Sammy Scoubi a dit (21 Octobre 2022 à 16:17)
C'est plutôt un bon jeu, pas trop moche (en même le but c'est le management, donc les graphisme.). Et en dehors du script y a pas mal de truc à changer. (Même dans le 2022 pas sur que ces changement ont été fait) Ces trucs peuvent gâcher seulement pour les partie à plus de 3 saisons :
- Les droits télé qui n'évoluent pas. Quand après 10 ans, en ligue 1, c'est toujours 70K par match... ça aide pas pour les salaires proposable...
- Les joueurs qui veulent partir pour un prétendu plus grand club, même quand ont à une réputation 5* et qu'on vient de gagner la LDC, ça veut partir pour (ex liverpool) celui qui à gagner l'euro Cup. Surtout quand tu est 4ème meilleure club des 5 dernière saison...
- Les joueurs qui veulent partir (qui par ailleurs ont une faible valeurs commercial). Aucun club n'est intéresser, donc tu propose de résiller le contrat. ça vient râler comme quoi tu l'as traiter injustement, et que tu veux le pousser vers la sortie.... Bha, oui vu que TU VEUX PARTIR ! Et sans contrat, tu arrives gratos ailleurs...
- Quand ont veux recruter, qu'on est avec un club moyen (ou prétendument moyen), que le joueur est dans un club moins réputé, ou dans un plus réputé mais ne joues quasiment, et qu'il te demander un salaire X3/X4...
- Impossibilité de déplacer les fonds de transfert vers les fond du club pour éviter le déficit.
- Pas de choix rapide de capitaine avant match (ou alors après autant de temps, j'ai juste mal vu). Me semble qu'en 2010/2015, c'était possible.
- Trop de message, quand un joueur est en prêt et qu'il joue pas à son poste. Je trouve dommage de pas pouvoir y désactiver. Surtout, si c'est un joueur qu'on veut dégager....
- Pas de prime de victoire mais une prime de match ? Genre, les gars sont payer pour être présent au boulot. Tu mets ça pour tout les métiers, y aurait jamais d'absent... Et puis c'est pas comme si irl en france (par ex) on avait jamais entendu Nicollin Père annoncer une prime doubler ou triplé après une victoire importante. (un ajout dans le contrat de chaque joueur d'une prime de victoire contre l'ennemi juré ou pour un derby...)
- Dans 4-4-2 un jeu concurent sortie en 2002, ont pouvait choisir d'être manager général. Et d'avoir la possibilité de gérer financièrement plus de chose. Du prix de chaque type de place, au prix de la boisson du "resto" du club, au prix du maillot.. ça serait pas mal d'y rajouter un jour...
Sunread26 a dit (21 Octobre 2022 à 10:13)
https://sunread26.wordpress.com/2022/10/20/disney-magic-kingdom/
PikamTheFirst a dit (19 Octobre 2022 à 07:47)
A rajouter que certains passages sont plus ou moins intéressant et que les combats sont variés dans leur environnement ou leur objectif, leur mécanisme
PikamTheFirst a dit (19 Octobre 2022 à 07:41)
Vraiment un super jeu. Je l'ai adoré malgré sa fin triste (du moins celle que j'ai eu). Il avait tout pour me plaire : une très bonne ost, une superbe histoire, des choix à faire qui influence plus ou moins l'histoire, des combats stratégique au tour par tour qui me convenaient parfaitement (en mode facile on ne roule pas pour autant sur le jeu, les combats se font de plus en plus dur, certains à la fin m'ont demandé de le re faire plusieurs fois, mais sans être bloqué : on xp et on teste d'autres stratégies, c'était parfait)
Et puis du coup il y a une bonne rejouabilité : j'ai envie de me refaire le jeu avec d'autres choix en espérant une fin un peu moins douce-amère même si j'ai quand même aimé malgré tout ma fin.
Et puis ça change aussi comme DA, ce pixel art 3d avec ces jolis effets, le jeu est très beau. Mais même si j'ai adoré l'histoire, ses révélations et retournements de situations, ses choix si durs à faire parfois, j'imagine que pas tout le monde accrochera à son côté très verbeux : on dirait finalement plus une histoire interactive, un livre, qu'un jeu vidéo par moment. Mais c'était loin de me déplaire
z0rr0 a dit (17 Octobre 2022 à 13:12)
Gameplay à la Batman ok , mais mega repetitif !
IA débile ^^
Bloqué au capitaine noir , pas assez d'argent , etc.....
A part passer encore des heures pour upgrader le perso .....j'abandonne , trop de temps pour rien!
TRES déçu
Dreadz23 a dit (09 Octobre 2022 à 17:26)
Je suis un peu déçue que [spoiler] l'histoire des fireflies sont restée en plant [/spoiler] mais le jeu est quand même génial. Beaucoup d'ascenseurs émotionnels durant cette partie !
Janodu74 a dit (03 Octobre 2022 à 18:33)
Décor minimaliste et certaines énigmes sont assez hard!
Franz26 a dit (28 Septembre 2022 à 07:49)
Fort du succès de Partners In Time, Nintendo enrichie sa série des « Super Mario RPG » d’un nouvel opus sur Nintendo DS, consciencieusement intitulé « Voyage au centre de Bowser ». Un titre précis à prendre au premier degré, car votre excursion vous emmènera dans les entrailles de la bête, forçant ainsi une coopération désopilante entre nos frères plombiers et leur meilleur ennemi ! A la recherche d’un RPG rafraichissant et bourré d’originalité ? Vous avez tapé à la bonne porte.
Les amateurs de la série ne seront guère surpris du contexte absurde mis en place dès les premières minutes de jeu. Victime d’un vilain convoitant le royaume champignon, Bowser avale nos héros et les habitants du château. Conclusion : Mario et Luigi se retrouvent perdus dans le corps de Bowser, qui de son côté doit annihiler les plans du diabolique (mais ridicule) Gracowitz. Le titre axe ainsi son gameplay autour de la coopération entre les personnages, le grand méchant historique étant dès lors propulsé héros au même titre que nos compères moustachus !
L’aventure comporte deux plans distincts : le royaume champignon dans lequel interagit Bowser, et le monde organique qui accueille malgré eux Mario et Luigi, en plein cœur d’un épisode de « il était une fois la vie » ! Dès lors, afin de servir quelques desseins héroïques, nos plombiers vont s’atteler à « réparer » l’organisme déréglé de leur antagoniste en le manipulant. Bowser, lui, jalouse Gracowitz et ne demande qu’à reprendre par la force sa place de grand méchant attitré. Un quiproquo qui donne évidemment lieux à des scènes cocasses et complètement loufoques, au service d’un scénario efficace qui ne se prend pas au sérieux.
Sur la forme le titre se présente comme un J-RPG classique avec de l’expérience, de l’équipement et des combats au tour par tour d’un rare dynamisme. En effet, chaque action va nécessiter une petite combinaison et un timing précis avant de porter ses fruits. Cela est d’autant plus vrai pour les phases défensives, où il faut lire la trajectoire et le patern de l’attaque adverse afin de la parer plus efficacement. Les coups spéciaux sont aussi soumis à ce régime et requièrent une manipulation spécifique dont la bonne exécution déterminera les dégâts infligés. Réflexes et sens de l’observation sont ainsi mis à l’épreuve afin de déjouer des affrontements pas toujours évidents. L’exploration apporte également sa dose de situations comiques à dénouer, et use intelligemment des capacités tactiles de la console pour exposer des idées de game design souvent excellentes. Enfin, les donjons ne sont pas en reste et, par l’intermédiaire d’énigmes diverses et variées, demandent d’utiliser en bonne intelligence les aptitudes de nos héros histoire de progresser sans encombre. Ajoutez une navigation permanente et en temps réel entre l’écran du haut, dédié à Bowser, et celui du bas, réservé à Mario & Luigi, pour parachever un concept original et fichtrement ingénieux !
Techniquement le titre de Nintendo se pare d’une 2D fine et colorée. En résulte de jolis décors, une animation soignée et d’excellents effets visuels. De quoi appuyer le ton léger de l’intrigue. La bande son vient renforcer cette ambiance bon enfant, en se contentant de thèmes sympathiques et de bruitages convaincants.
Mario & Luigi : Voyage au centre de Bowser s’impose comme une aventure dense et rafraichissante, bourrée d’idées atypiques au service d’un gameplay très fun. Une fois n’est pas coutume, la franchise brille par son audace et son originalité, même si on pourra lui reprocher quelques lourdeurs. En effet, l’humour ne fait pas toujours mouche et l’abondance de didacticiels peut vite agacer. Pas de quoi remettre en question la qualité de l’expérience de jeu, qui s’étale sur une grosse vingtaine d’heures. Et si cet opus réemprunte les mécaniques de base entrevues dans Superstar Saga et Partners in Time, il apporte suffisamment de nouveautés pour attirer l’attention des joueurs. Le mot de la fin Maurice ? Simplement excellent.