lisylou a dit (08 Mai 2021 à 19:23)
Petit jeu terminé en un après midi, un peu difficile de comprendre la mécanique au début et ce qu'on doit faire. Mais l'histoire est sympathique. Je n'ai eu aucun bug sur Nintendo Switch.
z0rr0 a dit (07 Mai 2021 à 12:48)
Trés beau jeu , mais trop court et mode difficile obligatoire ^^
asmduty a dit (05 Mai 2021 à 23:10)
Bug après plus d'une heure de jeu, sauvegarde irrécupérable ...
Dommage c'était fort sympathique, mais pas envie de risquer un nouveau plantage après un certain temps de jeu.
Delete, tchao.
Mijak a dit (03 Mai 2021 à 08:08)
La 3D est surprenante, mais elle apporte une profondeur nouvelle (sans mauvais jeu de mot) au gameplay, c'est malgré tout intéressant.
Enfin elle apporte profondeur et problèmes pour l'appréhender, vu la caméra automatique et qu'on reste quand même sur un espèce de scrolling horizontal qui va souvent poser des problème d'appréciation de la profondeur, pour les sauts notamment.
Mis à part la durée de vie (moins de la moitié du précédent, pour ma part) et l'interruption du scénar ridicule (qui s'arrête au début, genre "ok on doit faire ça, maintenant, c'est notre quête ! Yes, on a fait un pas vers notre objectif ! Voilà c'est fini", parce qu'ils ont pas pu terminer le jeu), ce qu'on a est pas mal je trouve, c'est joli et intéressant. Et Pontius peut planer. J'adore quand Pontius plane.
Bon, globalement c'est quand même un ratage hein, ne nous y trompons pas. Le 4 revient à la 2,5D.
manon a dit (02 Mai 2021 à 21:34)
un peu déçue que les deux derniers chapitres soit à base de combat (alors que j'étais en train de me faire la réflexion que pour une fois, un jeu était basé sur autre chose)
istenthy a dit (01 Mai 2021 à 22:35)
Je ne l'ai pas encore terminé mais...
Quel beau jeu ! Le passage du journal au jeu de plateforme est super intéressant, l'histoire est très attendrissante, le gameplay est basique mais très original !
Je suis vraiment ravie !
J'attends de voir la fin avec impatience !
Franz26 a dit (01 Mai 2021 à 08:48)
Final Fantasy VIII (18/20)
Dans la continuité des annonces du président et avant un déconfinement généralisé défavorable au glandage intensif devant la console, il est grand temps de se pencher sur Final Fantasy VIII. Un titre mythique qui détient, à l’image de son prédécesseur, une place privilégiée dans mon sanctuaire imaginaire du jeu vidéo (oui, j’ai des problèmes). Début 2000, désormais friand de J-RPG et frustré par une politique de localisation encore injuste (Xenogears, Chrono Cross…), la sortie Française de Final Fantasy VIII fut l’un des plus gros évènements de ma vie de joueur. En guise d’anecdote et histoire d’illustrer l'absurdité de la situation : j’avais à l’époque revendu mon exemplaire de Final Fantasy VII pour racheter la version Platinum, afin de gouter à la démo du huitième volet ! Extrait que j’ai dû terminer une dizaine de fois (ce débarquement des Seeds à Dollet, quel pied !) avant que le titre de Squaresoft ne daigne arriver chez nous. A noter que ce Twin Pack Switch propose la version « Remastered » : pas de quoi s’exciter, Square-Enix s’étant encore une fois contenté du minimum syndical en retravaillant seulement les modèles 3D et en proposant quelques options utiles.
Le jeu débute donc par une introduction en CGI d’une qualité hallucinante, démontrant une nouvelle fois le savoir-faire du studio Japonais en la matière. Claque technique monumentale et leçon de mise en scène, soutenue par une musique de l’épique à faire pleurer un taulard Kurde. Passé ce qui représente à mes yeux l’une des meilleures cinématiques du jeu vidéo, nous nous réveillons à l’infirmerie dans la peau du jeune et fraichement balafré Squall. Etudiant mercenaire pour le compte de la Balamb Garden University, notre héros solitaire entre en phase finale de sa formation. Une fois diplômé et reconnu comme un Seed à part entière, il fera la connaissance de la belle Linoa, pimpante jeune fille s’opposant à l’ambition militaire Glabadienne. Mais très vite les évènements s’enchaîneront de manière incontrôlable et dépasseront le cadre de sa mission d’origine. Seifer, le rival de toujours, se ralliera à l'étrange sorcière Edéa, dont l’influence ascendante semble cacher de biens sombres intentions. Un résumé volontairement dénudé, car la trame de Final Fantasy VIII réserve de belles révélations et plusieurs passages d’anthologie à découvrir par soi-même. On reste pourtant loin de la puissance scénaristique du septième opus, et la romance entre les deux protagonistes principaux (qui éclipsent d’ailleurs totalement le reste de l’équipe) vire parfois à l’eau de rose. Un aspect controversé ayant fait débat à l’époque et qui, associé à certaines longueurs, occulta à tort la qualité globale de l’intrigue malgré un sens inné de la mise en scène.
Final Fantasy VIII pose les bases d’un univers moderne riche et envoutant, confirmant la tendance des éléments futuristes au détriment de l’Heroic Fantasy (toujours présente mais discrète). Sa direction artistique audacieuse fait mouche et assure une ambiance envoutante, largement confortée par l’apport musical. Car Nobuo Uematsu flirte une fois encore avec la perfection, et seuls quelques thèmes d’ambiance un peu plats viennent tempérer un ensemble sonore fantastique. De l’incroyable musique d’intro Liberi Fatabli, en passant par le somptueux Eyes One Me ou le final explosif contre Ultimecia (avec 4 thèmes de folie dédiés à chacune de ses formes…), c’est tout un article qu’il faudrait consacrer à l’exceptionnelle bande son de Final Fantasy VIII !
Squaresoft prend un parti pris risqué en terme de gameplay, et si le système de combat peut paraître classique aux premiers abords (jauge ATB, tour par tour, etc…), il propose en réalité des innovations de tailles. La principale concerne la gestion des sorts, qui ne sont plus conditionnés par une barre de MP mais à dérober sur les ennemis (ou à ramasser via des sources de magie). Il n’est donc pas judicieux de les utiliser en abondance sans tenir compte de ses stocks, d’autant que les sortilèges vont contribuer à l’upgrade de vos statistiques. En effet, les G-Force (invocations) jouent un rôle majeur dans cet opus et permettent, une fois attribuées à vos personnages, de booster différentes caractéristiques sous réserve d’y allouer un stock de magie. Prenons un exemple basique pour les cancres du fond : la G-Force Ifrit possède la capacité « HP » et « Vigueur », nous l’attribuons à Squall. Ce dernier va pouvoir associer dans ces deux emplacements désormais dégrisés les magies de son choix. Ainsi, un stock de Soin Max placé sur la capacité HP va considérablement faire monter sa jauge de vie, alors qu’assigner des Foudres X en vigueur boostera son attaque. Vous suivez ? Car les caractéristiques à prendre en compte sont nombreuses et concernent aussi les défenses et attaques mentales/élémentaires. Finalement, la montée en puissance se fait davantage par la bonne gestion de ses personnages via des associations judicieuses que par le gain d’expérience, relativement anodin (puisque le niveau des ennemis augmente en parallèle).
La personnalisation ne s’arrête pas là car les G-Force évoluent également et apportent des capacités uniques, allant des bonus statiques (HP +40%, auto-booster, initiative, etc…) à des actions spécifiques (tel que voler un ennemi en attaquant par exemple). Toutefois, Final Fantasy VIII s’affranchi d’une gestion de l’équipement poussée puisque seule l’amélioration des armes, prédéfinie, sera possible en contrepartie des matériaux adéquats. Enfin, les « Limit Break » sont de retour et se déclenchent désormais lorsqu’un personnage se tient au seuil de la mort. Un ensemble pas forcement accessible aux néophytes, nécessitant un peu de pratique et des détours réguliers par les menus. Pour autant, la richesse du gameplay ne souffre d’aucune contestation et le tout se révèle très addictif.
Techniquement, Final Fantasy bonifie la recette du septième opus avec des décors fixes partiellement animés à la beauté enivrante, couplés à des sprites 3D réalistes (fini le style SD). Les affrontements sont toujours propices à un déluge d’effets techniques en tout genre, matérialisés par des sortilèges impressionnants et des invocations à rallonge toujours plus imposantes. Les nombreuses cinématiques en CGI s’intègrent parfaitement et les transitions avec les phases de jeu n’ont jamais été aussi fluides, venant ainsi conforter un tour de force visuel qui hisse Final Fantasy VIII parmi les plus beaux RPG de la console. Comme pour son prédécesseur, le support tablette de la Switch assure une résolution acceptable et permet d’apprécier les qualités techniques du titre 20 ans plus tard. D’autant que cette version Remastered fainéante propose malgré tout une refonte convaincante des modèles 3D.
Une fois n’est pas coutume, Squaresoft n’a pas lésiné sur les moyens et nous propose une aventure tenant sur 4 CD-ROM, assurant des dizaines d’heures de jeu tant pour l’aventure principale que pour les quêtes annexes, toujours en grand nombre. Si la plupart manquent un peu d’intérêt, elles permettent de récupérer des items indispensables pour terminer le jeu à 100% et occire les deux gros boss optionnels. Petite fierté personnelle au passage : il s’agit de mon premier run où je pogne le Minotaure à la régulière ! Puis comment ne pas évoquer le fantastique Triple Triad, véritable jeu de cartes dans le jeu, au succès tel qu’il engendra plus tard une version PC en ligne ! Pratiqué par la plupart des PNJs, on s’empressera de défier à loisir nos victimes afin de les dépouiller de leurs meilleures pièces ! Les parties sont ludiques et, si d’une région à l’autre les règles diffèrent, la collectionnite aigue poussera à affronter des centaines d’adversaires afin de compléter son set de cartes.
Vous l'avez compris, difficile une fois encore de laisser mon objectivité sur le trottoir… A son tour, Final Fantasy VIII aura marqué ma mémoire de joueur comme rarement, venant même disputer le piédestal de son prédécesseur (néanmoins indétrônable) ! Osant un renouveau risqué, il propose une épopée mémorable servie par une réalisation divine, une bande son grandiose, un gameplay original et un scénario audacieux au cœur d’un univers chiadé à la direction artistique exemplaire. Squaresoft nous gratifie ainsi d’un nouveau chef d’œuvre intemporel, symbole d’une époque bénie pour la firme Japonaise décidément à son aise sur Playstation.
Briareos a dit (01 Mai 2021 à 00:49)
Je ne sais pas si ce n'est que moi mais je n'ai pas accroché du tout à cet opus.
J'ai adoré le 2ième, que j'ai découvert enfant et refait plusieurs fois plus grands, mais celui-ci souffre de trop nombreux problème qui, à mon sens, gâchent l'expérience: les musiques assez mitigées, les voix (je trouve Globox horripilant et trop niais, j'aimais bien les petites onomatopées du 2), le syndrome de la caméra typique des jeux de l'époque (bonjour les phases de plateformes… ), le menu un peu fouillis, et enfin je n'ai pas trop accroché à l'histoire ni à son méchant.
Pour moi c'est un opus bof bof, peut être que je le compare trop au 2, ou bien l'ayant découvert plus tard j'ai loupé le train, je ne sais pas, en tout cas je ne l'ai pas aimé !
maelle-92 a dit (29 Avril 2021 à 23:28)
J'ai adoré ce jeu, il est vraiment complet , c'est un hybride mi-film mi-jeu qui s'accorde bien. Les phases de voltige et les acrobaties sont énormes je me suis prise à voltiger pendant des minutes en oubliant la quête principale. J'ai bien aimé les interactions avec la ville (possibilité de parler au pnj, interagir avec certains objets de la map, les evenements "radio" qui sont certes répétitifs mais pas dérangeant, les photos cachés, les collectibles qui font en apprendre plus sur l'histoire ou sont des easter eggs...) ce qui fait que j'ai pas eu l'impression d'avoir une map inutile et grande pour rien. La difficulté est présente même en mode normal (pour certains "QG" à débarrasser j'ai eu un peu de mal) La durée de vie pour ma part je l'ai trouvé moyenne j'en voulais plus. C'est la première fois que j’achète les DLC d'un jeu tellement il m'a plu. Je vous le conseilles 100% si vous aimez Spiderman en général et avez une ps4/ps5
maelle-92 a dit (29 Avril 2021 à 23:17)
Le jeu est génial quand tu arrive à maitriser ton champion et à gagner chaque partie, dans le cas contraire ça devient juste un jeu frustrant et de haine.