Détails

Durée moyenne du jeu

93 h

Date de sortie EUR JP USA

1 avril 2015

Résumé / Contenu du jeu

Contenu de la version Scholar of the First Sin
Scholar of the First Sin est la version améliorée du jeu de base, contenant tous les DLC du jeu (Crown of the Sunken King, Crown of the Old Iron King, Crown Crown of the Ivory King), et des graphismes revus (un affichage en 1080p à 60FPS pour les versions PS4 et XBox One, utilisation de DirectX11 au lieu du 9 sur PC). Les emplacement et les réactions des ennemis ont également été modifiés, et le jeu peut accueillir jusqu'à six joueurs en ligne.

Synopsis
Alors que la terrible malédiction des "carcasses" s'abat sur vous et le monde de Drangleic. Vous partez en quête de réponse et surtout dans l'espoir de briser le maléfice rendant les vivants en carcasses. Pour cela vous devrez accomplir une grande aventure mettant souvent vos nerfs à bout .

Wikipedia

Saga

Commentaires (2)

  • avatar Benben
    17 / 20Le 08 Décembre 2015 à 10:28Benben

    Avec quel jeu attaquer la 8é génération de consoles ? Avec le portage d'un jeu de 7é génération pardi ! Mais tant qu'à faire, autant en choisir un bon, un très bon, un qui devrait imprimer les boutons de la manette sur les mains tel un fer rouge. Alors c'est parti pour un voyage en Drangleic avec Dark Souls II.

    Sans surprises, From Software reprend la même recette que pour les opus Souls précédents et largue le joueur au beau milieu d'un monde hostile et oppressant. Histoire de rameuter du public, on a droit à un enrobage et une narration plus poussés et DEUX cinématiques d'intro vont venir expliquer pourquoi on se retrouve à poil au milieu des bois. On retrouve très vite ses marques après la 1ere mort qui doit survenir dans les deux premières minutes de jeu et qui donne accès au bien nommé succès "This is Dark Souls". Le ton est donné, l'aventure peut débuter.

    La version Scholar of the First Sin propose un rendu visuel vraiment éblouissant : le jeu est fluide (60 FPS constants), les effets de lumière toujours bien placés, les décors variés et impressionnants, les effets spéciaux moins kitsch. Bref, c'est du tout bon et c'est vraiment plaisant de pouvoir apprécier la direction artistique à sa juste valeur dans des conditions idéales.

    A l'image de Demon's Souls, on ne pourra ici monter de niveau qu'en un seul endroit de Drangleic, et ce, en allant discuter avec un PNJ aux relents tout aussi mélancoliques que ceux de la Maiden in Black. Si le fait de devoir retourner dans cette zone centrale peut paraitre rébarbative, il n'en est rien, car ce havre de pseudo paix permettra également de retrouver d'autres PNJ libérés, d'acheter des items uniques, d'améliorer ses armes, bref, de se préparer à affronter des créatures toujours plus fortes.

    Cependant, j'ai trouvé la difficulté de cet opus bien moins élevée que dans Dark Souls. D'aucuns diront qu'après avoir terminé les deux premiers Souls, on est rodé au genre, mais rien dans la partie hors DLC ne m'aura tenu tête bien longtemps. Avec une atmosphère globalement bien moins sombre, si l'aventure n'a certes rien d'une balade champêtre, elle a peiné à me mettre dans l'ambiance qui m'avait complètement accroché dans les volets précédents.

    Cela dit, certains lieux comme le Gutter, Lost Bastille ou Undead Crypt sont de dignes enfants du genre, et resteront collés dans mes rétines encore longtemps. La variété des zones apporte un renouveau constant et l'exploration, si elle est toujours sujette à des moments de gros stress, demeure un point crucial de l’œuvre. La découverte de passages secrets, les rencontres fortuites avec un bestiaire plutôt bien inspiré, l'ouverture de raccourcis, font partie intégrante du gameplay et s'avèrent nécessaires pour dénicher les meilleurs objets et comprendre Drangleic.

    Les boss, nombreux, ne proposent hélas que peu de patterns et à part quelques exceptions (The Pursuer, salaud !) on retrouvera sous une apparence différente un même type de combattant qu'on aura tôt fait de mettre en pièce. Certains boss optionnels (Executionner's Chariot, Old Dragonslayer...) rendront quant à eux les duels plus variés et opposeront un challenge digne dont on sera plus que soulagé de sortir vainqueur.

    Les 3 DLC proposés avec cette version apportent chacun beaucoup de choses : beaucoup d'heures de jeu, une difficulté démultipliée, de l'originalité. Si l'aventure principale m'a parue limite facile, ce fut une toute autre paire de manches pour récupérer les trois couronnes des rois déchus... Et que dire des boss optionnels carrément surpuissants et qui demandent de surcroît de survivre à un parcours du combattant avant de les atteindre ! Il y a donc ici de quoi rallonger le durée de vie déjà conséquente de Dark Souls II.

    68 heures m'auront donc été nécessaires avant de donner un dernier coup d'épée et de lever la malédiction pesant sur Drangleic. J'en ressors avec l'impression d'avoir vécu encore une fois un grand jeu d'aventure, digne successeur de la saga Souls, qui trouve sa propre identité dans les petites différences qu'il affiche par rapport à son épique grand frère.

    Version Playstation 4 68 h de jeu
  • avatar Franz26
    17 / 20Le 19 Décembre 2017 à 07:46Franz26

    Ayant un léger train de retard par rapport au rythme de sortie des différents opus, désireux de savourer au maximum, je me lance enfin dans la version ultime de Dark Souls II : Scholar of the First Sin sur Playstation 4. Et bien qu’il s’agisse de l’opus le plus critiqué de la série, j’en frissonne de désir tant je voue un culte à la formidable saga de From Software ! Plongeons ensemble dans l’univers tortueux de Drangleic, et voyons si l’attente valait le coup.

    Découvrir Dark Souls 2 par l’intermédiaire de cette version complète sur PS4 se révèle un luxe non négligeable. Car, outre l’aspect technique rehaussé et l’accès aux trois contenus additionnels, divers patchs et correctifs sont venus corriger quelques soucis afin de peaufiner l’expérience de jeu. Profitons-en !

    Passé une intrigante introduction et des premiers pas fébriles, généralement suivis d’une mort prématurée annonçant la couleur, les repaires reviennent vites. Le gameplay reprend en effet les bases de son aîné, et nous voici en présence d’un action-RPG exigeant qui nécessitera une bonne dose patience et de persévérance par moment. A vous de modeler les caractéristiques de votre avatar comme bon vous semble, en prenant soin de ne pas trop se disperser. Car votre réussite dépendra tant de votre habilité au combat que de votre capacité à upgrader votre personnage et vos armes correctement. On retrouve donc le système d’âmes cher à la série, allant de pair avec la forge et le loot d’équipements divers et variés. Rien de bien nouveau : le gameplay de Dark Souls 2 joue la continuité tout en approfondissant quelques points, pour un résultat parfaitement maîtrisé et jouissif.

    Le scénario se révélera aussi mystérieux qu’à l’accoutumé, et à moins de prendre le temps de lire les innombrables descriptions de l’inventaire, d’attacher une importance capitale aux rares dialogues et de recouper l’ensemble malgré une chronologie complexe : il sera difficile de profiter de l’incroyable background du titre dont le fil conducteur narre l’histoire tragique du roi Vendrick. Pourtant l’enjeu en vaut la chandelle, d’autant que les DLCs apportent quelques éléments supplémentaires. Sans transition, ces derniers tirent aussi la durée vers le haut pour quiconque désire profiter à fond de l’aventure. Sans parler du PVP et de l’appel enivrant du NG+ ! Des dizaines d’heures de bonheur en perspective.

    Alors que Dark Souls avait mystifié tout le monde avec son level-design de génie, celui de Scholar of The First Sin, certes globalement inspiré, n’égale que rarement celui de son ainé malgré quelques lieux d’exceptions. En résulte un sentiment d’exploration toujours grisant mais légèrement moins bluffant. Verdict similaire au niveau de l’ambiance, le monde de Drangleic dégageant une atmosphère peut-être un peu moins oppressante qu’auparavant. La luminosité abondante officiant dans de nombreuses zones ayant sa part de responsabilité à ce sujet. Mais ceci n’enlève rien au charme que dégage le titre, sentiment allègrement renforcé par des musiques et des bruitages qui catalysent parfaitement l’ambiance et l’immersion générale. Quant au bestiaire, il présente encore une fois des ennemis atypiques avec son lot de boss mémorables et impitoyables ! Souffrant inévitablement de la comparaison avec son aîné, l’univers de Dark Souls 2 n’en reste pas moins fantastique.

    Enfin, on appréciera le lifting technique opéré sur cette version PS4, rendant justice à une direction artistique de grande qualité. Bien que critiqué par une partie de la communauté, cet opus propose à mon sens une formidable expérience de jeu. Porté par un gameplay génial et une atmosphère exceptionnelle, ce sombre et sinueux périple vous transportera aux confins du monde mystérieux de Drangelic, théâtre régulier d’émerveillements tant visuels que conceptuels. Malgré quelques imperfections, difficile de bouder son plaisir et de ne pas s’immerger dans ce formidable univers. Dark Souls II : Scholar of The First Sin m’apparaît sans aucun doute comme une étape indispensable à l’appréhension de la saga, et il serait criminel de s’en passer.

    Version Playstation 4 70 h de jeu
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