

HowLongToBeat14 h
16 h
23 h
Alice : Retour au Pays de la Folie est un jeu d'action et plates-formes qui plonge le joueur dans une version sombre d'Alice aux Pays des Merveilles. Alice doit affronter des créatures toutes plus étranges les unes que les autres pour retrouver entièrement la mémoire et pour comprendre de quelle manière sont morts ses parents.
Vous en avez obtenu 0 sur 45, soit un pourcentage de 0 %
Afficher : Tout • Obtenu • Pas obtenu
Filtrer :
Platine (0/1)
Or (0/2)
Argent (0/12)
Bronze (0/30)
Termine le jeu en difficulté Facile.
Termine le jeu en difficulté Moyenne.
Termine le premier chapitre en difficulté Cauchemar.
Améliore une arme.
Améliore une arme à fond.
Trouve quatre jarres d'eau de rose.
Trouve tous les souvenirs de la famille Liddell.
Assaisonne tous les groins d'un chapitre.
Habille-toi d'une robe de domaine différente.
Enchaîne Cheval bâton, Glaive vorpalin et Cheval bâton.
Tue cinq Vissellules de suite avec le Moulin à poivre.
Touche quatre ennemis d'un seul écrasement de Cheval bâton.
Détruis dix barrières de ruines.
Trouve la décalcomanie de mini-sensibilité cachée.
Tue dix Enfants de putain par retour à l'envoyeur
Tue trente ennemis avec la Chronobombe.
Bats cent ruines ennemies.
Bats cinquante-deux Cardes.
Termine le jeu en difficulté Difficile.
Améliore toutes les armes à fond.
Termine toutes les salles Radula.
Trouve tous les souvenirs.
Assaisonne tous les groins du jeu.
Termine le HMS Griffon sans subir de dégâts.
Trouve toutes les pêches du Parchemin du destin.
Termine une énigme des échecs... sans échec.
Termine « Coupez-lui la tête bis», en moins de six minutes.
Bats le Marin noyé sans subir de dégâts.
Bats le Bimbelotier sans subir de dégâts.
Avec une seule rose restante, tue cinq ennemis sans hystérie.
Termine le jeu en difficulté Cauchemar.
Termine le jeu en n'utilisant l'hystérie qu'une seule fois.
Platine pour tous les autres trophées
Liste de jeux aléatoires dans le genre Action ou Plates-Formes sur Playstation 3
Merci à Benben qui a créé cette fiche
Un bon petit jeu d'action, qui propose des niveaux variés et originaux, des phases de plates-formes plaisantes (même si quelques angles de vue sont foireux), et un gameplay simple, mais efficace.
Version Playstation 3 25 h de jeuPas assez sombre, mais toutefois décalé, avec une difficulté vue à la baisse (bon j'avoue, en mode cauchemar ça commence à dépoter... j'ai pas pu le finir dans ce mode là et me suis contenté du mode difficile qui est quand même une balade dominicale ^^), mais une durée de vie conséquente pour peu qu'on s'attarde à explorer les niveaux de fond en comble pour récupérer les bonus.
Les phases de jeu sont variées, on a droit à des tableaux en 2D, des mini-jeux (diriger une boule, un space invader horizontal à bord d'un navire de pirates...), des énigmes, etc... Bref, de quoi renouveler l'expérience sans arrêt.
graphisme a couper le souffle, personnage haut en couleur les mondes sont superbe et j'adore l'histoire, on est loin de la gentille alice blonde.
Version Xbox 360on se retrouve dans un monde froid gore glaciale, limite dérangeant, notre pauvre alice doit lutter entre ses rêves, l'hopital psychiatrique, et ses pensées !
un grand mélange et sa donne un superbe jeux vidéo.
Le jeu en soit est sympathique. La direction artistique est vraiment agréable et on aimera à se laisser perdre dans l'univers proposer. Toutefois, quelque chose m'a fait Tilt... Le gameplay durant les combats est insupportable ! Les caméras font n'importe quoi, les dash pour esquiver font n'importe quoi. On se retrouve trop souvent à mourir de manière assez frustrante ! Dommage, cela m'a fait abandonner le jeu au bout de 5 heures de jeu alors que j'aurais aimé le terminer...
Version PC 5 h de jeuSuite de l’iconique « American Mc Gee's Alice » sorti en 2001 sur PC et offert gratuitement en démat avec cette itération Playstation 3, saluons le geste, « Alice Retour au pays de la Folie » s’inscrit dans la continuité burlesque de son aîné. S’ensuit un action-plateformer atypique, poussant encore plus loin la revisite macabre du célèbre compte de Lewis Caroll. Une virée malsaine aux confins de la folie, réservée à un public averti et sain d’esprit.
Version Playstation 3 15 h de jeuL’histoire fait suite aux évènements tragiques narrés dans le premier jeu, et, à moins d’avoir vécu l’aventure précédente, les fils scénaristiques ne sont pas évidents à contextualiser. Sans grande incidence sur l’appréciation de l’œuvre, on comprend rapidement que la narration abrupte et sans rondeurs sert avant tout de prétexte aux bizarreries les plus étranges ! Adolescente mentalement instable, Alice est encore hantée par le décès de sa famille causé par l’incendie du manoir familial, dont elle serait la responsable. Ayant du mal à remettre de l’ordre dans ses souvenirs, confrontée à un monde réel aussi cru qu’implacable, son esprit va ainsi vagabonder dans le pays imaginaire. En résulte des sessions hallucinatoires laissant libre cours à toutes les folies, emplies de situations grotesques et mortelles dont elle devra se sortir tout en recompilant le puzzle fragmenté de sa mémoire. Un beau programme !
Le titre se décompose alors en cinq grandes zones thématiques, mêlant phases de plates-formes, de réflexion et de combat. Fort heureusement, notre jeune fille n’est pas démunie et ne rechigne pas à se défendre ! Au corps à corps par le biais d’un glaive ou d’un immense marteau, mais aussi à distance via le poivrier, officiant comme mitraillette, ou encore la théière, jouant le rôle du lance grenade. Des ustensiles de combat peu communs, à améliorer via l’étrange monnaie du jeu ; les dents… Mais ce n’est pas tout, Alice peut également augmenter sa jauge de vie en résolvant diverses épreuves disséminées dans les niveaux, et compter sur son parapluie pour parer les projectiles. L’esquive, très permissive, sera aussi d'une grande aide.
Pour la mise en pratique, votre principal souci sera sans doute la caméra ! Malgré un stick droit la commandant, elle n’est pas exempt de reproches et nuit régulièrement à la lecture des combats, ou pire, des phases de plates-formes ! Celles-ci reposent sur des mécanismes bien pensés et un level design aussi original que réussi, bien que très linéaire. Alice va ainsi compter sur son double « double saut » et sa capacité à flotter un moment dans les airs pour déjouer la gravité. Afin de parachever un gameplay généreux, la capacité de rétrécissement de la fillette et sa « super vision » permettent de dévoiler les multiples secrets de l’environnement. On s’empresse alors de s’engouffrer dans le moindre trou (« titre ! ») de souris (ah non - quoique…) pour y découvrir ses mystères. Entre les souvenirs de l’enfance, les récompenses pécuniaires ou les gadgets inutiles, on s’attèle mécaniquement à la recherche des collectibles. Satisfaction de complétude oblige.
D’un point de vue technique le titre souffre de nombreux ralentissements/chargements, et se contente d’une 3D passable aux textures faiblardes en comparaison aux références du support. Rien de repoussant certes, d’autant que l’animation de la jeune fille reste convenable, mais pour le plaisir des yeux on s’attardera plutôt sur le côté artistique de l’œuvre. Et là, c’est une vraie claque ! La folie visuelle des environnements égale celle des protagonistes qui les composent, pour un rendu aussi atypique que malaisant, où le comique se mêle sans tabou à l’horreur la plus étrange. Une atmosphère décalée, souvent glauque et sinistre, reflet du monde réel où la cruauté humaine frappe sans filtre.
La bande son appuie ce voyage aux confins de la folie. Des musiques immersives et un doublage VF excellent accompagnent votre lugubre aventure durant une grosse quinzaine d’heures. Durée de vie somme toute parfaitement calibrée, car si les développeurs ont voulu multiplier les phases de jeu originales, toutes ne sont pas réussies et la boucle de gameplay montre, à terme, ses limites.
Perfectible sur le fond comme sur la forme, Alice : Retour au pays de la Folie n’en reste pas moins un excellent titre. Une plongée malsaine dans la psyché humaine, portée par un gameplay satisfaisant et une direction artistique géniale. Difficile de ressortir indemne de cet univers pernicieux, et en ce qui me concerne l’envie de tâter du premier opus bat désormais son plein ! Je recommande.