Michael Myers, échappé de l'hôpital psychiatrique, sème de nouveau la terreur dans la petite ville d'Haddonfield. Les habitants fêtent Halloween, la nuit des sorcières et la police a bien du mal à démasquer le meurtrier.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Benben qui a créé cette fiche
Le film débute quelques secondes après la fin du premier volet... Enorme :)
Le meilleur de la saga Halloween pour ma part. Super flippant, j'adore.
Suite directe du presque chef d’œuvre de John Carpenter, « Halloween 2 » vaut principalement le coup d’œil grâce à cette opposition transitoire entre Laurie Strode (Jamie Lee Curtis) et son frère Michael Myers qui donne l’impression de venir tout droit des cieux, lui qui est touché par une force herculéenne l’empêchant de trépasser. Pour ce qui est du reste, c’est à revoir dans les grandes lignes. Rick Rosenthal est loin d’offrir la dynamique nécessaire et ce huit clos se déroulant principalement dans l’hôpital d’Haddonfield fait du surplace en plus de simuler l’angoisse, la paralysant à (plus que) demi-mesure. Et lorsque l’on s’attaque au mythe, il convient de lui faire honneur à défaut de lui apporter l’intention qu’il devrait mériter…
Super une suite juste après le premier film, mais que de scènes longues !
Au ralenti
Il y a de l'idée avec la suite direct et le huis-clos mais en vrai le film se contente de faire un peu comme le premier en moins bien .. il vit pour essayer de la tuer puis mourir. Au final assez ennuyeux et sa lenteur vraiment exagérée pour la scène de l'ascenseur
Très pénible, avec des longueurs, et des meurtres peu inspirés. Laurie n'est un final qu'un personnage secondaire, n'apparaîssant que très peu. Rick Rosenthal fait ce qu'il peut pour singer la réalisation de Carpenter, en vain.
C'est très peu prenant, on s'ennuie devant cette suite. Dans le 1er, il y avait une certaine tension, une ambiance. Là, plus rien. Michael Myers parvenait à faire peur, même quand on était à l'extérieur. Une tension, ça se crée, ça se fabrique. Je suis désolé, mais Rosenthal ne sait pas faire. Et puis on situe le gros de l'action et le climax dans un hôpital, qui ne semble être occuper que par 2-3 patients, quelques infirmières... C'est très peu crédible et idiot.