Le Chat Potté découvre que sa passion pour l'aventure et son mépris du danger ont fini par lui coûter cher : il a épuisé huit de ses neuf vies, et en a perdu le compte au passage. Afin de retomber sur ses pattes notre héros velu se lance littéralement dans la quête de sa vie. Il s'embarque dans une aventure épique aux confins de la Forêt Sombre afin de dénicher la mythique Etoile à vœu, seule susceptible de lui rendre ses vies perdues. Mais quand il ne vous en reste qu’une, il faut savoir faire profil bas, se montrer prudent et demander de l’aide. C’est ainsi qu’il se tourne vers son ancienne partenaire et meilleure ennemie de toujours : l’ensorcelante Kitty Pattes De Velours. Le Chat Potté et la belle Kitty vont être aidés dans leur quête, à leur corps bien défendant, par Perro, un corniaud errant et galleux à la langue bien pendue et d’une inaltérable bonne humeur. Ensemble ils tenteront de garder une longueur d’avance sur la redoutable Boucles D’Or et son gang des Trois Ours, véritable famille de mafieux, mais aussi sur Little Jack Horner devenu bien grand, ou encore sur le chasseur de primes le plus féroce du coin : Le Loup. (Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Quelle incroyable surprise !
J'avoue avoir été très sceptique de voir Dreamworks sortir une suite au Chat Potté, onze ans après le premier volet, et ce alors que le film précédent était très enfantin et loin d'être mémorable. Pour autant ce nouveau long-métrage est une réussite totale. Déjà pour l'animation qui est vraiment originale et différente. Exit le photo réalisme de la saga Shrek et du premier Chat Potté, ici l'animation ressemble plus à celle de Spider-Man: Into the Spider-Verse, c'est-à-dire à une bande dessinée ou une toile de peinture qui prendrait vie sous nos yeux. C'est extrêmement rafraîchissant et à l'inverse de Disney/Pixar qui utilisent la même animation photo réaliste depuis plusieurs films, ce qui amènent toutes leurs dernières productions à se ressembler. Rien que pour l'animation choisie, ce Chat Potté 2 a un supplément d'âme et un style qui lui est propre.
Concernant l'histoire, la quête à suivre est assez sympathique. Le Chat Potté a épuisé ses 8 premières vies et doit faire très attention à cette dernière chance qu'il a. Cela fait fortement écho à Antonio Banderas qui a failli mourir d'une crise cardiaque en 2017, avant d'être sauvé par une opération en urgence. Sa performance vocale ne m'a d'ailleurs jamais autant paru juste et inspirée. Chapeau également à Florence Pugh et Samson Kayo excellents eux aussi.
Pour le reste c'est toujours un plaisir de voir les contes de fées et légendes être réutilisés et détournés comme dans la saga Shrek. On sent venir les différentes morales du long-métrage mais le récit est plaisant et je pense que des enfants seraient davantage surpris.
Plus de films comme ça et moins de productions comme En Route ou Abominable svp Dreamworks !
Tout y est, une animation rafraichissante, des détournements et un univers toujours aussi riche et intéressant, de bon gags et une thématique assez rare pour un film pour enfant, la peur de la mort.
Si Shrek 5 et dans cette veine la ça promet du lourd, sinon...
Tres bien sur tous les points !
Une animation qui fait du bien et qui rend épique lors des batailles. Une ecriture sur des sujets loin d'être enfantin, des personnages attachant, des antagonistes intéressant et le loup... Quel style ce loup!
Je l'ai trouvé largement plus réussi que le premier, un bijou d'animation. Mention spéciale aux scènes avec le grand méchant loup qui m'ont fait frissonner à chaque fois. Ça fait longtemps qu'un vrai méchant ne m'avait pas fait aussi peur (en VO, c'est encore mieux !) et je trouve que cette peur est justement bien représentée dans ces quelques scènes, ça contraste à merveille avec tout le reste.