États-Unis, années 70.
Nous suivons le très brillant Jack à travers cinq incidents et découvrons les meurtres qui vont marquer son parcours de tueur en série. L'histoire est vécue du point de vue de Jack. Il considère chaque meurtre comme une œuvre d'art en soi. Alors que l'ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher (ce qui exaspère Jack et lui met la pression) il décide - contrairement à toute logique - de prendre de plus en plus de risques. Tout au long du film, nous découvrons les descriptions de Jack sur sa situation personnelle, ses problèmes et ses pensées à travers sa conversation avec un inconnu, Verge. Un mélange grotesque de sophismes, d’apitoiement presque enfantin sur soi et d'explications détaillées sur les manœuvres dangereuses et difficiles de Jack.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Non renseigné
Merci à Kimysmile qui a créé cette fiche
même si j'aime les films lent et que ça colle parfaitement à la mentalité du personnage. Je me suis incroyablement ennuyée..
Tous les ""bons"" passages sont dans la BA
Qu'est-ce que c'est long et sur 2h30, même en zappant plus de lam oitié du film, je me suis ennuyé comme jamais.
Très étrange, des moments brillants, d'autres assez déroutants. Une fin qui me laisse perplexe. Mais suivre Jack sur ces étapes, c'était incroyable. On vit vraiment les choses avec lui. C'est beau. Il a construit une bien belle maison.
J'aime bien ce genre de films et d'immersion dans un psychisme totalement différent.
C'était..intéressant
Impressionnant et captivant de bout en bout.
Des questionnements sur l'art, la perfection, la violence, la folie, tout à fait passionnants. Le film met en scène la violence débridée, irrationnelle, le mal absolu, incarné par Jack. Rien ni personne ne lui entrave le chemin, il est libre de ses excentricités. Le bien est absent du film. Sans tomber dans la fatalité, Lars Von Trier reste très religieux dans son approche, la justice si elle n'est pas humaine, elle est au moins divine.
Un humour complètement décalé très rafraîchissant, d'une modernité plastique hallucinante.
Une fois n’est pas coutume, le controversé Lars Von Trier sait comment faire parler de lui. Dès le début de sa carrière de réalisateur, il a su apporter beaucoup de profondeur à ses projets en ayant aussi cette volonté de choquer, de sortir des sentiers battus. « The House That Jack Built » ne démord pas à cette règle en offrant un spectacle déconcertant de bout en bout et c’est à travers une sorte de fable que sont racontées les péripéties du héros. C’est à la fois déconcertant de réalisme et de poésie, mais c’est aussi très long et parfois prétentieux. Certaines histoires ne valent pas le coup qu’on s’y attarde trop (notamment celles hors sujet au film) alors que d’autres sont prenantes. Si Lars Von Trier a parfois fait pire, on retiendra de son long-métrage une volonté de faire parler de lui. À travers les yeux d’un Matt Dilon correct mais sans plus, « The House That Jack Built » ne restera pas forcément dans les mémoires.