Sunread26 a dit (01 Octobre 2025 à 19:06)
http://sunread26.wordpress.com/2025/10/01/the-room-4-old-sins/
kev013m a dit (18 Septembre 2025 à 20:10)
Bon mon avis final sera celui ci, après 52h et avoir été jusqu'à l'acte 3
Le jeu est très bon, le gameplay est top, les mouvements sont beaucoup plus fluide que le premier, il y a énormément de PNJ et ils sont tous très réussis intéressant et chacun apporte du lore. Le level design de la map est aussi excellent, avec notamment beaucoup d'embranchement et différentes façon d'aborder les zones (même si certains raccourcis sont utilisé qu'une seule fois).
Pour moi le jeu aurait été parfait s'il n'avait pas été trop imparfait dans sa gestion de la difficulté, je n'ai jamais ressenti ça dans un jeu mais là c'est juste une punition. Les devs sont restés trop longtemps sous cloche durant ces 7 années et sans avis extérieur ils ont continué dans leur délire de difficulté ultra dure en pensant que les let's play de Youtube sur HK 1 étaient 98% des gens.
Il y a beaucoup trop d'arène présente dans ce jeu et qui sont trop longue pour rien. Le fait de battre un boss ne rapporte JAMAIS d'item, de récompense ou alors c'est extrêmement rare, donc il n'y a pas vraiment de satisfaction après une victoire.
L'amélioration de notre aiguille ne nous fait pas sentir plus fort car les ennemis vont être buff énormément surtout à la fin à l'acte 3. Toujours 4 à 5 coups pour tuer le moindre petit ennemis qui tape ENCORE du 2.
Autre point négatif pour moi est le 2 de dégâts systématique pour toutes les attaques de boss. Il aurait été plus judicieux de faire ça pour de très grosse attaque comme des ulti occasionnel. Ca rend le jeu encore plus punitif pour rien, nous pousse à toujours faire des perfect.
J'aime les jeux exigent et dur comme l'ont été tous les jeux From Software, mais ils n'ont jamais eu le vice de punir le joueur lamentablement sur le long terme. Quand tu meurs dans un Souls c'est entièrement ta faute et le jeu est toujours juste. Dans Silksong vous aurez des murs de difficultés à certains endroits qui ne sont pas du tout justifié. Ajoutez à ça des temps de trajet très long pour faire banc => boss. Ajoutez à ça que les 5 premières heures vous n'aurez jamais de perles car il faut acheter le moindre élément de carte fastidieux qui ne sert à rien en terme de gameplay, de mettre des paywall sur des choses futiles ne sert à rien.
Bref le jeu aurait pu être un chef d'œuvre clairement, mais sa direction est pour moi parti sur une mauvaise route. Trop de micro défaut rendent l'expérience plus frustrante finalement que fun, et le jeux vidéo doit avant tout procurer du fun. C'est pour ça que Nintendo vend la même chose depuis 45 ans. Je ne suis même pas sûr de conseiller ce jeu, allez plutôt faire le premier HK.
themightywatcher a dit (17 Septembre 2025 à 11:21)
Le jeu a des moments infamement dur oui, j'avoue que les devs ont pétés leurs crâne un peu...
Benben a dit (17 Septembre 2025 à 08:54)
Haha j'en chie comme jamais ^_^' Certaines arènes me font péter des câbles !
Manifael a dit (15 Septembre 2025 à 15:01)
Terminé en 4h30. Commencé hier soir, fini ce matin. C'était sympa, c'est extrêmement addictif, et l'histoire en fond est originale. Si vous aimé déballer des cartons et ranger le tout comme bon vous semble, foncez !!
Franz26 a dit (14 Septembre 2025 à 08:42)
Alors que la démocratisation des softs dématérialisés bat son plein grâce à l’essor du PS Store et du Xbox Live, Rain arrive en fin de vie de la génération PS360 et compte surfer sur la vibe des jeux mélancoliques au gameplay minimaliste. Mais si un certain Journey a montré la voie, l’exercice ne s’avère pas si simple à imiter…
Rain se démarque d’abord par une réalisation atypique happant le joueur dans un monde grisâtre et mystérieux, baigné d’une pluie continue. Cette esthétique volontairement terne, exposée au travers d’une ville à l’inspiration européenne milieu 19e, sert de catalyseur principal afin de véhiculer la mélancolie recherchée. Une direction artistique monochrome au parti pris intéressant, faisant de Rain une petite réussite technique malgré une redondance visuelle inévitable.
Les ruelles sombres de la ville sont ainsi le théâtre d’une course poursuite entre un jeune garçon immatériel et des créatures agressives tout aussi éthérées. L’enfant fantôme va inlassablement poursuivre la silhouette d’une jeune fille, affectée par la même problématique, et coopérer avec elle pour échapper à un némésis peu enclin au dialogue. Omettant tout contexte et background, les développeurs nous laissent ainsi seuls et perdus dans cet univers, tel nos deux protagonistes. Quelques lignes de texte commenteront néanmoins leurs péripéties, délivrant ainsi une narration assez maladroite et pourtant nébuleuse.
Rain se pose donc comme un jeu de réflexion à la 3e personne, non sans rappeler un certain Ico dans son approche épurée du gameplay. Phases de plateformes minimalistes et énigmes sommaires constituent donc l’essence du gameplay, qui repose sur l’interaction permanente avec l’eau. En effet, tous les êtres de ce monde sont invisibles et seule la pluie révèle leur silhouette à l’écran. Il va donc falloir jouer avec ces éléments et les abris à votre disposition pour vous échapper de la ville, sous le nez des créatures immatérielles hostiles. En ce sens, Rain ressemble finalement davantage à un jeu d’infiltration qu’autre chose.
Mais si sur le papier le concept semble intéressant, il n'est pas exploité jusqu'au bout et ne transcende finalement guère l’expérience. La boucle de gameplay se résume à pousser des éléments de décor, déclencher quelques diversions et s’abriter lorsque le danger arrive. La tension qui s’ensuit parfois, notamment grâce à une mise en scène réussie jouant de plans fixes, est vite désamorcée par l’absence de challenge. L’aventure se boucle en quelques heures, et ce ne sont pas les éléments scénaristiques sous forme de « souvenirs » délivrés lors d’une seconde partie qui motivent à s’investir davantage. La bande son composée essentiellement au piano, mélancolique et relaxante afin d'appuyer la tristesse de ce monde, ne suffit pas non plus à éclipser le faible intérêt ludique du titre.
Limité dans son gameplay, pas assez profond dans sa réflexion malgré des thématiques solides, Rain ne semble pas vraiment savoir sur quel pied danser et manque un peu de génie pour devenir un incontournable. Accablé par des mécaniques vite redondantes et peinant à nous impliquer émotionnellement à 100%, il se vit néanmoins comme un conte poétique enrobé d’une jolie direction artistique. Et si ses goutes n’ont laissé qu’une empreinte éphémère dans le paysage vidéoludique, le rideau de pluie se ferme sous des applaudissements méritants.
themightywatcher a dit (09 Septembre 2025 à 10:40)
Voilaaaa c'est ça que j'aime entendre x)
Force soldat si t'a fini autant de jeux dur t'y arrivera t'inquiète !
kev013m a dit (08 Septembre 2025 à 23:10)
Bon je rectifie mon jugement, je prend enfin du plaisir même si je me fais défoncer. Je reviendrai dans 40h
themightywatcher a dit (08 Septembre 2025 à 20:48)
Frérot t'a joué que 4 petites heures à un jeu qui en dure au moins 70. Si t'a réussit à finir tout les souls mais que tu chouine pour trois insectes volants codés de manière chiante excuse moi de pas te prendre au sérieux, moi aussi je suis frustré quand je meurs dans une room piégée avec des ennemis trop fort pour moi, ou quand je perds ma thune en ratant une runback à cause d'une section de parcours foireuse. Mais j'en fait pas tout un plat pour autant, c'est pas pire que les Dark Souls (même large moins pire que dark souls 1 en terme de runback) donc aller redresse toi, respire un bon coup et persévère garçon
kriswoo a dit (08 Septembre 2025 à 14:59)
Vraiment un des meilleurs jeux que j'ai fait... et quel scénario !