kriswoo a dit (25 Novembre 2024 à 19:04)
J'ai vraiment pris une claque sur ce jeu...
Un petit côté "Witcher", "Assassin's Creed", "Far Cry", mais pas que.... Graphismes sompteux, bon script, Quêtes secondaires variées et intéressantes, bonne durée de vie.... et quelle fin énorme !!!
Mijak a dit (24 Novembre 2024 à 22:19)
Fidèle à son prédécesseur, Trine 5 garde la formule 2,5D (bouh le 3, bouh !), les environnements sont toujours magnifiques et le ton est le même, avec une thématique très steampunk ici. Le gameplay ne dépayse pas, bref si vous avez aimé la série, n'hésitez pas !
(fini en 24h avec tous les collectables)
Dreadz23 a dit (24 Novembre 2024 à 16:02)
J'ai abandonné au bout d'une heure. C'est très beau mais c'est aussi d'un ennui mortel, je somnolais avant d'arrêter le jeu ^^' L'univers avait l'air chouette mais l'histoire ne suscite aucun intérêt chez moi.
Dreadz23 a dit (24 Novembre 2024 à 13:39)
C'est mignon mais c'est très basique. Je comprends le message du jeu : on néglige l'importance de la cuisine en famille quand on est enfant et on s'en rend compte souvent tard. C'était chouette de découvrir des recettes indiennes, ça m'a même donné faim. Mais globalement, on s'ennuie. J'ai l'impression d'avoir passé 80% du temps a cliquer juste pour passer les dialogues. Le passage qui m'a le plus blasé, c'est quand le fils écrit des SMS, on ne clique que pour les envoyer T.T Enfin bon, je pense que j'en attendais trop. Je suis contente de l'avoir eu en promo car ça faisait cher pour deux heures de jeu.
Franz26 a dit (24 Novembre 2024 à 09:04)
BIOSHOCK 2 + DLC (17/20)
Bioshock 2 se déroule 8 ans après les évènements relatés dans le premier opus, et les développeurs proposent un changement de point de vue radical : nous voici cette fois dans la peau d’un protecteur ! Dès l’introduction, le sujet Delta tente de défendre sa petite sœur, Eleanor Lamb, face à des hordes de chrosômes. Sofia Lamb, mère de la fillette et obscure psychologue au demeurant, intervient et nous invite au suicide. Conditionné, notre avatar s’exécute sans rechigner, clôturant ainsi ce préambule de manière brutale.
Nouvelle ellipse temporelle ; Delta se réveille miraculeusement en vie 10 ans plus tard, toujours dans la citée sous-marine de Rapture qui sombre lentement mais surement. Notre bourreau contrôle désormais la ville déchue et séquestre l’enfant chéri, devenue adolescente. Débute alors une rédemption sanglante aux airs d’opération de sauvetage désespérée.
Rassurez-vous, cette review ne sera pas aussi complète que la précédente. Non pas que Bioshock 2 ne mérite pas son quota de caractères élogieux, mais simplement parce qu’il se repose largement sur les acquis de son prédécesseur. En soit les titres restent donc fondamentalement similaires, à commencer par le terrain de jeu : l’intrigante ville de Rapture. C’est avec délice que l’on poursuit l’exploration de la citée sous-marine, malfamée et emplie de chrosômes peu enclins au dialogue. L’ambiance et l’immersion se révèlent fidèles à elles-mêmes, malgré un level design un poil plus brouillon, et jouissent d’une direction artistique grandiloquente. Si l’on troque les baptistères par un Tramway antique, le schéma consiste toujours à vous engouffrer dans l’antre du mal tout en perçant de nouveaux mystères.
Malgré votre statut de protecteur la finalité reste identique : réduire à néant les menaces vous barrant la route en utilisant à bon escient armes et plasmides. La gestion de ces derniers se voit légèrement simplifiée afin de ne pas alourdir inutilement l’aspect gestion du jeu, encore une fois prédominant. Car dans Bioshock 2 votre habilité seule ne suffit pas, et il faut veiller à upgrader ses armes, gérer ses munitions, ses objets de soins, s’équiper des fortifiants adaptés à son style de jeu, etc… Rien de bien nouveau, le système a fait ses preuves dans la première itération de la saga.
Une idée de gameplay bien précise apporte toutefois un vrai plus à l’expérience. Comme dans le premier volet, des protecteurs pacifiques (du moins tant que l’on n’ouvre pas le feu sur eux) escortent les petites sœurs dans les couloirs de Rapture. Nous l’avions déjà évoqué, l’intérêt pour le joueur réside dans la dose d’Adam à récupérer malgré le déclenchement d’un affrontement âpre. Un fluide toujours aussi précieux, nécessaire à l’amélioration/acquisition de vos pouvoirs psychiques. La victoire en poche, le choix de sauver la gamine ou d’exploiter son Adam jusqu’à la lie se pose à nouveau. Si vous chérissez la voie du bienfaiteur, la petite vous accompagnera afin récolter davantage d’Adam sur des cadavres atypiques. Durant ce laps de temps, il faut la protéger des vagues de chrosômes attirés par l’opération : le stress monte ainsi crescendo ! Il atteint son paroxysme lorsque, une fois toutes les fillettes du niveau déposées indemnes dans les conduits d’aération, la « grande sœur » arrive en trombe tel un Némésis de l’enfer ! Encore plus menaçantes, ces versions féminines de « Big Daddy », outre le rôle qu’elles jouent dans l’histoire, apportent un vrai sursaut de challenge et d’immersion. A ce propos, je ne comprends toujours pas l’équilibrage des dernières heures de jeu, bien trop riches en munitions et en items curatifs. Je chipote, mais la tension jusqu’alors parfaitement maitrisée en prend un coup.
On passera rapidement sur la technique de ce remaster, qui profite d’un lifting sans grande ambition pour retranscrire au mieux l’incroyable direction artistique de Rapture. Bioshock 2 peut aussi, comme son prédécesseur, s’appuyer sur une ambiance sonore exceptionnelle. A noter un abus de sonorité angoissantes parfois très intrusives, et un doublage VF un ton moins juste. Pas de quoi remettre en question le constat d’ensemble très qualitatif.
Quant à la durée de vie du titre, il faut compter sur le DLC « l’antre de Minerve » pour égaler le contenu de son prédécesseur. Cette quête additionnelle comprise dans la compilation PS4 mérite largement le détour, tant pour son apport scénaristique que pour quelques phases de jeu vraiment marquantes ! Un régal venant prolonger une expérience amendée de plusieurs fins en fonction de votre bienveillance envers les petites filles, mais aussi avec certains PNJs majeurs qui vous l’ont pourtant mise profond.
A travers le scaphandre d’un emblématique protecteur, cette seconde virée sous-marine dans les tréfonds de Rapture prend aux tripes ! Evidemment l’effet de surprise n’y est plus, mais les petits ajouts de gameplay et l’univers vicié du titre justifient amplement l’investissement. Plus orienté action, cette suite s’offre un DLC d’envergure afin de former un tout cohérent ne trahissant point l’œuvre initiale. Véritable confirmation pour 2K Games et sa licence Bioshock, désormais enrichie d’un nouveau chef d’œuvre.
Dreadz23 a dit (21 Novembre 2024 à 15:30)
C'était chouette ce petit jeu ! Ca faisait un moment qu'il était dans ma wishlist et Netflix l'a proposé dans ses jeux gratuits donc nickel :D
z0rr0 a dit (20 Novembre 2024 à 19:11)
Vu la difficulté en mode normal ça ressemble à un free to play avec bien sur ta CB pas loin pour progresser + vite !
Heureusement c'est un jeu donné par Epic games ....... je comprends mieux ^^
...............
Aprés 93H de jeu (fini en mode normal , habit/fusil sniper)
Au début le jeu et vraiment , vraiment frustrant sans avoir la bonne arme et l'experience qui monte à 2 à l'heure , au bout de 30h le jeu commence à etre jouable et plus on progresse plus ça devient excellent !
Mais desenchantement pour la fin MEGA LOW COST aprés avoir passer une plombe sur le boss ^^
Bref ........ pour un jeu gratuit Epic Games c'est plutot pas mal
ça donne envie de prendre les 2 DLC , mais la je vais pas tomber dans le piege ^^
Passage en mode hardcore du mode aventure .....
Suite au prochain épisode
Aludarian a dit (20 Novembre 2024 à 10:29)
J'ai passé un très bon moment sur DA Veilguard. Bien qu'il n'ai pas été la claque qu'Inquisition à été pour moi, j'ai aimé ce jeu et je le trouve très bon.
- Les cinématiques sont très belles et graphiquement le jeu est beau. J'ai craint le côté cartoon pendant la création de personnage, mais une fois dans le jeu le tout s'harmonise. Je pense que le jeu vieillira moins vite.
-J'ai trouvé la plupart des compagnons attachants et intéressants, d'autres un peu moins. En tout cas, je trouve que la sensation d'esprit d'équipe est bien rendue.
-Rook était convaincant selon moi. Bien doublé, vivant. J'ai néanmoins le sentiment qu'il aurait pu être davantage approfondi. J'ai eu l'impression qu'Emmerich était le seul personnage à questionner le passé de Rook et ainsi à l'ancrer dans l'univers.
-J'ignore si c'est le cas des autres classes, mais je n'ai pas ressenti de montée en puissance de Rook en combat. Mais quelque part, cela sert le discours du personnage qui fait de son mieux avec les moyens du bord pour affronter quelque chose qui le dépasse.
- Le bestiaire est malheureusement très pauvre. On croise toujours les mêmes ennemis. Ce qui est un peu dommage. Mais en tant que joueuse de MMORPG, je n'ai pas été dérangée plus que cela.
-Les décors étaient variés et riches. Je n'ai pas été dérangée par le côté "couloir", bien que je sois habituée aux mondes ouverts. L'espace à explorer était suffisamment grand et complexe pour que je ne me sente pas étriquée. Honnêtement, je préfère un couloir avec un bon scénario et une sensation de vivant plutôt qu'un monde ouvert absolument vide comme Hogwarts Legacy.
En somme, c'est un très bon jeu selon moi, même s'il mériterait d'aller plus loin.
Manifael a dit (17 Novembre 2024 à 12:22)
House of Ashes est le 3e opus de The Dark Pictures Anthology. Une histoire qui a pris un tournant auquel je ne m'attendais pas du tout en le commençant et j'ai été agréablement surprise. Une nouvelle histoire extrêmement addictive mais plus trash que les 2 précédents. Ce n'est pas mon préféré mais j'ai adoré le faire. J'ai déjà hâte de découvrir le 4e opus !