En 1692, de jeunes villageoises de Salem élaborent des philtres d'amour et dansent nues dans les bois sans penser à mal, lorsque survient le sévère pasteur Parris. Elles s'enfuient, mais le Révérend découvre que sa fille Betty, qui participait à cet innocent sabbat, est plongée dans un profond sommeil. En fait, elle simule pour éviter d'être punie. Mais la rumeur de pratiques sataniques se répand aussitôt. Le révérend Hale, autorité en la matière, prend la route pour Salem. En attendant, Parris interroge sa nièce Abigail Williams. Celle-ci était domestique chez les fermiers Proctor, qui l'ont chassée. Pourquoi? Abigail taxe de jalousie Elizabeth Proctor. En fait, elle a eu une liaison ardente avec John Proctor et, lors d'une entrevue secrète, lui déclare qu'elle ne renonce pas à lui. John résiste, non sans mal. Hale commence son enquête et soupçonne vite Abigail, mais celle-ci accuse l'esclave noire Tituba. Pour échapper à la torture et à la mort, celle-ci "se confesse" et livre les noms de deux femmes...
Adapté du livre Les sorcières de Salem de Arthur Miller
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Merci à Orf qui a créé cette fiche
Bien adapté de la pièce de théâtre d'Arthur Miller, franchement un film prenant !
J'ai beaucoup aimé ce drame historique, même si la réalisation est parfois un peu molle. En fait, la première heure prend bien (trop ?) le temps de placer l'histoire, le contexte, etc. D'un côté je comprend, mais de l'autre faut pas être trop fatigué. Mais une fois que l'on s'intéresse à cette histoire originale (vraie en plus !) on est tout de suite captivé et on suit avec intérêt la défense de John Proctor jusqu'au bout. Je ne spoilerai pas mais ce film montre efficacement l'absurdité humaine dans toute sa splendeur, notamment envers quelque chose qui commence par "D" et qui fait 4 lettres :).