Jeté sans ménagement, Gobi, un jeune gobelet à usage unique, se retrouve plongé malgré lui dans un univers particulièrement hostile : une jungle urbaine, peuplée d’étranges créatures : les déchets. Convaincu qu’il a été abandonné par erreur, il est bien déterminé à retrouver Marie, sa propriétaire... et ce même s’il ne peut pas bouger !
Gobi le gobelet est seul au bord de la route. Convaincu d’avoir été abandonné par erreur par sa propriétaire, la douce et gentille Marie, Gobi se met en tête de la retrouver, quoi qu’il en coûte ! Commence une aventure initiatique qui le poussera à questionner le sens de sa vie et l’absurdité de sa condition de gobelet à usage unique... Mêlant animation et prises de vues réelles, une fable d’une folle inventivité imaginée par les auteurs Géraldine de Margerie et Maxime Donzel (duo aux manettes de Tutotal ou Pan pan culture), accompagnés à la direction de l’animation, Kim Keukeleire, grande figure internationale de l'animation qui a notamment travaillé sur Chicken Run, Wallace et Gromit, L'île aux chiens ou le Franckenweennie de Tim Burton.
(source : Arte.TV)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
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Extrait :
Cela faisait longtemps que je n’avais pas visionné un moyen métrage, enfin, c’est comme ça que je le nomme puisqu’il dure 48 min au total. Apparemment au départ, il s’agissait d’une série en quelques épisodes, mais au final, tout semble avoir été fusionné. Celui est disponible en visionnage sur Arte, il a été réalisé en France et en partie pas loin de chez moi !
Je pense que le titre et le synopsis suffisent à cerner le but premier de cette production. À savoir le gaspillage et la pollution que l’humain réalise en utilisant des objets parfois qu’une seule fois. En leur donnant vie, on leur offre aussi une voix et des émotions, dans le but d’interloquer encore plus le spectateur. Certains objets ont réellement une vie assez courte, un peu comme Gobi, le gobelet que l’on va suivre tout au long de cette histoire. Celui-ci va passer d’un personnage innocent voire un peu idiot à tout autre chose au fil de ses aventures. Il y aura aussi un peu de fantastique si je peux le dire ainsi, avec des capacités particulières qu’il développera. Peut-être une manière de montrer que ses déchets peuvent encore servir à quelque chose. Toutefois, malgré l’aspect écologique de l’œuvre, je ne pense pas pouvoir dire qu’elle est accessible à tout public. On passe évidemment à un moment donné par la case égouts où l’on retrouve tout ce que peuvent jeter les gens (et les dégâts que ça occasionne aussi), comme les tampons, les couches… les préservatifs. Avec des voix en plus un peu tendancieuses par moment donc je pense que ce n’est pas pour tout le monde…
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