Persuadé qu'une invasion extraterrestre est imminente, un homme décide de sauver le monde... et commence par kidnapper son patron. (Source : themoviedb)
Si le réalisateur voulait faire un film lâche qui critique vaguement la société tout en vidant le contenu de toute substance politique afin que tout le public l'adore et le trouve courageux, alors bravo Yórgos ! Après tout, c'est tellement plus facile d'accuser l'humanité en tant qu'espèce plutôt que le capitalisme ou la cupidité des chefs d'entreprises. Personne n'ira contester cette idée - pas même Elon Musk.
je trouve justemment que la fin donne plus d'importance au film. Car ça montre que même ce mec perdu, victime de cette société écrasante était en fait capable de comprendrendre qui lui arrivait, et le reste ne fait rien par résignation ... ce qui s'applique très bien à notre société.
Pour moi, c'est un film fantastique, rien de plus. ^^ Il n'y a pas de message caché à la fin et d'analyse particulière à faire. Mais c'est sympa de voir que chacun interprète cette fin à sa manière.
Et du coup, c'est un bon film fantastique contemporain/SF, qui a le mérite de proposer autre chose que de l'horreur/gore ou du fantastique/gothique. Lánthimos me donne une fois encore l'impression de nous raconter les cauchemars qui hantent son sommeil. (Truc drôle : Ari Aster est un des producteurs du film et il aurait eu une légère influence lors de l'écriture du scénario de Will Tracy, pourquoi n'est-ce pas étonnant ? ^^)
Parmi les petites choses qui m'ont cependant déplu : beaucoup de parlotte redondante entre les personnages, peu d'action. Même si le sujet est intéressant, toutes ces longueurs font que ça n'en fera pas un grand film.
Pourtant, Jesse Plemons notamment, est très bon. (plus qu'Emma Stone, selon mes goûts)
Avouons quand même avoir beaucoup aimé la fin ! Ce qui nous fait dire que le film, avec un réalisateur moins limité, aurait pu être une merveille d’humour noir plutôt que ce pensum constitué de champs/contre-champs pour l’essentiel et qui tourne rapidement en rond. Reste à découvrir l’original coréen qui date d’une vingtaine d’années...
Si le réalisateur voulait faire un film lâche qui critique vaguement la société tout en vidant le contenu de toute substance politique afin que tout le public l'adore et le trouve courageux, alors bravo Yórgos ! Après tout, c'est tellement plus facile d'accuser l'humanité en tant qu'espèce plutôt que le capitalisme ou la cupidité des chefs d'entreprises. Personne n'ira contester cette idée - pas même Elon Musk.
pourquoi gacher un film si bien fait avec un fin aussi nul !!!!!!!
je trouve justemment que la fin donne plus d'importance au film. Car ça montre que même ce mec perdu, victime de cette société écrasante était en fait capable de comprendrendre qui lui arrivait, et le reste ne fait rien par résignation ... ce qui s'applique très bien à notre société.
Pour moi, c'est un film fantastique, rien de plus. ^^ Il n'y a pas de message caché à la fin et d'analyse particulière à faire. Mais c'est sympa de voir que chacun interprète cette fin à sa manière.
Et du coup, c'est un bon film fantastique contemporain/SF, qui a le mérite de proposer autre chose que de l'horreur/gore ou du fantastique/gothique. Lánthimos me donne une fois encore l'impression de nous raconter les cauchemars qui hantent son sommeil. (Truc drôle : Ari Aster est un des producteurs du film et il aurait eu une légère influence lors de l'écriture du scénario de Will Tracy, pourquoi n'est-ce pas étonnant ? ^^)
Parmi les petites choses qui m'ont cependant déplu : beaucoup de parlotte redondante entre les personnages, peu d'action. Même si le sujet est intéressant, toutes ces longueurs font que ça n'en fera pas un grand film.
Pourtant, Jesse Plemons notamment, est très bon. (plus qu'Emma Stone, selon mes goûts)
Avouons quand même avoir beaucoup aimé la fin ! Ce qui nous fait dire que le film, avec un réalisateur moins limité, aurait pu être une merveille d’humour noir plutôt que ce pensum constitué de champs/contre-champs pour l’essentiel et qui tourne rapidement en rond. Reste à découvrir l’original coréen qui date d’une vingtaine d’années...