Deux cousins se rendent en Pologne après la mort de leur grand-mère pour voir d'où elle venait et finissent par participer à une visite d'un camp de concentration. (Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Un film attachant mais pas vraiment abouti. Il manque un je-ne-sais-quoi...
Un joli film sur la souffrance, c'est pas évidemment d'aborder ce sujet sans en faire des tonnes, mais là, ça passe bien.
Je trouve aussi qu'il y a un beau travail d'analyse sur ce que peuvent ressentir les descendants des victimes de génocide, l'héritage moral pas toujours joyeux, tout ça.
Un voyage mémoriel en Pologne qui évoque la filiation, le deuil, la dépression. Des thèmes lourds mais qui n'empêche pas quelques moments d'humour et de légèreté. Le duo fonctionne à merveille, ils sont aussi touchants l'un que l'autre malgré des personnalités si différentes. Les acteurs jouent très justement. Une belle découverte qui donne envie de prendre son sac à dos.
Un road trip sous couvert de devoir de mémoire, de deuil mais aussi de retrouvailles entre deux cousins dont les personnalités sont aux antipodes l'une de l'autre. Le duo fonctionne à merveille et pour cause, le film semble extrêmement personnel pour Jesse Eisenberg dont on se demande s'il joue ou s'il est simplement naturel tant le personnage semble lui ressembler. Tout comme pour Kieran Culkin, qui semble à la ville aussi excentrique qu'il ne l'est à l'écran, bien que dans le film, il dépasse souvent les bornes d'où le titre du film, qui évoluera au fil du film.
La musique pianotée présente de façon omniprésente est assez exaspérante (et évidemment, elle n'est pas jouée au bon moment, c'est assez prévisible), se pose comme transition entre deux scènes, deux endroits à visiter.
Bref, un film sympathique, qui s'avère difficile sur certains moments, venant questionner notre rapport au monde quand on voit par quoi celui ci est passé. Et une conclusion qui évite les facilités attendues d'un tel film, qui se pose même en cercle vicieux de la dépression avec son mouvement de caméra identique et qui semble donc indiquer que, malgré le voyage, les personnages n'ont pas su évoluer.