PikamTheFirst a dit (31 Décembre 2021 à 19:42)
Ce Pokémon m'a déçu, malgré certaines originalités, c'est toujours trop pareil et trop facile. Sur la fin je suis arrivée à un peu mieux l'apprécier (le tournoi, les musiques, les Pokémon légendaire) mais je reste toutefois déçu, c'était également parfois trop prévisible. Je pense ne plus acheter de Pokémon de ce type, à voir avec Arceus
Leane02 a dit (30 Décembre 2021 à 12:21)
Depuis la mise à jour avec les comptes c'est une catastrophe.
Franz26 a dit (29 Décembre 2021 à 19:29)
Un Metroid à l’ancienne sur Nintendo Switch, vous l’aviez rêvé, Nintendo l’a fait ! Bien que le genre soit aujourd’hui largement représenté, notamment par le biais de nombreux jeux indépendants de grande qualité, c’est un bonheur que de retrouver Samus Aran dans son domaine de prédilection. Car après l’orientation FPS prise avec les Metroid Prime dans les années 2000, les fans de la série ont quasiment connu une décennie de disette si l’on omet le controversé Other M et l’excellent reboot Samus Returns. Enjeux multiples : se montrer à la hauteur du mythe pour MercurySteam, clôturer de belle manière ce millésime gaming 2021 pour bibi. A vos pop-corn.
L’histoire se déroule après les évènements de Metroid Fusion et expédie notre belle guerrière sur la planète ZDR, soupçonnée d’abriter des X Parasites. La mission de Samus est double : découvrir pourquoi les E.M.M.I (robots de combat ultra perfectionnés) envoyés sur place ne donnent plus de nouvelles, et venir à bout de la potentielle menace Metroid. Dès votre arrivée un mystérieux guerrier Chozo vous délestera sans préavis de vos pouvoirs avant de vous faire tomber dans les abîmes : comme c’est pratique ! En avant donc pour une vaste exploration en quête d’upgrades en tout genre afin d’échapper à ce vaste bourbier labyrinthique.
Le scénario ne titillera pas particulièrement vos synapses et se contente tranquillement d’apartés mineurs jusqu’au dénouement final, non sans un réel effort de mise en scène. Enfouie malgré elle dans les profondeurs de la planète, notre héroïne va devoir se frayer tant bien que mal un chemin vers la surface en maltraitant la faune en présence. Mais la grosse originalité de cet opus intervient avec les fameux E.M.M.I : Némésis mécaniques intraitables régissant certaines zones du jeu, et qui n’auront de cesse de vous traquer à vue. En cas de contact direct, c’est la mort assurée ! Rassurez-vous, d’une le jeu n’est pas punitif puisqu’un échec vous ramènera à l’entrée de la zone protégée, généralement quelques écrans en amont, et de deux la progression scénaristique vous invite naturellement à détruire ces entités, laissant ensuite la possibilité d’explorer tranquillement leur territoire. Le concept n’en reste pas moins excellent et, telle une piqure d’adrénaline, vient renforcer l’intensité et la tension du périple. Les E.M.M.I forgent en partie l’identité de cet opus et apportent un peu d'assaisonnement à une recette délicieusement convenue.
Car en parallèle Metroid Dread reprend avec brio tous les ingrédients qui ont fait le succès de la série, et du genre dans sa globalité. A commencer par un level design aux petits oignons, élément indispensable afin d’assurer une progression fluide et naturelle. MercurySteam a réalisé un travail exemplaire en nous proposant des environnements cohérents, bondés de raccourcis et autres subtilités qui ne se dévoilent qu’au fur et à mesure des compétences récupérées. Là aussi, on retrouve les classiques ayant fait la renommée de la belle guerrière. Boule morphing, rayon plasma, super vitesse, missiles et combinaisons en tout genre, etc… De quoi occasionner des allers retours réguliers afin d’ouvrir une route précédemment bloquée et ainsi continuer son cheminement dans les tréfonds de ZDR. Vous connaissez le principe, qui peut vite devenir répétitif si la conception du jeu a été mal pensée. Malgré des vas et viens dispensables et quelques détours rageants Metroid Dread évite heureusement les travers du milieu, et la qualité de son gameplay parachève de gommer les petits irritants.
Nerveuse, dynamique et intuitive, la maniabilité de la belle chasseuse frôle la perfection. Il ne faut que quelques minutes pour se faire la main et parader dans les dédales avec célérité. La présence d’un système de parade vient agrémenter les possibilités offertes et, sous réserve d’un timing parfait, permet d’effectuer une contre-attaque mortelle. Petit à petit Samus gagnera en puissance et sera en mesure d’affronter les nombreuses menaces sur son chemin. D’abord matérialisées par un assortiment néfaste d’ennemis mécaniques et biologiques, se sont surtout les boss qui apportent une bonne dose de challenge. Variés et immenses, ils ne font pas dans la dentelle et renvoient régulièrement à l’écran de game over avant de se laisser dompter.
Si techniquement Metroid Dread ne pousse pas la Switch dans ses retranchements et accuse quelques textures négligées, il se pare d’une réalisation globale largement convaincante. On appréciera la profondeur de champ et le détail porté aux arrières plans, et ce malgré une direction artistique excellente dans son registre mais peu propice à l’émerveillement. En effet, la plupart des zones de la planète sont froides, austères ou industrialisées, renvoyant à ce sentiment de danger et d’oppression générale. Idéal pour retranscrire la sensation d’écrasement qui pèse sur nos épaules, moins pour s’extasier devant l’écran. La fluidité et l’excellente de l’animation, couplées à de superbes effets visuels, complètent ce solide constat visuel.
Niveau sonore on retrouve avec plaisir le sound design récurent de la série, juste parfait, associé à des compositions d’ambiance de bonne facture. Si le thème principal disperse sans subtilité quelques frissons de nostalgie, la musique sait intelligemment se mettre en retrait par rapport à un environnement sonore très soigné. Seul petit bémol : la voix robotisée de l’IA épaulant Samus, insupportable.
Metroid renoue avec ses fondamentaux de fort belle manière, et cet opus s’impose comme un fier représentant du genre dont il est directement à l’origine. De par son univers parfaitement conçu et son gameplay calibré à la perfection, il assure une dizaine d’heures d’exploration passionnante en milieu hostile. Un peu plus même pour les perfectionnistes, puisque la quantité d’items cachés et la dextérité nécessaire à leur obtention prolongent avec addiction l’expérience. Une recette traditionnelle et un zest de nouveauté distillé avec amour, pour un résultat simplement génial. Foncez !
Benben a dit (28 Décembre 2021 à 11:38)
Super Mario 3D World
Une fois n'est pas coutume, ce bon vieux Bowser va venir perturber la paix éphémère qui règne dans le Mushroom Kingdom. Cette fois, il va mettre des fées en bouteille, qu'il faudra libérer en parcourant les différents mondes et leurs niveaux colorés. On reste donc dans du Mario pur jus, et on retrouvera avec plaisir tout ce qui a fait le succès de la franchise.
J'ai toujours eu une relation étrange avec les jeux de la saga Super Mario, depuis qu'ils ont embrassé le monde de la 3D. Là où les premiers jeux étaient tous dotés d'un gameplay exigeant mais logique, je trouvais que depuis l'épisode sur Nintendo 64, c'était devenu brouillon.
Les sauts, les positionnements devenaient plus complexes à gérer du fait de la profondeur de champ pas toujours aisée à appréhender, et je me retrouvais soit trop court soit trop long sur énormément de passages, créant alors une frustration vis à vis du jeu.
Et force est de constater qu'avec Super Mario 3D World, on retrouve exactement les mêmes écueils lorsque la caméra est positionnée aux 3/4 arrière, soit la plupart du temps.
Alors certes on peut toujours bouger la caméra sur 3 axes fixes à l'aide d'une pression sur un bouton de la tranche, mais cela "coupe" l'action, là où dans d'autres jeux 3D, faire pivoter la caméra avec les sticks est naturel. Le gameplay s'embellit d'une fonctionnalité qui heureusement ne fait son apparition que 3 fois : la possibilité (l'obligation en fait) de cliquer sur des éléments du décor pour les activer. En mode portable c'est plutôt facile puisqu'on peut tout faire avec nos doigts sur l'écran de la Switch, par contre en mode docké c'est une vraie plaie : il faut activer la fonction avec R1 puis viser avec la manette vers l'élément en question.
Dans chaque niveau, 3 étoiles et un tampon sont à récupérer, et il faudra également atteindre le sommet de chaque drapeau de fin, cela afin de pouvoir déboquer l'ultime niveau bonus du jeu, dans lequel vous attendront trois niveaux punitifs. Globalement facile, même en voulant récupérer les items cités précédemment, la durée de vie restera néanmoins solide ! Comptez une grosse vingtaine d'heures. Pour les débutants, le soft se permet même de proposer après 5 ou 6 morts, un bonus Tanuki invicible permettant de terminer un niveau sans transpirer.
Côté transformations, outre les classiques, c'est surtout la clochette de chat, qui permettra à Mario de se transformer en félin ronronnant, qui aura ici la part belle. Permettant de grimper aux murs ou de donner des coups de griffe, cette transformation sera indispendable pour pouvoir récupérer certains objets, et sera aussi un super allié de combat. Côté nouveautés on pourra aussi cloner Mario dans certains niveaux, afin d'accéder à des zones bonus, et enfin on pourra se transformer en canon.
Le level design est encore une fois exemplaire, plein d'idées saugrenues et bienvenues. Chaque niveau est différent et propose une expérience unique pour notre plus grand bonheur.
Concernant spécifiquement la version Switch, on ne peut, comme d'habitude, que constater la qualité du travail de Nintendo. Visuellement, le rendu est parfait même sur une grosse télé.
Franz26 a dit (28 Décembre 2021 à 07:56)
=> Je te rassure j'ai noté le même problème pour les temps de chargement de la map dans ma critique ci-dessus, sur One. La Switch n'est pas en cause pour ce coup. Pas de problème niveau affichage et texture en revanche sur la console de Microsoft.
Franz26 a dit (23 Décembre 2021 à 08:14)
Devant le succès rencontré par Persona 5 et sentant l’appât du gain facile, Atlus revient avec une version Director’s cut de son célèbre J-RPG. Principal argument de vente : une traduction Française intégrale, enfin ! Plus d’excuse pour ne pas découvrir cette saga mythique ayant volé la vedette à la franchise principale de la série, les Shin Megami Tensei. Car si la branche des Personas a longtemps ciblé une niche de joueurs, elle se pose désormais comme une référence incontournable du genre. Plongeons ensemble dans ce Tokyo moderne où une vie de Lycéen mouvementée nous attend.
Dans Persona 5 vous incarnez un jeune étudiant, laissé pour compte et victime du système judiciaire. Placé dans un foyer d’accueil, il va devoir affronter les préjugés et s’intégrer dans son nouveau lycée. Le garçon via se lier d’amitié avec une ribambelle de compagnons, et nouera une complicité particulière avec Morgana, un chat doué de parole ! Enfin, un chat… sa véritable forme reste un mystère puisque la boule de poils amnésique est justement en quête de son identité, à priori humaine. Le matou va ainsi introduire les étrangetés du multivers et les mystérieux pouvoirs des Personas. Ces entités fantomatiques se matérialisent à vos côtés et prêtent à vos personnages différentes facultés, du moins dans l’univers imaginaire. Comprenez que le jeu se déroule sur deux plans distincts. Le monde « normal » tout d’abord, où vos jeunes héros sont démunis de tout pouvoir surnaturel et vivent leur vie d’étudiant classique : suivre les cours, vagabonder dans la ville, s’adonner à diverses activités et surtout nouer des relations sociales à droite et à gauche. Un pan du jeu majoritaire et très bavard, nous y reviendrons. En parallèle on trouve le monde immatériel où, par le biais d’une étrange application et de leurs Personas, nos lycéens s’infiltrent dans le subconscient des gens malintentionnés. C’est ici que la petite bande de « Voleurs Fantômes » lutte contre ses ennemis, épaulée par des avatars aux pouvoirs psychiques redoutables. Sous un petit air de Jojo’s Bizarre Adventure : j’approuve.
Le gameplay de Persona 5 se veut extrêmement complet. Parlons tout d’abord du système de combat, relativement classique dans ses fondamentaux. Une action rythmée au tour par tour, où nos persos peuvent attaquer à courte ou longue portée, lancer des sorts, se protéger, etc... L’expérience accumulée va assurer la montée en puissance de vos héros, via upgrade d’HP/MP, mais également de leurs Personas. Si vos coéquipiers possèdent un avatar propre qui va se contenter d’apprendre de nouvelles capacités au fil du temps (limitées à 8 simultanément, à vous de faire des choix drastiques et irréversibles), notre héros peut, lui, créer sa propre Persona. Concrètement : chaque ennemi affronté peut être capturé selon conditions et officier sous vos ordres. Mais ça ne s’arrête pas là, puisque vous avez la possibilité de fusionner les entités pour en créer de nouvelles, toujours plus puissantes. Des combinaisons innombrables et improbables, qui se comptent en centaines ! Et si les pouvoirs finissent par revenir d’une Persona à l’autre, la générosité du principe force le respect. Les combats imposent une vraie dose de stratégie par l’intermédiaire d’un jeu de forces et faiblesses élémentaires. A vous de composer votre équipe avec soin, chaque membre possédant des affinités propres, afin de percer à jour les points faibles de l’adversaire et l’enchainer sans scrupules. Mais attention : ça marche dans les deux sens ! Je passe volontairement sur diverses subtilités, classiques pour certaines (équipements, attaques combinées), originales pour d’autres (système de transfert, actions d’affinités). La critique en présence s’annonçant déjà bien chargée en caractères.
Comme évoqué un peu plus haut, Persona 5 met en lumière le quotidien d’un lycéen japonais et tout une partie du jeu consistera à mener votre petite vie anonyme. Au cœur du système, on retrouve un concept central visant à se lier d’affinité avec des protagonistes, équipiers ou non, afin de faire progresser des petits scénarii personnalisés et glaner des bonus non négligeables. En parallèle, il ne faudra pas délaisser la montée en puissance des compétences sociales : expertise, charme, courage, connaissance et gentillesse, utiles à bien des égards (quêtes annexes notamment). Mais ceci n’est qu’une fraction des possibilités offertes par le titre, puisque la ville et les nombreux quartiers de Tokyo permettent de s’adonner à des dizaines de distractions : shopping, mini jeux, cinéma, salle de sport, etc… Ne comptez cependant pas vous perdre dans ces activités annexes, car le jeu suit le calendrier scolaire et chaque action coûte du temps. Ainsi, devant l’exhaustivité des possibilités, il va falloir faire quelques concessions et respecter scrupuleusement le timing de la mission en cours.
Cet aspect du gameplay, à l’intérêt ludique limité, casse un peu le rythme de l’aventure et ne plaira pas à tout le monde. Il n’est pas rare, afin d’optimiser le calendrier virtuel, de passer plusieurs heures à papoter avec des PNJs sans aucune forme d’interaction autre que nos choix de dialogues. Heureusement, le soin apporté à l’écriture, le remarquable travail réalisé sur les personnages ainsi que l’intérêt des thématiques abordées, assurent le liant avec les phases de gameplay pur. Car le scénario de Persona 5 captive de bout en bout et la quête de vos justiciers improvisés, non satisfaite de soulever d’excellentes problématiques éthiques, réserve aussi de beaux rebondissements. D’autant plus avec cette édition Royale, qui vient enrichir le contenu original d'un trimestre supplémentaire et d'un palais inédit d’excellente facture, conduisant à une nouvelle fin. Les palais justement, ou plus exactement les donjons, parlons-en ! Basés sur l’imaginaire de vos cibles IRL, ils se matérialisent sous des formes aussi insolites que déstabilisantes et, de par leur level design exemplaire et leurs petites énigmes savamment dosées, garantissent une exploration passionnante.
Côté visuel la réalité rattrape vite le dernier né de la saga, initialement sorti sur Playstation 3. D’un point de vue technique pure, hormis ses cinématiques animées de bonne facture, le titre est à la ramasse puisque construit sur les exigences de la génération précédente. Cependant la réalisation n’en reste pas moins agréable. Distribution de bons points à la direction artistique, qui propose un contraste saisissant entre le réalisme de Tokyo et les extravagances du monde psychique. On appréciera aussi le formidable character design de Shigenori Soejima et les superbes artworks fixes pour mettre en évidence ce casting de luxe. Enfin, octroyons les félicitations du jury concernant les choix marqués et extrêmement soignés en terme d’interface visuelle. En résulte un tout cohérent, au service d’une ambiance séduisante. A condition de ne pas être allergique à la culture-pop japonaise bien évidemment ! Une direction accentuée par une bande son de qualité, alternant entre mélodies instrumentales classiques, rifts métalleux, airs Jazzy et une bonne dose de Pop ! Assez déroutant, mais ce parti pris éclectique sert clairement l’atmosphère sonore et le doublage intégral Japonais ne viendra pas me contredire.
Atypique, voilà un terme qui qualifie bien mon ressenti après plus de 100 heures passées en compagnie des voleurs Fantômes. Occasion d'encenser au passage la durée de vie gargantuesque du titre, dans la moyenne (très) haute du genre. On relèvera une courbe de progression bien construite, sans obstacles majeurs hormis quelques boss retords. Un NG+ viendra emplir le calice jusqu’à la lie pour les acharnés, désireux de finaliser les interactions avec l’ensemble des confidents, maximiser ses statistiques et arracher les derniers secrets du jeu.
Complètement barré sur la forme avec un imaginaire psychique propice à toutes les folies, le bestiaire déjanté en étant la plus belle preuve (cher démon-bite si tu nous lis…), le titre n’en oublie pas pour autant de soigner son fond. Un gameplay généreux et une histoire habilement narrée assurent une épopée magistrale, rarement prise en défaut malgré quelques longueurs. Persona 5 s’impose ainsi comme l’un des meilleurs J-RPG de ces dernières années, fort d’une expérience rafraîchissante et originale. A essayer de toute urgence.
maelle-92 a dit (22 Décembre 2021 à 22:52)
La DA est magnifique, les graphismes sont ouf, j'ai adoré me servir des différentes armes , les véhicules sont jolies mais la maniabilité est horrible (la conduite en moto est la seule potable).
Je reproche juste à ce jeu son histoire, le fait qu'il se déclare comme un jeu à choix avec des conséquences alors que tout est scripté de A à Z, les choix ont bien entendu pas de conséquences réelles. L'histoire est correct mais trop concentré sur Johnny, V a aucune personnalité et au final pourquoi ne pas avoir fait de jeu uniquement sur Silverhand ? (ça aurait été bien plus intéressant). Les missions secondaires sont sympas mais la plupart des personnages sont peu exploités (Viktor Vektor, lizzy wizzy, misty, evelynn,saul). J'ai trouver que c'était le cas uniquement pour les personnages avec qui une romance est probable.
La ville est grande mais aucune interaction est possible : impossible de rentrer dans les bâtiments (le comble pour un rpg), pas de point notables (strip club, garage, cinema etc), aucun sentiment d'avoir un impact dans l'univers, pas de mini jeux (genre poker etc), aucun dialogue possible avec de simple pnj en dehors des missions (comme dans fallout par ex). Même le 1er watch dogs avait plus d’interaction avec la ville..
Les contrats de fixer sont d'aucune utilité scénaristique si on ne lit pas les 500 éclats dispos sur le lieu pour mieux comprendre l'histoire, contrairement à TW3 ou les quelques papiers qu'on trouvait était en addition et ne faisait pas l'histoire en entier. Pareil pour les cyberpsychos qui sont bcp trop facile à vaincre (mode normal) et déçue qu'il n'y est même pas une ligne de dialogue avec eux pour mieux comprendre..(comme dans tout rpg qui se respecte)
Les éclats sont d'ailleurs impossible à retrouver si on ne les lit pas tout de suite (l'inventaire est un bordel, un tri en fonction du plus récent récupéré aurait été mieux)
J'ai apprécié les romances (Judy et River avec un perso féminin) dommage que après la dernière quête des romances, plus trop l'impression d’être dans une relation (quelque sms mais c'est tout).
J'ai vu sur youtube que pour River les dialogues en fonction du sexe n'ont pas été changé..ce qui donne l'impression que River drague le V masculin ....
Je n'ai vu aucun intérêt aux consommables à part les sortes de ventoline pour heal, les bières etc ne servent à rien (donc aucun intérêt à rentrer dans les bars et les restaurants).
J'ai eu beaucoup de crash et de bug de texture avant les maj, j'ai du faire une pause de plusieurs mois pour pouvoir jouer au jeu. Même maintenant des bugs d'affichages sont tjr présent (voiture qui vole, pnj de quête qui nous suit tjr)
J'ai fait la fin secrète qui est pour moi la meilleure fin. Je n'ai pas bien compris la dernière scène dans l'espace, j'ai du voir sur des forums pour comprendre que y'aurai un DLC.. ouai fin un DLC sur une fin spécifique dans un jeu à choix bof quoi..déçue que même un niveau dans l'espace en bonus GRATUIT n'a pas été possible pour les devs
On sent que le jeu n'est pas fini et qu'il n'était pas censé sortir en l'état au niveau du déroulement des quêtes et même des premiers trailers, il aurait pu faire bien mieux et je pense qu'ils ont eu trop d'ambitions.
PikamTheFirst a dit (22 Décembre 2021 à 14:16)
Aimé la façon dont s'intersecte les différentes histoires et tous les choix possibles
PikamTheFirst a dit (22 Décembre 2021 à 14:15)
Bien aimé, je voulais y jouer depuis longtemps et grâce à mon copain c'est désormais chose faite.
Je lui reproche toutefois la caméra horrible à diriger et des facilités scénaristiques mais j'ai particulièrement