themightywatcher a dit (17 Septembre 2025 à 11:21)
Le jeu a des moments infamement dur oui, j'avoue que les devs ont pétés leurs crâne un peu...
Benben a dit (17 Septembre 2025 à 08:54)
Haha j'en chie comme jamais ^_^' Certaines arènes me font péter des câbles !
Manifael a dit (15 Septembre 2025 à 15:01)
Terminé en 4h30. Commencé hier soir, fini ce matin. C'était sympa, c'est extrêmement addictif, et l'histoire en fond est originale. Si vous aimé déballer des cartons et ranger le tout comme bon vous semble, foncez !!
Franz26 a dit (14 Septembre 2025 à 08:42)
Alors que la démocratisation des softs dématérialisés bat son plein grâce à l’essor du PS Store et du Xbox Live, Rain arrive en fin de vie de la génération PS360 et compte surfer sur la vibe des jeux mélancoliques au gameplay minimaliste. Mais si un certain Journey a montré la voie, l’exercice ne s’avère pas si simple à imiter…
Rain se démarque d’abord par une réalisation atypique happant le joueur dans un monde grisâtre et mystérieux, baigné d’une pluie continue. Cette esthétique volontairement terne, exposée au travers d’une ville à l’inspiration européenne milieu 19e, sert de catalyseur principal afin de véhiculer la mélancolie recherchée. Une direction artistique monochrome au parti pris intéressant, faisant de Rain une petite réussite technique malgré une redondance visuelle inévitable.
Les ruelles sombres de la ville sont ainsi le théâtre d’une course poursuite entre un jeune garçon immatériel et des créatures agressives tout aussi éthérées. L’enfant fantôme va inlassablement poursuivre la silhouette d’une jeune fille, affectée par la même problématique, et coopérer avec elle pour échapper à un némésis peu enclin au dialogue. Omettant tout contexte et background, les développeurs nous laissent ainsi seuls et perdus dans cet univers, tel nos deux protagonistes. Quelques lignes de texte commenteront néanmoins leurs péripéties, délivrant ainsi une narration assez maladroite et pourtant nébuleuse.
Rain se pose donc comme un jeu de réflexion à la 3e personne, non sans rappeler un certain Ico dans son approche épurée du gameplay. Phases de plateformes minimalistes et énigmes sommaires constituent donc l’essence du gameplay, qui repose sur l’interaction permanente avec l’eau. En effet, tous les êtres de ce monde sont invisibles et seule la pluie révèle leur silhouette à l’écran. Il va donc falloir jouer avec ces éléments et les abris à votre disposition pour vous échapper de la ville, sous le nez des créatures immatérielles hostiles. En ce sens, Rain ressemble finalement davantage à un jeu d’infiltration qu’autre chose.
Mais si sur le papier le concept semble intéressant, il n'est pas exploité jusqu'au bout et ne transcende finalement guère l’expérience. La boucle de gameplay se résume à pousser des éléments de décor, déclencher quelques diversions et s’abriter lorsque le danger arrive. La tension qui s’ensuit parfois, notamment grâce à une mise en scène réussie jouant de plans fixes, est vite désamorcée par l’absence de challenge. L’aventure se boucle en quelques heures, et ce ne sont pas les éléments scénaristiques sous forme de « souvenirs » délivrés lors d’une seconde partie qui motivent à s’investir davantage. La bande son composée essentiellement au piano, mélancolique et relaxante afin d'appuyer la tristesse de ce monde, ne suffit pas non plus à éclipser le faible intérêt ludique du titre.
Limité dans son gameplay, pas assez profond dans sa réflexion malgré des thématiques solides, Rain ne semble pas vraiment savoir sur quel pied danser et manque un peu de génie pour devenir un incontournable. Accablé par des mécaniques vite redondantes et peinant à nous impliquer émotionnellement à 100%, il se vit néanmoins comme un conte poétique enrobé d’une jolie direction artistique. Et si ses goutes n’ont laissé qu’une empreinte éphémère dans le paysage vidéoludique, le rideau de pluie se ferme sous des applaudissements méritants.
themightywatcher a dit (09 Septembre 2025 à 10:40)
Voilaaaa c'est ça que j'aime entendre x)
Force soldat si t'a fini autant de jeux dur t'y arrivera t'inquiète !
kev013m a dit (08 Septembre 2025 à 23:10)
Bon je rectifie mon jugement, je prend enfin du plaisir même si je me fais défoncer. Je reviendrai dans 40h
themightywatcher a dit (08 Septembre 2025 à 20:48)
Frérot t'a joué que 4 petites heures à un jeu qui en dure au moins 70. Si t'a réussit à finir tout les souls mais que tu chouine pour trois insectes volants codés de manière chiante excuse moi de pas te prendre au sérieux, moi aussi je suis frustré quand je meurs dans une room piégée avec des ennemis trop fort pour moi, ou quand je perds ma thune en ratant une runback à cause d'une section de parcours foireuse. Mais j'en fait pas tout un plat pour autant, c'est pas pire que les Dark Souls (même large moins pire que dark souls 1 en terme de runback) donc aller redresse toi, respire un bon coup et persévère garçon
kriswoo a dit (08 Septembre 2025 à 14:59)
Vraiment un des meilleurs jeux que j'ai fait... et quel scénario !
themightywatcher a dit (08 Septembre 2025 à 10:53)
te fait pas ragebait, c'est juste quelqu'un qui est pas la cible de ce genre de jeu et qui a du skill issue x)
Benben a dit (08 Septembre 2025 à 08:50)
- Toujours le même design de map incompréhensible
> Hmm ça c'est subjectif, je trouve les maps parfaitement lisibles
- Plus d'attaques basse
> Tu peux équiper un charme pour passer d'attaque diagonale à attaque verticale
- Difficulté trop élevé et frustrante
> Subjectif aussi... mais c'est le coeur même du gameplay !
- Banc à 3 Km
> Tu as peut-être manqué certains bancs ?
- Plus de système de charme à équiper
> Ben si...
- Zone pas exceptionnel
> Un peu moins envoûtant que dans Hollow Knight pour les 1eres zones je te le concède
- 7 ans pour ça ?
> Je te parie ma sauvegarde que les développeurs ont surtout passé 5 ans à profiter de leur pognon, et deux ans à bosser.