z0rr0 a dit (06 Novembre 2025 à 20:55)
le gameplay c'est carrement de la grosse merde , dommage le jeu est vraiment beau mais injouable !
z0rr0 a dit (06 Novembre 2025 à 20:40)
Faire un prologue aussi dur c'est carrement debile !
3H pour le passer en mode normal ......... vraiment decourragent
Benben a dit (04 Novembre 2025 à 09:32)
"For those who come after": Je tiens à préciser que j'ai passé Cogwork Core, Mount Fey, Sands of Karak (putain cette zone je la conchie) et High Halls avec une main pétée !
Bordel ce jeu a vraiment de quoi rendre dingue, d'autant que rien n'indique qu'on se dirige vers un mur de difficulté atroce à franchir, et/ou qui nécessite de faire autre chose avant pour se faciliter la vie.
Bon au final on apprend comme un grand que quand ça coince, il faut ravaler sa fierté et aller voir ailleurs, mais c'est quand même assez rageant de manquer d'indices en amont et de devoir subir.
z0rr0 a dit (03 Novembre 2025 à 18:09)
Fini en 125H , niveau 120 , resistance 173 et degats 136 pour affronter le dernier boss
TRES BON jeu meme si desfois c'est decourageant !
Manifael a dit (03 Novembre 2025 à 16:36)
J'attendais ce 3e opus avec grande impatience et au final je suis un peu déçue... Il ne vaut pas les 2 premiers. Il est plus simple et plus rapide à faire (et il a eu pas mal de bug, j'aiétéobligéde refaire un chapitre du tout début) mais j'ai quand même retrouvé l'ambiance horrifique et angoissante des précédents et j'ai passé un bon moment.
Franz26 a dit (26 Octobre 2025 à 08:32)
Loin d’être friand de jeux de course et des simulations sportives en général, la saga des Gran Turismo a toujours fait exception à la règle et je me remémore encore avec nostalgie les centaines d’heures inoubliables passées sur les premiers opus de la franchise ! A l’aube de la 3D tout d’abord, puis jusqu’à l’aboutissement de la série avec GT5 sur PS3. M’étant depuis complètement éloigné du bitume, en corrélation avec la baisse de régime de la série, ce retour aux sources a réveillé le pilote qui sommeillait au plus profond de mon rectum.
Je ne prendrais pas la peine de revenir sur la riche histoire de la saga Gran Turismo, débutée en 1997 en exclusivité sur la 32 bits de Sony. Son gameplay technique et sa qualité visuelle toujours à la pointe lui ont valu un succès populaire retentissant, qui a perduré jusqu’au crépuscule de la PlayStation 3. Des qualités intrinsèques indiscutables, couplées à un aspect gestion/simulation faisant tout le sel de la franchise.
Passé la (très) longue installation du jeu sur le disque dur de la console, nous voici lâché avec quelques crédits en main. Tout juste de quoi se procurer une voiture d’occasion et débuter sur des compétitions modestes. Mais passé quelques heures et moyennant finances, on change de cylindrée pour défier les lois de la vitesse sur des tracés techniques où la concurrence fait rage ! Impossible d’échapper à la case des « permis » et leur ribambelle d’épreuves afin d’accéder à certaines courses de haut rang, et indirectement à des récompenses de plus en plus intéressantes. Le garage s’étoffe au fur et mesure de vos passages chez les concessionnaires, et si le nombre de voitures a été revu à la baisse (tout de même plus de 400), chacune bénéficie d’un comportement et de caractéristiques propres.
Gran Turismo 7 renoue en effet avec cet aspect simulation à la conduite exigeante, où la moindre erreur de trajectoire ou une mauvaise appréciation de la distance de freinage se paient chères ! Si l’écart de puissance permet parfois de pallier à vos approximations, la plupart des courses nécessitent une conduite millimétrée et un choix de bolide judicieux pour grimper sur la plus haute marche du podium. Le tout sans négliger la stratégie, avec une gestion des pneus et du carburant déterminante afin d’optimiser les arrêts aux stands. S’ensuit une jouabilité plaisante à la sensation de vitesse grisante, même si l’IA ne casse pas 3 pattes à un unijambiste. Les courses, réparties à travers des dizaines de circuits classiques (Le Mans, Nurburgring) ou fictifs (Trial Mountain, Deep Forest), bénéficient d’un grand soin de conception et s’enchainent avec enthousiasme. Souvent conditionné à des contraintes à l’entrée (type de véhicule, puissance bridée, etc…), le challenge est ainsi sans cesse renouvelé afin de restreindre au mieux le sentiment de répétitivité.
L’atelier de préparation permet encore de customiser son pot de yaourt en bête de course, non sans lâcher quelques crédits en échange. Un système micro-économique général assez controversé d’ailleurs, dû au prix délirant de certaines voitures pouvant inciter les collectionneurs à sortir leur carte bleue IRL. De mon côté j’ai trouvé l’équilibre honnête, juste assez frustrant pour devoir peser ses choix tout en ayant quand même accès facilement à tous les véhicules utiles à la progression. Cette dernière suit le rythme de vos passages au café du coin, où un passionné balise vos objectifs tout en enrichissant votre culture automobile. De quoi satisfaire les amateurs et profiter de superbes plans sur ses voitures, accentuant l’effet « carrière », décidément toujours aussi immersif.
M’étant cantonné à une expérience solo déjà extrêmement riche, on passera sur tous les modes multimédias/communautaires du genre galerie photos, suivi de compétition IRL, l’éditeur de carrosserie ou même l’évident multi en ligne. La durée de vie se révèle quoiqu’il en soit faramineuse, et une centaine d’heures ne sera pas de trop pour faire le tour du mode solo. Bien sûr, les acharnés désireux d’obtenir un pourcentage de complétude parfait et l’intégralité des véhicules peuvent multiplier cette estimation…
Plafond technique oblige, l’ambition visuelle de GT 7 se révèle plus modérée que ses prédécesseurs. Il n’en reste pas moins superbe, avec des décors réalistes, une modélisation des voitures parfaites, des vues cockpits incroyables et une météo en temps en réel bluffante ! De somptueux effets de lumières complètent le tableau, et le rendu à l’écran force le respect.
La bande laisse une impression plus mitigée. Si les bruitages liés aux véhicules sont irréprochables, la variété des compositions engendre un pot-pourri de styles musicaux : classique, variété, rock, jazzy, etc… Chacun aura ses préférences, et le mode « rallye musical » remixe avec brio des thèmes classiques mythiques. A défaut de proposer un grand intérêt ludique.
Mes attentes avec ce dernier opus étaient limpides : retrouver l’expérience Gran Turismo originelle à travers un mode carrière dense et passionnant. Si vous avez pris la peine de lire ces quelques lignes, vous l’avez déjà compris : le contrat est rempli ! Gran Turismo 7 soigne le fond et le forme, et malgré quelques imperfections s’impose comme une nouvelle référence sur Playstation 5.
Franz26 a dit (19 Octobre 2025 à 08:29)
Suite de l’iconique « American Mc Gee's Alice » sorti en 2001 sur PC et offert gratuitement en démat avec cette itération Playstation 3, saluons le geste, « Alice Retour au pays de la Folie » s’inscrit dans la continuité burlesque de son aîné. S’ensuit un action-plateformer atypique, poussant encore plus loin la revisite macabre du célèbre compte de Lewis Caroll. Une virée malsaine aux confins de la folie, réservée à un public averti et sain d’esprit.
L’histoire fait suite aux évènements tragiques narrés dans le premier jeu, et, à moins d’avoir vécu l’aventure précédente, les fils scénaristiques ne sont pas évidents à contextualiser. Sans grande incidence sur l’appréciation de l’œuvre, on comprend rapidement que la narration abrupte et sans rondeurs sert avant tout de prétexte aux bizarreries les plus étranges ! Adolescente mentalement instable, Alice est encore hantée par le décès de sa famille causé par l’incendie du manoir familial, dont elle serait la responsable. Ayant du mal à remettre de l’ordre dans ses souvenirs, confrontée à un monde réel aussi cru qu’implacable, son esprit va ainsi vagabonder dans le pays imaginaire. En résulte des sessions hallucinatoires laissant libre cours à toutes les folies, emplies de situations grotesques et mortelles dont elle devra se sortir tout en recompilant le puzzle fragmenté de sa mémoire. Un beau programme !
Le titre se décompose alors en cinq grandes zones thématiques, mêlant phases de plates-formes, de réflexion et de combat. Fort heureusement, notre jeune fille n’est pas démunie et ne rechigne pas à se défendre ! Au corps à corps par le biais d’un glaive ou d’un immense marteau, mais aussi à distance via le poivrier, officiant comme mitraillette, ou encore la théière, jouant le rôle du lance grenade. Des ustensiles de combat peu communs, à améliorer via l’étrange monnaie du jeu ; les dents… Mais ce n’est pas tout, Alice peut également augmenter sa jauge de vie en résolvant diverses épreuves disséminées dans les niveaux, et compter sur son parapluie pour parer les projectiles. L’esquive, très permissive, sera aussi d'une grande aide.
Pour la mise en pratique, votre principal souci sera sans doute la caméra ! Malgré un stick droit la commandant, elle n’est pas exempt de reproches et nuit régulièrement à la lecture des combats, ou pire, des phases de plates-formes ! Celles-ci reposent sur des mécanismes bien pensés et un level design aussi original que réussi, bien que très linéaire. Alice va ainsi compter sur son double « double saut » et sa capacité à flotter un moment dans les airs pour déjouer la gravité. Afin de parachever un gameplay généreux, la capacité de rétrécissement de la fillette et sa « super vision » permettent de dévoiler les multiples secrets de l’environnement. On s’empresse alors de s’engouffrer dans le moindre trou (« titre ! ») de souris (ah non - quoique…) pour y découvrir ses mystères. Entre les souvenirs de l’enfance, les récompenses pécuniaires ou les gadgets inutiles, on s’attèle mécaniquement à la recherche des collectibles. Satisfaction de complétude oblige.
D’un point de vue technique le titre souffre de nombreux ralentissements/chargements, et se contente d’une 3D passable aux textures faiblardes en comparaison aux références du support. Rien de repoussant certes, d’autant que l’animation de la jeune fille reste convenable, mais pour le plaisir des yeux on s’attardera plutôt sur le côté artistique de l’œuvre. Et là, c’est une vraie claque ! La folie visuelle des environnements égale celle des protagonistes qui les composent, pour un rendu aussi atypique que malaisant, où le comique se mêle sans tabou à l’horreur la plus étrange. Une atmosphère décalée, souvent glauque et sinistre, reflet du monde réel où la cruauté humaine frappe sans filtre.
La bande son appuie ce voyage aux confins de la folie. Des musiques immersives et un doublage VF excellent accompagnent votre lugubre aventure durant une grosse quinzaine d’heures. Durée de vie somme toute parfaitement calibrée, car si les développeurs ont voulu multiplier les phases de jeu originales, toutes ne sont pas réussies et la boucle de gameplay montre, à terme, ses limites.
Perfectible sur le fond comme sur la forme, Alice : Retour au pays de la Folie n’en reste pas moins un excellent titre. Une plongée malsaine dans la psyché humaine, portée par un gameplay satisfaisant et une direction artistique géniale. Difficile de ressortir indemne de cet univers pernicieux, et en ce qui me concerne l’envie de tâter du premier opus bat désormais son plein ! Je recommande.
Mijak a dit (18 Octobre 2025 à 22:25)
Un jeu de gestion sympa et addictif. Le tunnel était présent, pour moi.
On joue donc notre personnage, de sa naissance à la fin de sa scolarité. On développe ses compétences, on équilibre sa santé mentale, ses relations, on fait des choix, on apprend ce qui nous intéresse, mais 24h c'est toujours trop court.
Bref un petit jeu assez drôle, qui aurait cependant gagné à être plus exhaustif, et pas juste dans les clous de normalité et de bienséance. (par exemple en ayant pourquoi pas des choses plus fantaisistes, ou des choix moralement plus discutables). Du coup, bon, c'est niais un peu.
Mijak a dit (18 Octobre 2025 à 12:03)
Un RPG centré sur le personnage d'Eve, dans le comics (et série) Invincible. Les dessins sont rudimentaires, l'animation inexistante (juste des succession d'images fixes, pour le côté comics j'imagine). Les combats sont en 1 vs 1, bref pas intéressant. L'histoire se passe parallèlement au début mais n'apporte pas grand chose sur les persos qu'on ne connait déjà, le jeu est surtout un visual novel sinon, ou l'essentiel du gameplay c'est d'appuyer pour voir le dialogue suivant.