Le retour tant attendu au cinéma du phénomène mondial nous replonge dans l’univers de la famille Crawley et de son personnel à l’aube des années 1930. Alors que chacun tente de faire évoluer Downton Abbey avec son temps, une nouvelle ère s’annonce, pleine de défis, de remises en question et d’espoirs. (Source : Allociné).
Adapté de la série Downton Abbey
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Un 3e et dernier film au top ! Rien à redire, tout est parfait. Jamais déçue avec Downton Abbey. Et j'ai lâché ma petite larme à la fin. Ils vont tous tellement me manquer.
Toujours aussi sympa de revenir à Downton Abbey.
Cependant, j'ai l'impression que ce troisième opus est réservé aux fans. Les dix premières minutes consistent à placer à la chaîne tous les noms des personnages de la série en mode "oh, et lui, qu'est-ce qu'il devient ?".
L'action principale m'a parue aussi moins puissante que dans les précédents films et un peu redondante (réhabiliter Mary, organiser une foire, gérer le patrimoine familial). Clairement, c'est de la parlotte du début à la fin, avec une grosse sensation de tourner en rond, il ne s'y passe rien, si ce n'est que de temps en temps, des personnages changent d'avis.
Vu le nombre de persos à faire revenir pour un ultime coucou, il devait être difficile d'instaurer une intrigue digne de ce nom. L'univers est maintenant trop étendu.
(Reste que j'adore. Magnifiques décors, magnifiques costumes.)
Suranné jusque dans sa mise en scène qui épouse celle, insipide, des plus plates séries télé, le film écrit à la va-vite n’a strictement aucun intérêt ! Sauf peut-être celui d’égaliser les classes : ils sont en effet tous insupportables !