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Benben a dit (02 Août 2018 à 09:08)
@Domjorge > même dans une série qui m'ennuie profondément, je n'ai pas que ça à regarder, par contre c'est tout ce que j'en retiens car le reste ne vaut pas la peine d'être cité à mon avis.
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Benben a dit (27 Juillet 2018 à 08:54)
Wow. Je ne sais pas si c'était à cause de la transpiration (35° à 21h30 toussa...), mais je suis resté collé à mon canapé !
Ce pilote a plutôt intérêt à ne pas être qu'une jolie vitrine mise en scène par Fincher car j'attends maintenant beaucoup de la suite :)
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Benben a dit (24 Juillet 2018 à 09:52)
Comme beaucoup, j'ai aussi le sentiment que The Handmaid's Tale finit par tourner en rond dans cette saison 2 qui était pourtant prometteuse. Si on a enfin pu avoir un aperçu plus large de Gilead, notamment avec les très poignantes scènes des colonies et le destin cruel des Unwomen, on ne peut que constater le manque d'inventivité sur quasiment tout le reste de l'histoire. Les "je t'aime, moi non plus" entre les Waterford et June, les jeux de manipulation, les tentatives d'évasion/émancipation qui reviennent toujours au point de départ, et les incohérences ou facilités scénaristiques plombent carrément le récit. Certes, June allume plus d'une fois la flamme de la rébellion et fait naître l'espoir là où il n'y en avait plus, donnant du rythme et de l'intérêt de-ci de-là, mais ces scènes sont des gouttes dans un océan d'allers-retours incessants.
Et qui est l'abruti qui a pensé que faire revenir des femmes des colonies, donc bien empoisonnées (Emily perd même ses dents) serait une bonne idée???? Je suis certain qu'un fœtus serait ravi là-dedans.
Le climax de la saison est évidemment atteint avec la grande évasion finale, qui est tout sauf crédible. Comment les Marthas ont pu concocter un plan aussi audacieux et aussi bien organisé, à base de plusieurs incendies simultanés et de relais???? Même si tout semble lié au Commandeur d'Emily, sorti de nulle part, qui doit avoir des liens avec la résistance et les Marthas.
Le retour de June chez les Waterford annonce dores et déjà peu de renouveau sur la saison 3 sauf si les scénaristes ont un sursaut de lucidité et imaginent un véritable embryon de résistance et une meilleure organisation. Après, je sais bien que ce n'est pas l'objet de la série.
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Benben a dit (17 Juillet 2018 à 09:08)
Énormément d'analogies avec les animaux en ce début de saison. Le chemin vers l'abattoir, le voyage en camion frigorifique avec les carcasses, la bague à l'oreille, et puis évidemment June qui parle elle-même d'abattoir... J'ai l'impression que dans cette saison, ce sera très très cru ! Pour le moment en tout cas, le mode "roue libre" (comprendre sans le roman comme support) apporte du renouveau et une nouvelle ambiance. Pourvu qu'ça dure !
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Benben a dit (13 Juillet 2018 à 09:56)
Pas mal de très beaux moments étalés sur toute la saison, mais à vouloir embrouiller pour rien le spectateur, Westword se perd dans son propre dédale d'énigmes et de non-dits. Franchement, l'idée, les thématiques, les concepts sont géniaux, mais mal exploités et les incohérences sont ce que l'on retient le plus finalement. J'aime quand un medium impose de réfléchir, de se poser des questions, mais il est vraiment dommage qu'ici on en revienne simplement à tenter de raccrocher des bouts de puzzle sans vraiment savoir s’ils vont les uns avec les autres.
Grosse impression d'écriture au fur et à mesure, ambiance "on verra plus tard comment on rendra tout ça cohérent avec le reste"... C'est pas comme ça qu'on fait une série intelligente et c'est d'autant plus terrible quand on prend conscience de l'énormité de l'histoire derrière toute ça.
Pour le moment, je m'accroche à Westworld, curieux de découvrir comment Dolores vivra dans son nouveau monde, si les autres hôtes seront heureux dans leur machine virtuelle (encore qu’eux pourraient bien être oubliés en S3). J'ai par contre perdu tout espoir d'avoir un récit clair et cohérent.
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Benben a dit (10 Juillet 2018 à 09:04)
L'épisode le plus poétique de la série, mais aussi celui qui souligne de gros défauts au niveau de la cohérence globale de Westworld, mais en apportant également de belles révélations. Vous avez déjà tout cité plus haut donc inutile de faire une nouvelle liste.
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Benben a dit (09 Juillet 2018 à 09:19)
Concernant les armes de mêlée (et d'ailleurs les armes à feu aussi), et le pourquoi du comment elles seraient censées ne pas blesser les humains
http://westworld.wikia.com/wiki/Category:Weapons
Et cette citation :
"What about the fucking guns?" Charlotte asks Bernard in the Season 2 premiere, referring to the surprise killing spree. "Ford must have altered the system," Bernard says, "coded it to read all of us as hosts."
https://www.thrillist.com/entertainment/nation/westworld-guns-bullets-weapons-theories
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Benben a dit (09 Juillet 2018 à 09:08)
Haha comme Fachewachewa, c'est le "previously on" de cet épisode qui m'a complètement happé !
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Benben a dit (04 Juillet 2018 à 09:27)
Bon... Passées les révélations de la saison 1, Westworld perd vraiment de son attrait. Déjà que le seul point fort de la série était de perdre le spectateur dans différentes époques sans le dire clairement, maintenant que l'on sait que l'on peut passer de 2012 à 2018 à 2052, l'intérêt et la curiosité sont moindres.
C'est juste un gros bordel où chacun vit sa vie et où on commence à nous sortir du métaphysique parce que forcement, mêmes les machines doivent croire en Dieu. Ça risque bien de me saouler au bout d'un moment.
Plutôt que d'essayer encore de passer pour une série complexe, Westword devrait plutôt essayer de présenter son histoire clairement et proprement, à la manière d'un Person of Interest qui entre ses scènes de flashbacks faisait remonter une timeline visuelle pour nous situer.
Pour l'instant, je pardonne encore les deus ex machina, à l'image de ce putain d'ascenseur qui attend sagement ses passagers en plein désert, ou bien la stupidité des soldats qui prennent d'assaut un fort ennemi en progressant à découvert... Mais tout semble indiquer que cette série se dirige tout droit dans mur.
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Benben a dit (27 Juin 2018 à 09:45)
Après une première saison difficile à digérer, à cause entre autres des dialogues de sourds constants et du nombre incalculable de moments où tu as juste envie de secouer les personnages, je dois avouer que la saison 2 aura eu raison de moi. C'est peut-être parce que je me suis habitué aux personnages, mais c'est aussi et surtout car on navigue beaucoup moins dans un océan de doux naïfs.
Un bon point au niveau de la mise en scène, et des décors, somptueux et originaux, qui illustrent à merveille ce monde loufoque. Par contre le Count Olaf de NPH n'est à mes yeux qu'un ersatz de Barney Stinson, mêmes mimiques, mêmes voix, même goût pour les déguisements et les rôles... Bref, je préférais largement celui que campait Jim Carrey dans l'adaptation ciné.