Une jeune femme s'inscrit à une émission de rencontres en pensant qu'elle se déroule à Paris, en France, et découvre qu'en réalité elle a lieu dans une petite ville texane du même nom ! Elle tente alors de se faire éliminer quand des sentiments naissants pour le célibataire du programme compliquent les choses. (Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
*Paris perdu* est le type de film qu’on reconnaît tout de suite pour ce qu’il est : une comédie romantique légère, sucrée et pleine de clichés… mais qui fonctionne malgré tout.
L’histoire suit Dawn, une jeune artiste passionnée par son rêve d’étudier à Paris. Faute de moyens, elle accepte de participer à une émission de télé-réalité censée se dérouler dans la capitale française. Le problème ? La production parle de Paris, Texas. Ce quiproquo initial, certes facile, installe rapidement le ton : on rit, on soupire et on devine à l’avance les rebondissements.
Car la romance suit une mécanique très classique : rencontre fortuite, retrouvailles imprévues, amour qui éclot, obstacle jaloux, secret qui menace de tout briser. Rien d’original, mais une exécution honnête qui ne cherche pas à tromper le spectateur.
L’intérêt du film tient à sa sincérité et à sa capacité à délivrer exactement ce que l’on attend d’un feel-good de ce genre. L’humour, les moments tendres, les coups bas et les bons sentiments s’enchaînent de manière fluide. C’est un “plaisir coupable” assumé, qui joue avec les codes de la comédie romantique sans prétention.
Visuellement, le film n’impressionne pas, mais il est chaleureux. Les personnages secondaires, même caricaturaux, apportent la touche nécessaire de rivalité ou de complicité. Et si l’on devine la fin dès le premier quart d’heure, on continue de regarder avec le sourire.
En résumé, *Paris perdu* est un film simple mais efficace. À voir sans attentes, dans un moment où l’on cherche une bulle d’air, de rire et de tendresse. Un film qui ne révolutionne rien, mais qui remplit parfaitement sa mission : réconforter.
*Paris perdu* est le type de film qu’on reconnaît tout de suite pour ce qu’il est : une comédie romantique légère, sucrée et pleine de clichés… mais qui fonctionne malgré tout.
L’histoire suit Dawn, une jeune artiste passionnée par son rêve d’étudier à Paris. Faute de moyens, elle accepte de participer à une émission de télé-réalité censée se dérouler dans la capitale française. Le problème ? La production parle de Paris, Texas. Ce quiproquo initial, certes facile, installe rapidement le ton : on rit, on soupire et on devine à l’avance les rebondissements.
Car la romance suit une mécanique très classique : rencontre fortuite, retrouvailles imprévues, amour qui éclot, obstacle jaloux, secret qui menace de tout briser. Rien d’original, mais une exécution honnête qui ne cherche pas à tromper le spectateur.
L’intérêt du film tient à sa sincérité et à sa capacité à délivrer exactement ce que l’on attend d’un feel-good de ce genre. L’humour, les moments tendres, les coups bas et les bons sentiments s’enchaînent de manière fluide. C’est un “plaisir coupable” assumé, qui joue avec les codes de la comédie romantique sans prétention.
Visuellement, le film n’impressionne pas, mais il est chaleureux. Les personnages secondaires, même caricaturaux, apportent la touche nécessaire de rivalité ou de complicité. Et si l’on devine la fin dès le premier quart d’heure, on continue de regarder avec le sourire.
En résumé, *Paris perdu* est un film simple mais efficace. À voir sans attentes, dans un moment où l’on cherche une bulle d’air, de rire et de tendresse. Un film qui ne révolutionne rien, mais qui remplit parfaitement sa mission : réconforter.
*Paris perdu* est le type de film qu’on reconnaît tout de suite pour ce qu’il est : une comédie romantique légère, sucrée et pleine de clichés… mais qui fonctionne malgré tout.
L’histoire suit Dawn, une jeune artiste passionnée par son rêve d’étudier à Paris. Faute de moyens, elle accepte de participer à une émission de télé-réalité censée se dérouler dans la capitale française. Le problème ? La production parle de Paris, Texas. Ce quiproquo initial, certes facile, installe rapidement le ton : on rit, on soupire et on devine à l’avance les rebondissements.
Car la romance suit une mécanique très classique : rencontre fortuite, retrouvailles imprévues, amour qui éclot, obstacle jaloux, secret qui menace de tout briser. Rien d’original, mais une exécution honnête qui ne cherche pas à tromper le spectateur.
L’intérêt du film tient à sa sincérité et à sa capacité à délivrer exactement ce que l’on attend d’un feel-good de ce genre. L’humour, les moments tendres, les coups bas et les bons sentiments s’enchaînent de manière fluide. C’est un “plaisir coupable” assumé, qui joue avec les codes de la comédie romantique sans prétention.
Visuellement, le film n’impressionne pas, mais il est chaleureux. Les personnages secondaires, même caricaturaux, apportent la touche nécessaire de rivalité ou de complicité. Et si l’on devine la fin dès le premier quart d’heure, on continue de regarder avec le sourire.
En résumé, *Paris perdu* est un film simple mais efficace. À voir sans attentes, dans un moment où l’on cherche une bulle d’air, de rire et de tendresse. Un film qui ne révolutionne rien, mais qui remplit parfaitement sa mission : réconforter.