Lionel Delplanque Annabelle Perrichon et Lionel Delplanque Clément Sibony, Clotilde Courau, Vincent Lecoeur...Axel de Fersen invite cinq jeunes comédiens, Sophie, Jeanne, Matthieu, Mathilde et Wilfried, à interpréter "Le Petit Chaperon rouge" en sa demeure, un inquiétant château.
Les jeunes gens sont accueillis par un étrange garde-chasse. Le maître des lieux, veuf et handicapé, leur explique qu'il les a recrutés pour animer l'anniversaire de son petit-fils Nicolas.
Tout se déroule normalement, jusqu'au dîner, pendant lequel l'enfant se plante une fourchette dans la main sous l’œil impassible de son père.
Plus tard, Axel est poignardé et son corps disparaît. Sophie n'a qu'une idée en tête, quitter le château au plus vite, mais ses amis ne partagent nullement son inquiétude...
Clément SibonyRôle principal
Clotilde CourauRôle principal
Rôle principal
Maud BuquetRôle principal
Alexia StrésiRôle principal
François BerléandRôle secondaire
Thibault TruffertRôle secondaire
Denis LavantRôle secondaire
Michel MullerRôle secondaire
Marie TrintignantRôle secondaire
Merci à Helran qui a créé cette fiche
Je sais pas trop comment décrire ce film...
Je crois qu'il est tellement éclaté, qu'en un sens il en devient assez réussi.
Enfin je veux dire, c'est tellement mauvais que ça donne un côté original et assez ... presque fascinant. Par exemple les acteurs. Clairement, ils sont vraiment, vraiment mauvais. Mais paradoxalement, ces longs plans qui s'éternisent sur leurs têtes d'ahuris, bah ça fonctionne assez bien. On a l'impression de complètement sortir d'un cadre réaliste, et de partir sur un film beaucoup plus bizarre, un peu à la manière de The Killing of a Sacred Deer. Bon, la différence c'est qu'ici, c'est absolument pas voulu.
Mais étonnamment, presque miraculeusement, la médiocrité de certains éléments fait prendre au film une direction que j'ai pas mal apprécié. Et je parle pas forcément d'un côté nanardesque, et donc drôle en un certain sens (même si sur pas mal de scènes, il y a de ça). Je parle réellement de scènes horrifiques, qui deviennent réussies mais sans que ce soit fait exprès, et pas pour les raisons attendues.