Mijak a dit (06 Mai 2024 à 02:52)
Un Jeu qui m'a attiré l'oeil (contrairement aux autres Yakuza) car c'est un RPG au tour par tour, inhabituel pour un cadre contemporain comme ici (excepté Persona). L'histoire se déroule donc au 21e siècle, dans des villes toutes bien modélisées et tout. C'est une histoire de mafia, de pègre nippone, avec un humour décalé à la Gintama (très "japonais" dans l'aspect grotesque et cartoon), mais surtout un hommage aux JRPG, car le protagoniste est un vieux fan de Dragon Quest. Du coup on a des mécaniques de JRPG classiques mais transposées dans un monde réaliste, un peu un genre de "si la vie était un JRPG", blague qui va d'ailleurs être lancée à Ichiban. Du coup les "jobs" sont... littéralement des jobs. Des boulots quoi. Les invocations sont à appeler sur notre smartphone, les armes, objets, mini-jeux... par certains aspects du coup, ce rapport RPG tradi et réalité renvoie aussi au jeu South Park Le Bâton de Vérité ; les items sont des snacks, des boissons énergisantes, des sushis...
J'ai trouvé (je connais pas les autres Yakuza, peut-être qu'ils partagent ces traits) bonne l'idée et le parti de nous plonger dans un milieu prolo voire pauvre, ça change beaucoup des gros jeux, des JRPG, et des jeux japonais en général qui n'abordent presque jamais les sujets politiques et sociaux. Même si tout ça change avec la progression hélas, et le fait qu'on devient patron ensuite, mais bon c'est pas la trame de l'histoire.
Le ton est très japonais, dans l'humour décalé et absurde, si vous connaissez certaines émissions ou vidéos vous savez de quoi je parle. J'ai vu des types déguisés en sac poubelle dans un sous-sol. Bon, après ils sont nommés "déchets de la société", mais c'est le revers de l'humour japonais, et c'est illustré par ce que j'ai dit au-dessus dans le milieu SDF : il n'est pas bon d'être exclus, dans cette société.
Le ton particulier fait que les mini-jeux le sont souvent aussi. il y en a beaucoup, allant du karting au jeu de rythme, et ça plus les quêtes annexes, plus part-time hero... ça fait beaucoup. Le jeu avance assez vite sans ça, donc on comprend que l'aspect cour de récré est central.
Bon, pour les côtés négatifs... le début j'ai cru plusieurs fois que je jouerais jamais. J'exagère oui, mais omg les demi-heures de cut-scenes ou cinématiques. C'est un jeu très narratif, très verbeux oui, surtout dans les premiers chapitres. Si on veut profiter des doublage, on peu très fréquemment se caler dans son siège et suivre la série.
Sinon, niveau animations faciales hélas, souvent on va avoir des persos qui crient sans que leur visage ne reflète leur expression, ou très peu. Et comme on passe beaucoup de temps dans les cutscenes, c'est important. L'animation en général évoque souvent plus l'automate que les ressentis des personnages.
Petit mot sur la gestion d'entreprise (gros "mini-jeu") ; sans tuto sur Internet, omg quel bordel. J'ai suivi le tuto du jeu, la première fois, et je me suis ramassé. Il n'explique rien de la masse d'icônes, de sigles qui pullulent, et la partie énervée de la réunion des actionnaires est un cauchemar ; les explications sont totalement insuffisantes par rapport à la quantité d'information à l'écran qu'il faut gérer avec un timer (j'ai suivi ce tuto :https://forums.jeuxonline.info/sujet/1405449/yakuza-like-a-dragon-tuto-mini-jeu-de-gestion), comme le systeme de pierre-feuille-ciseau, les différentes jauges, etc. Une fois les bases acquises par contre, c'est un jeu de gestion sympa, mais comme toujours dans ce genre il faut prendre beaucoup de choses en compte.
En conclusion, si on aime les histoires de mafia et le Japon, c'est parfait. La modélisation des villes et très immersive. Mais perso au bout d'un moment je m'emmerdais ; les mini-jeux sont pas tous funs (enfin perso, le Mahjong, le Shogi, le casino, osef un peu), et niveau scénar dans l'absolu c'est pas le feu non plus, ça reste plutôt moyen. Mais voilà, le JRPG, l'humour, la cour de récré... un bon moment, tout de même.
Dreadz23 a dit (05 Mai 2024 à 17:44)
Quel petite pépite ! Les graphismes sont magnifiques, les musiques géniales et certains combats vraiment pas faciles (en mode difficile). Un super bon jeu de plateforme que je recommande ! <3
Franz26 a dit (29 Avril 2024 à 07:45)
Compilation ultime des six premiers Final Fantasy dans leur version « Pixel Remaster », les mauvaises langues pointeront sans détour l’intérêt financier du projet… Difficile de leur donner tort, mais comment en vouloir à Square-Enix lorsque l’on voit débarquer massivement les épisodes fondateurs de la plus grande saga du genre, dans un écrin soigné respectueux du matériau de base.
Les amateurs de la franchise s’étaient à l’époque tournés vers la Game Boy Advance pour profiter de ces jeux cultes dans la langue de Molière. En effet, avec le portage des remasters WonderSwan Color pour Final Fantasy I et II, et des opus IV, V et VI de la Super Nes, la portable de Nintendo s’est posée comme une alternative de choix auprès des joueurs Européens. Le 3e opus ayant qu’à lui bénéficié d’un traitement différent, via un remake Nintendo DS au style SD/3D discutable. Si l’accessibilité n’était donc plus un problème et que ces nouvelles versions sentent bon l’argent facile, cela vaut toujours mieux que la décadence actuelle et l’exploitation flinguée de la licence.
De longues « Reviews » en perspective chers lecteurs (what ?!), puisque cette compilation va largement alimenter mes sessions de jeux cette année. Je m’autorise toutefois un billet commun pour les trois premiers opus de la licence, dont l’intérêt ludique est aujourd’hui mis à l’épreuve malgré un troisième opus déjà plus travaillé.
FINAL FANTASY I, II & III
On ne va pas se mentir, même avec un confort de jeu rehaussé dans cette version « Pixel Remaster », nous y reviendrons, l’expérience proposée par Final Fantasy I et II ne comblera que les fans désireux de découvrir la genèse de la franchise. Véritable capsule temporelle nous renvoyant aux balbutiements du J-RPG console, il faut ainsi composer avec des mécaniques de jeu limités et une trame scénaristique réduite au strict minimum. Des histoires à base de cristaux élémentaires, de héros de lumière et de forces du mal. Si quelques éléments dramatiques et divers rebondissements apportent un soupçon de profondeur, on ne s’éternisera pas sur la qualité narrative de ces opus.
Le gameplay, bien que révolutionnaire en son temps, se veut très sommaire avec des combats au tour par tour minimalistes et des possibilités assez restreintes. Le second volet se dotera d’un système de magie plus poussée, qui ne remettra pas en cause ce fade constat malheureusement conforté par un équilibrage bancal de la difficulté. Final Fantasy III, lui, aura le mérite d’épaissir son synopsis et d’offrir un système de jobs très intéressant. Suffisant pour le placer un cran au-dessus.
Mais abordons un point qui fait l’unanimité de nos jours encore : la bande son. Intégralement réorchestrée pour l’occasion, les musiques signées Nobuo Uematsu sont toujours aussi géniales et jouissent d’une grande qualité sonore. Des thèmes mythiques au profit d’une aventure s’étalant sur une douzaine d’heure par épisode compte-tenu des facilités proposées ici. En effet, on abusera sans vergogne de la carte pour ne rater aucun coffre et éviter les culs de sac, ainsi que des options jouant sur la vitesse d’action et les combats aléatoires. Affranchissant ainsi la durée de vite de toute artificialité.
Techniquement la refonte est réussie, même si le portage Game Boy Advance avait déjà mâché le travail pour les deux premiers opus. Les trois épisodes Nes profitent donc d’une réalisation digne de la génération 16 bits, avec un pixel art détaillé, un rendu 2D en haute définition et des effets visuels chiadés. On appréciera tout particulièrement la possibilité de jouer en mode nomade, à mon sens la meilleure configuration.
Le temps n’a pas été clément avec ces RPG old-school dont les qualités intrinsèques se révèlent difficiles à apprécier en 2024… Ils reposent pourtant sur un socle de mécaniques communes lié au succès de la franchise, et même du genre dans sa globalité ! Le confort apporté par ces versions « Pixel Remaster » gomme une partie de l’austérité d’antan, et permet ainsi de profiter raisonnablement de ces titres d'anthologie. Mention spéciale pour Final Fantasy III, plus complet et laissant entrevoir le cap franchi avec le 4e volet. Prochaine étape de mon pèlerinage.
Dreadz23 a dit (27 Avril 2024 à 17:09)
J'ai aimé l'ambiance globale mais je ne peux pas dire que j'ai vraiment pris du plaisir a jouer. Certaines énigmes sont vraiment chiadées, j'ai vraiment eu mal à croire que quelqu'un a déjà réussi à finir ce jeu sans aucune aide. Pour moi c'est de l'ordre de l'impossible...
Dreadz23 a dit (25 Avril 2024 à 23:08)
Joli petit jeu ! A faire si on cherche a vivre une expérience apaisante et pas compliquée. Globalement, c'est beau (pas les persos, mais les paysages et créatures oui !) et les musiques sont très relaxantes :')
Pricefield25 a dit (24 Avril 2024 à 19:26)
Adorable petit DLC, j'ai personnellement adoré attirer les infectés sur les ennemies, ce genre de mécaniques sont efficace et vraiment plaisante.
Sur la partie de Riley: connaitre la backstory des deux, au delà d'être vraiment chou, permet de comprendre s'ou vient le survivor guilt d'Ellie, je ne suis pas une grande fan de Riley, mais en faire un personnage parfait n'aurait pas fait avancer l'intrigue, le but de ce dlc n'est pas d'avoir de la peine pour Riley mais bien de comprendre et connaitre mieux le personnage d'Ellie, ce qui est réussie.
La partie d'Ellie seule: Le premier jeu nous a tellement habitué à être à deux que se retrouver seul (autant dans le premier qu'ici) est terrifiant, surtout lorsqu'on incarne Ellie car nous sommes immédiatement dans la peau d'une enfant de 14 ans, elle aussi terrifié, de ce qui l'entoure et de perdre surement la personne qui compte le plus à ses yeux. Ce qui est déchirant et émouvant, je n'ai pas pu retenir mes larmes lorsqu'après avoir enfin trouvé de outils médicaux, supplie Joel de ne pas s'en aller.
Pas aussi bon que le jeu, mais quand même excellent et jouable plusieurs fois sans en être agacé.
Pricefield25 a dit (24 Avril 2024 à 19:15)
La seule chose dont je suis déçu et de n'y avoir joué que trop récemment (il y a 2 ans), une réel claque que je ne me suis pas prise depuis longtemps.
Les musiques, les graphismes, l'évolution des personnages, tout m'a littéralement séduit, je peux même dire que je suis tombé amoureuse de ce jeu.
Je pourrais en parler des heures durant, il a beau reprendre les codes de la fameuse "menace inconnue", il en approfondie d'autant plus les conséquences sur la société américaine ici.
L'évolution de la relation entre Joel et Ellie est extrêmement touchante, qu'on s'identifie à l'un ou à l'autre, petit à petit ils se supportent, jusqu'à s'adorer, et ne pas pouvoir supporter de vivre l'un sans l'autre, jusqu'à commettre le pire pour ne pas l'être.
La bande son ajoute énormément au jeu, les musiques de Gustavo Santaolalla sont incroyable, à tel point que j'ai acheté le vinyle que j'écoute régulièrement, lâchant quelques larmes sur certaines. Et même si la fin n'est pas spécialement triste, je pleure toujours devant le chef d'œuvre qu'est ce jeu, je ne peux pas lui mettre une note en dessous de 20.
Les personnages principaux ne sont pas parfaits, voir détestable en leur début pour certains joueurs, mais en jouant avec eux pendant des heures durant, nous vivons avec eux les répercussions de cette pandémie, se mettant à leur place, s'attachant à eux, jusqu'à les aimer de la tête au pied, leurs qualités et leurs défauts.
Et ceux jusqu'à nous amener à commettre un acte irréparable, et ne pas le regretter derrière, du moins jusqu'au deuxième opus.
Dreadz23 a dit (23 Avril 2024 à 15:52)
J'ai adoré ce jeu. Il est frais, drôle, joli a regarder, ça amène du bonheur dans nos yeux de voir tous ces confettis en sautant ! Jeu de plateforme très sympa (et il est possible de le faire a 2, ça doit être trop cool !), globalement pas difficile mais j'en ai quand même un peu chié sur les derniers niveaux !
Mijak a dit (20 Avril 2024 à 18:10)
Je l'attendais, j'ai énormément aimé le premier, je suis fan de jrpg, eh bien............
Quelle déception. (alors oui, une déception à 15/20 quand même, ça va)
Le jeu ne prend pas de risque du tout. A de nombreux égards c'est une copie du premier , les métiers des persos sont les mêmes (apoticaire, voleur.se, chasseuse, prêtre.sse, érudit, guerrier, marchand.e et danseuse - notez les changements de genre pour certains, mais pas tous), donc les pouvoirs aussi, du coup globalement le gameplay est identique, dans les cités et dans les combats (même mécaniques à peu près). On va avoir la capacité d'aquérir des objets des PNJ, acquérir des informations, les recruter et les assomer. Chaque chose sous trois conditions selon les classes : un pourcentage de chance, une limite de niveau et un combat. Bref, un peu plus de variété que le 1 dans les moyens de faire les mêmes choses, et le tabassage en plus. Chaque perso a aussi un effet passif sur son environnement et une sorte d'overdrive/transe/limite durant le combat.
Les histoire, évidemment, sont différentes, le monde aussi ; mais le fait de retrouver les mêmes archétypes de jrpg enlève tout intérêt de la nouveauté. Le seul intérêt, c'est les histoires des huit personnages. Le cycle jour/nuit n'apporte pas grand chose, sinon la possibilité de caser les 12 interactions avec les PNJ en faisant varier les actions selon le moment du jour. Pour l'exploration, on reste sur la même chose, avec en plus la possibilité de prendre un canot pour aller sur l'eau des fois.
Le jeu est très facile, plus que le premier il me semble. Je roule sur les ennemis et suis toujours au-dessus des niveaux recommandés (on peut faire du off-tracks - le jeux est toujours ~"open world" - mais si on veut suivre les scénars, bah on se balade sans difficulté)
Je trouvais les histoires/personnages du premier plus intéressants. C'était p'tet l'effet de nouveauté, mais j'en doute (le jeu est un hommage qui reprend des archétypes, donc il n'a pas vocation à être original dans ses persos). Les persos du samurai et de la danseuse, en particulier, sont plus qu’archétypaux : ils sont éculés. Du coup, si l'hommage passait bien sur UN jeu, là, ce second opus équivaut à le refaire. C'est bien, et comme j'ai dit il y a des histoire nouvelles, mais pour ma part il n'atteindra jamais le plaisir que j'ai pris à faire le premier.
Néanmoins, gardez à l'esprit que je ne parle ici qu'en comparaison au premier jeu. Parce que malgré tout j'y passe un très bon moment, en tant que tel.
Benben a dit (16 Avril 2024 à 09:46)
Ah quelle époque... le monde vidéo-ludique n'a jamais été aussi dense, c'est pour cette raison que depuis le début de l'année 2024, je me suis tapé un remake de Resident Evil 2 et un remaster de Tomb Raider II.
Jeux de ma tendre jeunesse, et madeleines de Proust, ou bien symboles d'une époque où les nouveautés me semblent fades ? Suis-je devenu un vieux con ? L'ai-je toujours été ? Toujours est-il qu'en bon pigeon encore trentenaire, j'ai raqué pour (r)acheter, en dématérialisé et quand j'y pense ça me bute, les cultissimes trois premiers jeux de la licence Tomb Raider.
Non content de m'être usé les pouces sur Playstation, à l'ère pré-Internet, où la moindre soluce valait de l'or, où l'on se refilait les cheat-codes dans la cour de récré, et où l'on jurait avoir vu de nos yeux vu fonctionner celui qui fout Lara à oilp'... Rêve pré-adolescent devenu réalité grâce à un mod sorti moins de 24h après la publication du présent remaster, la boucle est bouclée et la natte est nattée.
C'est presque par réflexe que je me suis rué directement sur le second volet, celui que je préfère, et auquel je n'avais pas rejoué depuis... Hum. Un certain temps.
Tomb Raider II - Starring Lara Croft
Et l'on replonge des années en arrière dès que l'écran titre apparaît, avec sa musique qui nous transporte et son menu en 3D, typique de toute une époque.
Premier point fort, très fort de ce remaster : la possibilité de basculer à d'une simple pression sur une touche de la manette, du visuel classique, c'est à dire vraiment comme à l'époque PSX, au visuel revu et corrigé de 2024. Même le framerate de la version originale a été préservé. Si vous cherchez une machine à voyager dans le temps, n'allez pas plus loin, elle est là ! Quel plaisir de redécouvrir ce jeu en haute définition native quand même. Mais il ne faut pas négliger la refonte visuelle qui rend hommage aux décors d'antan : là où l'on voyait une bouillie de pixels, on aura désormais droit à des tableaux, des bas-reliefs, des textures lisses, des effets de lumière, et un champ de vision élargi, là où les limitations techniques de la version PSX n'affichent qu'un voile noir.
Dans Tomb Raider II, Lara part en quête d'un artefact magique permettant à son possesseur d'acquérir les pouvoir d'un dragon. Mais elle n'est pas la seule intéressée par la Dague de Xian, car la Mafia aimerait aussi s'en emparer. L'occasion de faire parler la poudre, avec un arsenal composé des célèbres doubles-flingues, du fusil à pompe, des uzis mais aussi désormais de magnums automatiques, d'un M-16, d'un lance-grenades et d'un lance-harpon.
Que la faune locale se tienne bien !
Reprenant les mêmes caractéristiques de gameplay que pour Tomb Raider premier du nom, on se retrouve en terrain connu. Les développeurs n'ayant eu que quelques mois pour sortir leur jeu, ils ont utilisé le même moteur, légèrement peaufiné afin d'arrondir... les angles. Oui, Lara Croft est anglaise. Un problème ?
Enfin, le level design orienté autour d'une verticalité déroutante, et de labyrinthes fabuleusement aussi dingues que logiques, pousse à l'observation et à la déduction. Ici, pas de peinture jaune pour indiquer le chemin à suivre : il faut regarder où l'on va, estimer les distances... et essayer ! Avec les nombreux pièges retors faisant partie du decorum, et la maniabilité capricieuse, l'expérience se rapproche souvent du die-and-retry. D'ailleurs, la sensibilité de la DualShock de la PS5 étant infiniment plus poussée que celle de la PSX classique, les faux pas mortels seront fréquents.
Ce qui est assez fou c'est de constater que tous les mécanismes de jeu sont présentés dès le premier niveau et réutilisés encore et encore sans jamais paraître répétitifs : pour résumer, il faut trouver des leviers ou des clés afin d'ouvrir des portes et d'avancer. Mais la diversité des situations et des décors feront que jamais l'ennui ne va s'installer.
Je pensais me retrouver face à une difficulté harassante et à galérer mais que ce soit grâce à la mémoire ou bien à mon expérience de gamer (yeaaah), il ne m'aura fallu qu'une quinzaine d'heures et surtout aucune soluce ni cheat-code pour en venir à bout. Le moi de 1997 serait fier.