Lisa Azuelos Lisa Azuelos Sophie Marceau, François Cluzet, Lisa Azuelos...Pierre est marié depuis 15 ans et père de famille. Toujours amoureux de sa femme et épanoui dans sa vie de famille, c’est un homme heureux. Un soir, il rencontre Elsa. Ils parlent, rient, se plaisent. Comme cela arrive parfois. Quinze jours après, le hasard les fait se croiser à nouveau. L’attirance réciproque et naturelle est toujours aussi forte. Ils se l’avouent. Un cap est franchi. Mais Elsa n’a qu’un tabou, les hommes mariés, et Pierre est amoureux de sa femme et fidèle. Ils se séparent sans échanger leurs numéros de téléphone, préférant laisser le hasard de la vie faire son chemin. Entre ce qu’ils s'imaginent de cette histoire et ce qu'elle est vraiment, les fantasmes se mêlent à leur réalité. Mais la vie que l’on mène et celle que l'on s'imagine peuvent-elles un jour ne faire qu’une ? (Source : Allociné)
Sophie MarceauRôle principal
François CluzetRôle principal
Lisa AzuelosRôle secondaire
Alexandre AstierRôle secondaire
Lily TaïebRôle secondaire
Niels SchneiderRôle tertiaire
Arthur BenzaquenRôle tertiaire
Jonathan CohenRôle tertiaire
Stéphanie MuratRôle tertiaire
Olivia CôteRôle tertiaire
Thaïs AlessandrinRôle tertiaire
Stylane LecailleRôle tertiaire
Jules BenchetritRôle tertiaire
Tatiana KhayatPetit rôle
Non renseigné
Merci à FannyP qui a créé cette fiche
Une image sublime, des acteurs au top, une bande son magnifique...mais une fin complètement pourrie :(
De très belles mises en scène (et pas que la fin, il y a de très bonnes choses tout le long :))
C'était joliment inattendu !
J'ai honte mais me tourner vers une romance française actuelle me demande toujours des efforts et je n'ai pas pu accrocher avec Sophie Marceau ailleurs que dans La Boum, aussi je partais franchement à reculons.
Tant mieux d'ailleurs, ou je n'aurais peut-être pas tant aimé, parce que bon sang j'ai aimé. Même plus, j'étais fière qu'un film français soit aussi bien réalisé.
On contourne intelligement les stéréotypes, c'est bourré d'idées et tellement court qu'on a pas le temps d'être horripilés par l'adultère [spoiler] ( Le choix du "sad end" était plus que nécessaire, histoire de ne pas glorifier ce qui ne doit pas l'être, mais aussi de laisser tout ça dans l'iréel, le fantasme )
L'ajout de cette dimension quantique créé la profondeur et étoffe un récit a priori très plat : ces passages nous troublent en explorant toutes les possibilités, les "et si ?" qu'on ne verra pas ailleurs qu'ici. [/spoiler]
Et puis cette BO. Mais quelle classe ! S'offrir de caser de tels morceaux ET de les marier avec autant de justesse aux scènes, une merveille.