Sunread26 a dit (12 Août 2025 à 21:28)
Emmessem a dit (10 Août 2025 à 09:49)
J'ai tout kiffé. Il est entré instantanément - et ce dès la première heure de jeu - dans mon top de l'année, voire de toute ma vie, pas très loin de MASS EFFECT, même si j'ai pas encore fait de classement. C'est un RPG et pourtant, je suis pas forcément toujours fan, parce qu'il faut toujours faire gaffe à comment on construit ses personnages pour qu'ils soient forts (et c'est le point faible du jeu : on peut faire des trucs très chouettes, mais je trouve que c'est alambiqué, alors que pour y avoir passé 60 heures, je sais qu'on peut faire plus simple). Le gameplay me rebutait un peu à cause du tour par tour, mais en fait c'est carrément brillant de te rendre actif, même pendant le tour des PNJs. La direction artistique entre Belle Epoque et Jules Verne m'a rendu jaloux parce que j'avais un projet similaire il y a quelques années (et mon ex, cette grosse pute, aussi, donc tant mieux qu'il soit sorti avant le sien). La musique est incroyable, je l'écoute en boucle sur Spotify ; parfois, on sent quand même que la VF a un souci de mixage, mais je pardonne, parce que beaucoup de jeux ont ce souci. Le scénario m'a fait pleurer 50 fois, même en aftergame, donc j'imagine que c'est l'un des meilleurs que j'ai vus ; et pourtant, je suis difficile. Voilà, c'est ma pépite de l'année et j'espère qu'il sera GOTY.
Sunread26 a dit (07 Août 2025 à 21:14)
z0rr0 a dit (07 Août 2025 à 19:25)
Bon defouloir de 30mn mais de la à le finir ^^
meilleur score 67080 avec 1 credit mode urban fighters
z0rr0 a dit (07 Août 2025 à 18:30)
Beau jeu de 2013 et exclus ps4 , fini en 16h mode difficile .
Franz26 a dit (07 Août 2025 à 07:35)
Nouvelle compilation Castlevania sur Nintendo Switch : c’est désormais la trilogie Game Boy Advance qui est à l’honneur. Et ça tombe bien, après la claque Symphony of the Night, ces épisodes portables ont largement contribué à mon amour pour la saga de Konami.
Depuis l'ère GBA, j’ai non seulement refait mon retard sur la licence avec la plupart des épisodes 16 et 8 bits, mais aussi touché à tous les volets ultérieurs de cette franchise qui me tient à cœur. Une saga depuis reléguée aux oubliettes par Konami, mais ayant marqué l’Histoire - avec un grand H - du jeu vidéo. Appâté par ce nouvel élan de nostalgie, dont l’écho résonne d’autant plus fort grâce au mode nomade de la Switch, c’est avec un plaisir non dissimulé que je m’improvise à nouveau chasseur de vampire dans les dédales tortueux du château de Dracula.
CIRCLE OF THE MOON (14/20)
Premier volet de la saga à voir le jour sur Game Boy Advance, Circle of the Moon accompagne le lancement de la console et démontre avec brio les capacités de la nouvelle portable. Techniquement abouti, même si ses suites feront bien mieux, il n’a pas grand-chose à envier à la référence Super Castlevania IV. Une brève introduction expose un synopsis qui tient en 3 lignes : Nathan Graves se retrouve piégé dans le château du comte et va chercher à délivrer son mentor des griffes du démon, fraichement ressuscité.
Un scénario anecdotique qui n’empêche pas une exploration captivante, s’inscrivant dans la continuité de Symphony of the Night et sa recette « Metroidvaniesque » aux faux airs d'Action-RPG. On retrouve donc un héros montant en puissance grâce aux points d’expérience et à l’équipement ramassé. Après chaque boss vaincu, de nouvelles compétences donnent accès à des zones jusqu’alors bloquées. Double saut, dash vertical, gants de force, etc… , des classiques depuis vus et revus, mais une recette toujours efficace. Konami a toutefois intégré une petite originalité propre à ce Circle of the Moon : les cartes de tarots. Ramassées aléatoirement sur les cadavres ennemis moyennant un taux de drop variable, elles permettent de déclencher un pouvoir magique passif ou offensif tout en puisant dans vos PM. A vous de tester différentes associations pour découvrir l’effet déclenché, souvent bien utile !
Ne croyez pas pour autant que votre expédition va s’apparenter à une promenade de santé. Si la traditionnelle mappemonde balise avec brio votre chemin, entrecoupé de salles de sauvegardes et de téléporteurs bienvenus, le bestiaire, lui, ne vous feras pas de cadeau ! L’abondance de mobs et leur patern parfois vicieux nécessitent une certaine prudence. Quant aux boss, nombreux, variés et gigantesques, ils imposent des sessions de « hard try » pur pour en venir à bout ! Et c’est là qu’on apprécie d’autant plus la nouvelle fonctionnalité de ce portage Switch : les « saves-states » ! Ces dernières apportent un confort de jeu inédit, particulièrement appréciable lorsqu’il s’agit de recharger instantanément sa partie juste devant le boss en cas de fail… Ce qui sera courant ! En effet, venir à bout des derniers obstacles du jeu se révèle conditionné à une exploration minutieuse, afin de bénéficier d’un maximum d’upgrades pour accélérer la montée en puissance de Nathan. Croyez-moi : ce ne sera pas de trop !
Une fois proche des 100%, il est alors temps de défier l’infâme Dracula et mettre fin à cette aventure épique et, un peu artificiellement certes puisque ponctuée d’échecs répétitifs, assez longue. Comptez entre 12 et 15h pour en voir le bout, tout à fait honnête pour le genre et un titre datant de 2001. Son âge traduit néanmoins une certaine rigidité dans les contrôles, et la fluidité des sauts et des attaques laisse un peu à désirer aujourd’hui.
Une fois n’est pas coutume, ce Castlevania se pare d’une ambiance sonore aux petits oignons avec des thèmes variés et entrainant qui transcendent l’exploration. On est bien loin de la perfection auditive de Symphony of The Night, mais le constat reste reluisant, bénéficie d'une sortie audio bien meilleure, et profite également d’un Sound Design convaincant. Convaincant, le Level Design l’est tout autant. Un enchevêtrement de couloirs savamment étudié, fourmillant de passages secrets et de murs destructibles, forme un tout aussi cohérant que labyrinthique. En résulte un terrain de jeu de qualité, tant sur le fond que sur la forme.
A défaut de s’imposer comme un épisode phare de la franchise, ce Castlevania : Circle of the Moon tient ses promesses et ouvre le bal d’une trilogie GBA qui va s’épanouir avec les deux prochains opus. Quant à la plus-value de ce portage Switch, elle se limite avant tout à l’accessibilité d’un titre devenu rare et à une résolution impeccable en mode nomade. Une aventure rugueuse, parfois un tantinet austère, mais emplie de qualités et encore tout à fait viable en 2025. Une mise en bouche agréable avant d’attaquer le plat de résistance : l’excellent Harmony of Dissonance.
leopolochon a dit (06 Août 2025 à 00:10)
bon jeu sans plus, trop de remplissage inutile + plagiat mario odyssey sur les thèmes des strates
Mijak a dit (04 Août 2025 à 20:46)
Un visual novel avec du combat tactique sur échiquier. Bon. J'aurais peut-être plus accroché si ce n'était pas cette thématique.
Sunread26 a dit (31 Juillet 2025 à 18:05)