Toscane 1945. Accompagnant la progression des Alliés, un convoi sanitaire remonte vers le Nord, au milieu des bombardements. Parmi les blessés graves, un amnésique mystérieux, défiguré par des brûlures. Hana, une jeune infirmière endeuillée par la guerre, le devine, comme elle, obsédé par son passé. Voulant lui éviter les souffrances du déplacement, elle décide de s'arrêter quelque temps dans un monastère abandonné. Immobilisé dans un lit improvisé, le patient n'a d'autres occupations que de faire l'inventaire de ses souvenirs... Il revit ainsi son histoire d'amour avec la magnifique Katharine, jeune femme mariée rencontrée dans le désert..
Adapté du livre Le patient anglais de Michael Ondaatje
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Lyra Sullyvan qui a créé cette fiche
Bon, il est rare que je sois aussi en désaccord avec les Oscars mais Le Patient Anglais fait exception à la règle.
Les romances qui évoluent en parallèle sont agaçantes et prévisibles, pour un film romantique c'est embêtant.
J'ai cru lire sur une fiche de présentation du film "romance et espionnage". Clairement non, on ne peut pas le qualifier de film d'espionnage, ce serait insultant pour le genre.
Tout a eu l'air fade et insipide, particulièrement le personnage de Juliette Binoche qui ne méritait vraiment pas une telle importance dans tout ça.
Je n'arrive pas à dénicher l'intêret que les scénaristes ont vu dans son histoire et celle de Kip, si il y en a un.
Et puis 2H40... Non. Rares sont les films qui méritent des durées pareilles, et honnêtement, celui-ci aurait pu être raccourci d'une bonne heure.
Je suis passé totalement à côté.
(Il est possible que je me sois endormi sans m'en rendre compte, j'ai eu un gros moment d'incompréhension, vers la fin de l'histoire. Soit le scénario est bizarre, soit j'en ai raté un bout. La chute, en tout cas, est bien fade.)
(Je viens d'aller lire le résumé détaillé, je confirme que j'en ai bien loupé une partie, mais que la fin - que j'avais bien comprise - est quand même pas folichonne. Je ne comprends pas les huit oscars attribués à ce film.)