Dreadz23 a dit (02 Janvier 2023 à 01:21)
Quelle merveille, ce jeu !
Points positifs :
- La direction artistique, que ce soit le jeu en lui-même où les aquarelles proposées en bonus.
- La musique
- L'originalité du gameplay
- Le challenge de l'écriture, bien plus corsée qu'elle n'y parait !
- La voix de la narratrice <3
Points négatifs :
- ?
:D
Franz26 a dit (31 Décembre 2022 à 09:12)
Exclusivité Playstation 3 sortie en 2009, c’est sur le tard que je découvris Demon’s Souls, motivé par les critiques dithyrambiques de mon entourage. Nous sommes donc en 2015, et je m’apprête à vivre l’une des expériences les plus mémorables de ma vie de joueur. Complètement happé par cet univers hors-norme et ses mécaniques de jeu, mon dévolu se porta ensuite tout naturellement sur Dark Souls. Plus qu’une confirmation, un véritable aboutissement venant conforter l’aura de cette nouvelle franchise. A mes yeux la plus marquante des deux dernières décennies ! Les pixels ont depuis coulé sur les écrans, engendrant des œuvres toutes aussi grandioses les unes que les autres et hissant From Software parmi les grands. Fort de cette renommée mondiale, les développeurs ont cédé à l’appel de la communauté avec une refonte luxueuse de Demon’s Souls sur Playstation 5. Là où tout a commencé…
Soyons franc, Demon’s Souls n’avait pas forcément besoin d’un remake tant la copie de base était solide. Si cette pratique se justifie avec les titres pré-PS360, elle s’avère selon moi dénuée de sens pour une large majorité des productions plus récentes. Pourtant, difficile de bouder son plaisir devant le lifting opéré sur le royaume de Bolétaria ! Les gars de Bluepoint Games, mandatés par From Software, ont réalisé un travail impeccable tant sur la fluidité que sur les textures, au point de dépasser le rendu d’un Dark Souls 3. Cette réalisation de haute voltige, en sus de gommer quelques soucis techniques de l’époque (framerate aux fraises, temps de chargement pesants, etc…) rend honneur à l’incroyable direction artistique du titre tout en respectant à la lettre l’œuvre originelle.
Car c’est le grand tour de force de ce remake : nous faire replonger dans ces environnements tourmentés au level design savant avec une familiarité naturelle, quasi déconcertante tant les marques et les repères se révèlent similaires. C’est pourquoi je ne vous infligerai pas un grand monologue, les sensations et les mécaniques de jeu étant sensiblement les mêmes. Ma review de l’époque fera amplement le taff. Voir ci-dessus.
On notera des petites améliorations bienvenues, tel que les objets ramassés en surplus envoyés directement dans la réserve, une interface plus fluide ou encore la téléportation d’un monde à l’autre désormais possible sans transition par le Nexus. Bref, des détails ci et là au service d’un gameplay d’exception, toujours aussi exigeant et gratifiant. Dans les faits, ma connaissance du terrain m’a permis de rouler sur les dangers sans réel pic de difficulté. En a résulté un premier run, pourtant soigné, en à peine 25 heures, et un NG+ bouclé en moitié moins de temps. Avis aux amateurs : je vous confirme la viabilité d’un build foi avec une arme bénie+5 (marteau Miridan à deux mains de préférence) et un bouclier du Juge+5, engendrant ainsi une insolente régénération automatique des PV. Juste assez de MP pour lancer le miracle « seconde chance », et le reste de vos âmes à répartir entre vitalité et endurance. Efficacité garantie.
Prémices d’une œuvre mythique de la Dark Fantasy, Demon’s Souls Remake nous convie à un périple torturé, orchestré par une direction artistique divine et une bande son immersive. Un chef d’œuvre au gameplay dépoussiéré, occasion idéale pour revisiter ou découvrir l’opus géniteur des SoulsBorne dans une version current-gen. Et si l’initiative était dispensable, elle n’en reste pas moins enivrante de nostalgie et o combien délectable.
Dreadz23 a dit (31 Décembre 2022 à 02:46)
Mais quel enfer, j'ai rarement vu pire jeu.
J'ai somnolé au bout de 10 minutes, c'était intenable.
Je me suis un peu réveillée au moment des grottes, c'était joli. Mais ça s'arrête là.
La liste des défauts est longue :
- Musique soporifique. Pas mélodieuse, planante, pouvant laisser l'esprit aller aux divagations... Non, les musiques sont horribles ^^
- C'est un simulateur de marche certes. Mais là, on ne fait vraiment rien. A part avancer et tourner la caméra. Même pas ouvrir un livre, émettre un petit son quand on passe sous l'eau froide, crier quand on fait une chute de 10 mètres... Je ne crois pas qu'on déplace un personnage, je pense qu'on incarne une caméra en fait.
- A part les grottes, ce n'est pas même joli. Des paysages comme on en voit tant dans d'autres jeux. Mais dans ceux-là, il y a au moins quelque chose en plus à faire.
- La voix du narrateur..... C'est déjà compliqué de comprendre ce qu'il raconte mais en plus, sa voix ne donne pas envie de l'écouter...
- Aucun saut. Vraiment, tout ce qu'on fait c'est déplacer une caméra. Si on est bloqué par un caillou, il faut fortement serrer les fesses et croiser les doigts pour espérer se dépatouiller parce le saut n'existe pas dans ce monde. A quoi cela servirait-il dans un monde où l'on marche, me direz-vous ?
Bon bref, fuyez de toute urgence. Ce n'est même pas relaxant, joli à contempler où quoique ce soit... Bien contente de ne pas avoir payé ce jeu, tiens ^^'
Dreadz23 a dit (31 Décembre 2022 à 01:25)
Mouai, pas convaincue.
De bonnes idées mais pas mal de trucs ont pourri mon expérience de jeu.
Mon avis Steam, rédigé le 28/12/2022 :
J'ai joué 3 heures à ce jeu il y a de cela peut-être un mois.
Je viens de m'y remettre et je suis complètement paumée.
Je ne sais pas où aller, soit disant les oiseaux m'aident si je suis perdue... Je ne vois pas en quoi : Quand on chante, il vient et n'indique pas dans quelle direction il faut aller.
J'ai beau chercher, je ne vois nulle part où il est indiqué le mapping des touches, je cherche à tâtons et ça me gaaaave.
(Pour info, c'est Maj pour viser). Ca fait une heure que j'ai relancé le jeu et je viens tout juste de (re)découvrir qu'on peut utiliser un chant différent en utilisant la roulette. Sans déconner, c'est un bordel monstre ce jeu.
Je veux bien qu'on ne nous tienne pas par la main mais il y a des limites quand même...
Et puis toujours les autres points négatifs qui m'avaient déjà sauté aux yeux à l'époque :
- La caméra horrible
- On peut afficher la map mais pas la déplacer. Ca fout un petit coup de nerf quand on s'en rend compte, étant donné que c'est le perso qui se déplace derrière...du coup on fait bien de la m*rde.
Re-edit : youpi, j'ai enfin trouvé où sont indiquées les commandes...en quittant le jeu^^ On ne peut pas les voir en partie, seulement dans le menu principal du jeu...
Ultime Edit : J'ai fini le jeu, je cherche maintenant à faire les trophées manquants. Je pense que ça ne va pas être possible s'il faut tous les cristaux pour débloquer les capas car un bug de jeu m'empêche d'accéder à une des zones du Marais. J'ai beau chanter, les fleurs roses ne s'activent pas et je n'ai pas d'autres moyens de monter. Voilà voilà, youpi.
Franz26 a dit (30 Décembre 2022 à 08:49)
Sorti en 2012 sur les plateformes dématérialisées de l’époque, Sine Mora s’est fait une petite réputation dans le milieu. Ainsi, ce Shoot’em up en scrolling horizontal avait déjà attiré mon attention, mais il fallut attendre l’arrivée d’un portage Switch et de quelques jours de vacances pour que je tente enfin l’expérience.
« Version EX, c’est quoi ? » Noble question qui trouve sa réponse sur Google. En synthétique : ajout de contenu, réalisation rehaussée, mode 19:9, etc... Plutôt cool non ? Pas de quoi repasser à la caisse pour les vieux de la vieille, mais une excellente opportunité pour les autres !
Techniquement Sine Mora EX impressionne et se pare d’une 3D fine, pleine de couleurs, aux textures propres et à la fluidité remarquable. Des changements de perspectives, zooms et autres jeux de caméra du plus bel effet viennent enrichir l’expérience visuelle sans nuire à l’action frénétique. Car oui, « Shmeup » oblige, le concept du titre se résume à annihiler vos ennemis tout en évitant les projectiles et obstacles à l’écran.
Outre une esthétique particulièrement soignée, Sine Mora se distingue aussi par quelques mécaniques de gameplay originales. Tout d’abord, c’est une minuterie qui représente la barre de vie de notre vaisseau. On gagne du temps en tuant des ennemis, on en perd en se faisant toucher, et une fois à 0 c’est l’explosion. De nombreux bonus sont à ramasser en chemin : upgrades arme principale, munitions arme secondaire, bouclier, gain de temps, de points, etc… On notera surtout la capacité de figer le temps, bien utile pour éviter les salves de missiles envahissant l’écran et surmonter l’adversité imposée par les immenses boss du jeu. Malgré des arrière-plans fourmillants de détails, la lisibilité globale se veut excellente et vient pérenniser un gameplay à l’efficacité redoutable.
Cerise sur le gâteau, en sus du mode arcade, coopération, boss training, défis, etc…, Sine Mora EX propose une campagne scénarisée aux commandes de différents pilotes. Quelques cinématiques et pavés de textes entrecoupent les missions et accentuent l’immersion dans cet univers SF aux airs rétro post-industriel. Plusieurs vaisseaux dégagent un petit air vintage amusant. L’ambiance sonore n’est pas en reste, avec des musiques sympathiques et un sound design aiguisé au service d’un « game feel » bienveillant.
Avec sa réalisation de haute voltige, son gameplay énergique et sa direction artistique colorée, Sine Mora EX a tout des grands Shoot’em up. Les amateurs y trouveront largement leur compte en profitant de la myriade de modes différents et des joies du scoring. Paradoxalement, ma notation n’atteindra pas les sommets. Ni voyez rien d’autre qu’un manque d’affinités avec un genre que j’apprécie, mais pour lequel je reste relativement imperméable. J’ai tout de même passé un excellent moment, typé arcade, loin de mes carcans habituels.
Sunread26 a dit (26 Décembre 2022 à 15:27)
Camalia a dit (21 Décembre 2022 à 19:21)
Bon, c'est joli, mais c'est un peu lent, et on s'ennuie un peu... Vite. Ce qui sauve tout, c'est le côté instructif et ludique d'apprendre à reconnaître certains chants d'oiseaux. La mésange charbonnière, c'était elle qui accompagnait nos réveils tous ces matins !! Incroyable.
Sunread26 a dit (21 Décembre 2022 à 13:48)
http://sunread26.wordpress.com/2022/12/21/submerged-hidden-depths/
Cliffhunter a dit (17 Décembre 2022 à 14:35)
Terminé à 100% après maintes péripéties et réexploration. C'est vraiment un jeu gratifiant. Difficile, mais jamais punitif.