommage, il aurait gagner à aller beaucoup plus loin dans la mise en scène et l'aspect visuelle globale, qui est trop timide en ce qui me concerne.
Une très bonne adaptation de Dracula (rappelons que Nosferatu à la base était une adaptation non officielle du roman, il est donc parfaitement normale que la trame y ressemble). Ce Dracula/Orlok est très proche du Dracula de Stoker, bestial et repoussant. J'ai apprécié mais faut reconnaître que le film est mainstream au possible, rien de très innovant. Persos attachants, acteurices investi.e.s, atmosphère sonore bien flippante, décors et costumes cools, mais mise en scène basique, photographie filtre froid fade.
Un remake visuellement fort mais inégal
Robert Eggers signe un Nosferatu ambitieux, visuellement superbe et fidèle à l’atmosphère gothique du classique. L’esthétique est soignée, le jeu d’ombres remarquable, et la mise en scène dégage une vraie tension.
Mais certains choix déroutent : la voix grossière du vampire casse un peu le mystère, et l’ensemble tombe parfois dans le cliché, surtout dans la seconde moitié.
Le film reste fascinant sur le plan visuel, mais manque de la subtilité et de la terreur poétique qu’on pouvait attendre d’un réalisateur comme Eggers.
Un remake intéressant, mais qui ne parvient pas à dépasser l’ombre du mythe.