Joël, dix-sept ans, est un fils de bourgeois, respectueux des traditions et d'un sérieux à toute épreuve. Son rêve : entrer à Princeton pour s'y préparer à la carrière de chef d'entreprise. Joël n'a qu'une vague notion de son futur métier et, plus généralement, de la vie, l'amour et des risques qu'il faut parfois prendre pour réussir. L'absence temporaire de ses parents et une rencontre inattendue vont lui permettre de combler, en quelques jours ses lacunes. Ainsi, à l'initiative d'un copain qui l'engage à s'«éclater», Joël fait venir à son domicile une call-girl, Lana. Jeune, blonde, gracile et sensuelle, celle-ci surgit chez lui en pleine nuit, comme dans un rêve...
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
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Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Merci à cat qui a créé cette fiche
Mais que fait cette formidable bande-son dans une comédie érotique aussi laborieuse? Elle vient en sauveur, voilà qui est sûr, puisque je ne vois pas comment j'aurais pu supporter les 1h30 sans elle.
L'intrigue tient sur un post-it : un jeune Tom Cruise, ici lycéen seul dans la maison familiale pour quelques jours, engage une call-girl.
Pour combler le manque de scénario, les deux inaugurent leur amour naissant sur toutes les surfaces disponibles, s'infligent des discussions insipides, me contraignant à finir le film en x1.5.
Oui, c'est à peu près ce que j'aurai retenu de Risky Business, si je n'avais pas été occupée, du début à la fin, à m'émerveiller sur sa bande-son.
Clairement conquise depuis la première scène, avec son immersion sombre et stylisée amenée par un morceau électronique qui m'a aspirée illico dans son ambiance, jusqu'au générique de fin et sa mélodie, trop courte, en passant par Phil Collins et Journey qui me fichent des frissons à chaque fois.
Comment présenter ce détonnant patchwork, je me le demande. Disons : l'enfant ingrat de Blade Runner et 9 semaines 1/2.
Et alors que je termine ce petit avis, je me rappelle une fois encore que les films qui me marquent, chefs-d’œuvres ou nanars, sont ceux dont les BO tournent en boucle dans ma mémoire. Alors j'ai beau pester contre celui-ci, je suis sûrement partie pour plusieurs revisionnages. Les yeux fermés s'il le faudra.
C'est vrai que l'OST est terrible. Tangerine dream en même temps, c'est pas étonnant. ;)