Le dossier 137 est en apparence une affaire de plus pour Stéphanie, enquêtrice à l’IGPN, la police des polices. Une manifestation tendue, un jeune homme blessé par un tir de LBD, des circonstances à éclaircir pour établir une responsabilité. Mais un élément inattendu va troubler Stéphanie, pour qui le dossier 137 devient autre chose qu’un simple numéro.
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Apparition
Apparition
Apparition
Apparition
Non renseigné
Merci à trisdelamuerte qui a créé cette fiche
Un vrai thriller politique, d’autant plus percutant qu’il s’inspire d’une histoire vraie. Léa Drucker est excellente, dans la peau d’une fonctionnaire de police qui tente de faire son travail avec intégrité, malgré un environnement où chaque pas est entravé par les enjeux politiques. Son combat contre l’inertie, la pression hiérarchique et le cynisme des hautes sphères installe une tension constante : une femme seule (ou presque) face à un système qui fait mine de ne pas voir.
J'aime beaucoup la capacité de Dominik Moll à montrer la réalité d'un système corrompu par le calcul politique, où des brigades non formées se retrouvent à gérer des situations explosives, avec des conséquences terrifiantes. Le film laisse émerger un sentiment d’impunité qui gangrène certaines forces de l’ordre tout en révélant la responsabilité directe des décideurs. De tout cela ressort un récit fort, parfaitement maîtrisé et profondément humain...
Fichtrement réaliste !
Pour moi, Dossier 137 était un concurrent sérieux pour la palme du meilleur scénario.
On replonge dans la Période Gilets Jaunes avec une certaine nostalgie quand on voit la léthargie actuelle face à l'absurdité de ce qui se passe mais aussi avec un grand intérêt, le film nous rappelle que c'était quand même assez historique comme moment et on ne s'en rendait peut être pas compte sur le moment.
Le débat porté est fascinant et évidemment injuste, l'impunité face à l'autorité, la sensation de se battre dans le vide et cette phrase terrible, le "Vous servez à quoi ?" qui vient refléter tout le propos et l'absurde de la situation.