Aujourd’hui, en 2024, une trentaine de personnes issues d’une même famille apprennent qu’ils vont recevoir en héritage une maison abandonnée depuis des années. Quatre d'entre eux, Seb, Abdel, Céline et Guy sont chargés d’en faire l'état des lieux. Ces lointains "cousins" vont alors découvrir des trésors cachés dans cette vieille maison. Ils vont se retrouver sur les traces d'une mystérieuse Adèle qui a quitté sa Normandie natale, à 20 ans. Cette Adèle se retrouve à Paris en 1895, au moment où cette ville est en pleine révolution industrielle et culturelle. Pour les quatre cousins, ce voyage introspectif dans leur généalogie va leur faire découvrir ce moment si particulier de la fin du XIXe siècle où la photographie s'inventait et l’impressionnisme naissait. Ce face à face entre les deux époques 2024 et 1895 remettra en question leur présent et leurs idéaux et racontera le sens de : La venue de l’avenir.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
C'est une histoire simple mais belle et pleine de poésie. Le côté reconstitution historique est réussi et je me suis laissé facilement embarqué. Vincent Macaigne en mode un peu relou m'a aussi bien amusé. ^^
Son XIXème pue le numérique façon XXIème siècle ! Le film capitalise sur le nostalgie mais ne propose rien d'autre qu'une ribambelle de clichés sur le temps qui passe, l'impressionnisme et enfonce des portes ouvertes pendant deux heures de façon désarmante. Nicofromtheblock va encore nous tomber sur le râble... C'est pourquoi nous ne résistons pas à l'envie de citer cette ligne de dialogue qui nous a fait mourir de rire : "J'ai lu qu'aujourd'hui on prend plus de photos en deux minutes que pendant tout le XIX ème." Non !!! Sans blague ! On pouvait rajouter le XI ème aussi !
Bon... C'est frustrant parce que j'ai senti que le réalisateur avait les bonnes idées en plus d'une vraie connaissance en histoire de l'art qu'il a tenté d'utiliser à bon escient, mais le film est parti dans un de ces fouillis... J'en suis ressortie sans pleinement savoir ce qu'il a essayé de me raconter.
Est-ce-que c'est sur la famille ? La transmission générationnelle ? La peinture face à la photographie ? La beauté du passé ? L'impressionnisme ? J'ai envie de répondre oui pour tout... Mais rien n'a été vraiment abouti. À part, peut-être, la partie sur la famille, dommage que ce soit l'un d'être la plus intéressante.
Parce que c'est ça le problème : toute la partie suivant l'histoire d'Adèle, sans être un chef-d'oeuvre (loin de là), est intéressante, avec une belle reconstitution du vieux Paris, une atmosphère immersive, et surtout l'art, les grandes avancées, etc. Ça aurait pu être beau. Mais ça ne va jamais au bout des choses, parce qu'à côté, le film revient toujours à l'histoire de ce quator de descendants caricaturaux au possible. On a le jeune vidéaste qui reste dans son coin (et vit dans un très grand appartement avec vue sur le Sacré-Coeur, bah bien sûr), la businesswoman toujours sur les nerfs, le prof qui est... prof, et l'apiculteur... L'apiculteur ! J'espère qu'aucun apiculteur n'a vu ce film franchement parce que la représentation m'a fait mal au cœur.
Ils ne sont pas détestables, on s'y attache un petit peu, mais quand à côté on me parle du vieux Paris avec des noms comme Claude Monet et Sarah Bernhardt, forcément je regrette de sans cesse revenir au présent.
Et vraiment, c'est fouillis. Le film avait beaucoup d'idées, en a effleuré la surface, et s'en est satisfait. Mais c'est dommage, le potentiel était juste là !
Bon ce n'est pas une catastrophe, c'est plutôt joli avec quelques très beaux passages, le vieux Paris est très agréable à voir, les thématiques, bien que superficiellement traitées, sont intéressantes... Mais il était beaucoup trop long pour ce qu'il avait vraiment à raconter.