Benben a dit (12 Mars 2025 à 09:30)
Ouah, en voilà une expérience ! Difficile de croire que Psychonauts n'a pas rencontré assez de succès pour devenir une franchise ultra lucrative tant ce premier volet comporte d'excellentes idées de gameplay et surtout, SURTOUT, de game-design mis au service du scénario !
Dans la peau de Razputin, Raz pour les intimes, réfugié dans un camp de vacances d'été pour enfants aux pouvoirs psychiques, le soft nous entraîne dans les méandres des esprits tourmentés d'un monde loufoque qui n'a rien à envier aux délires les plus psychédéliques de Tim Burton.
Au menu, visitons la psyché d'un peintre toréador et esquivons un taureau fou dans des ruelles décorées au couleurs du Día de Muertos, débloquons les frustrations d'une actrice en mettant en scène une pièce de théâtre dans son esprit, ou encore faisons gagner une bataille décisive contre Napoléon dans la mémoire d'un type qui se prend pour l'Empereur.
Le tout ayant pour but de sauver le monde, oui oui, car un vaste complot s'étend dans le camp de vacances, et Raz aura fort à faire pour aider ses amis dont les cerveaux ont été volés pour créer une arme de contrôle psychique !
Franchement, c'est l'éclate totale dans le déroulé du jeu : les situations sont toutes rocambolesques et variées, les personnages sont dingues à souhait, et l'humour décalé est omniprésent.
Bon par contre, la frustration qui te hante quand tu ne parviens pas à passer convenablement certains passages de plate-forme parce que la caméra est une atrocité... Et bien disons que cela ternit l'expérience et qu'on voit le chemin parcouru depuis 2006 en termes de jouabilité et maniabilité sur les jeux en 3D ! La difficulté ici étant d'appréhender correctement les distances, que ce soit pour effectuer un saut ou bien pour frapper un ennemi. Et cela ne fait qu'être encore pire sur certaines phases comme par exemple le boss-taureau sur lequel il faut envoyer des pics au petit bonheur la chance (oui les anti-corrida vous allez pleurer du sang mais attention en phase 2 il faut justement enlever les pics et les foutre dans le cul du toreador, match nul, balle au centre).
Pour mener à bien sa mission, Raz va débloquer tout un panel de pouvoirs : attaque à distance, pyrokinésie, double saut et planage, invisibilité, bouclier, possibilité de voir à travers les yeux de n'importe quel autre personnage (et c'est là qu'on voit toute la profondeur du lore quand on utilise ce pouvoir), télékinésie... Bref de quoi varier les plaisirs, même si souvent chaque situation ne pourra être résolue que d'une manière bien précise.
Une vraie petite pépite du jeu vidéo, pleine d'imagination et d'idées saugrenues, une bouffée d'air frais qui me donne maintenant envie de m'attaquer au second volet :)
Dreadz23 a dit (09 Mars 2025 à 23:50)
C'est mignon tout plein !
Simple mais efficace. J'espère un peu plus de difficulté, en revanche :)
Lady_Blue a dit (08 Mars 2025 à 12:58)
L'aventure est tellement diversifiée question petits casse tête et mini jeu qu'on ne s'ennuie pas et on ne voit pas le temps passer ! Un bonheur ce jeu, visuellement , musicalement et jouabilité c'est juste magnifique !!
Sunread26 a dit (06 Mars 2025 à 09:39)
Franz26 a dit (02 Mars 2025 à 13:04)
Désormais enrichi d’un généreux DLC et d’une version GOTY sur Playstation 5, je n’ai plus d’excuses pour repousser les réjouissances : il est grand temps de se lancer corps et âme dans Elden Ring ! Et après plus de 120 heures à arpenter l’Entre-Terre en long, en large et en travers, je peux désormais dresser un constat objectif sur le dernier Souls-Like de From Software. Voyons ensemble ce que la formule open-world apporte à la franchise phare de monsieur Miyazaki.
Passé la traditionnelle création de son avatar avec une classe de départ prédéfinie qui ne vous engage en rien tant vous aller pouvoir moduler vos statistiques par la suite, nous voici lâché dans l’Entre-Terre après une introduction toujours aussi nébuleuse. Simple pèlerin anonyme, sans-éclat exilé ayant perdu la grâce du cercle d’Elden, vous allez pourtant tenter de rétablir l’équilibre du royaume. Cette once d’espoir est conditionnée à une ambition colossale : devenir le nouveau seigneur d’Elden. Comme d’habitude, le lore du titre ne s’apprivoise pas facilement et beaucoup passeront à côté d’un background aussi dense qu’obscur. Mais ce n’est point l’heure de consulter wiki et vidéos pour s’abreuver de théories complexes, non, concentrons-nous d’abord sur nos premiers pas… qui se terminent brutalement. Un décès prématuré aux airs de déjà-vu, annonçant la couleur : nous sommes bien dans un Souls mes aïeux !
Malgré cet échec précoce inévitable, notre avatar sort vite de son confinement initial et un panorama gigantesque à la beauté artistique quasi divine se dévoile devant nos yeux ébahis. Du premier point de grâce disponible le sentiment de liberté donne le vertige ! L’arbre monde, si loin et si proche à la fois, illumine ainsi l’arrière-plan de sa démesure enivrante. L’appel de l’aventure bat son plein, avec comme seul repère l’horizon et une carte épurée, emplie d’un brouillard de guerre mystérieux.
Entrons directement dans le gras du sujet : le gigantisme du terrain de jeu. Loin d’être un amateur de mondes ouverts et des mécaniques qu’ils induisent, la proposition de From Software m’a littéralement fasciné. C’est bien simple, je pense qu’en matière d’immersion et d’exploration, Elden Ring se place un cran au-dessus de toutes mes expériences de joueur ! Ayant une manette en main depuis que mon zizi se dresse, et affublé dans quelques mois du statut de quadragénaire (big up mon Benben si tu me lis), je vous laisse mesurer l’ampleur du constat.
Bien évidemment ses prédécesseurs avaient emboité le pas, et si la plupart des environnements d’Elden Ring n’atteignent pas le génie conceptuel d’un Dark Souls en matière de level design, ils se rattrapent sans mal par une direction artistique d’orfèvre couplée à une amplitude inédite. Je ne saurais référencer le nombre de claques reçues et les frissons dégagés par la découverte de lieux atypiques au cours de mon épopée. Le plus fou dans tout ça, c’est que certains environnements incroyables s’avèrent complètement optionnels ! On pense par exemple à l’ascenseur de la Sofia, dévoilant soudainement une zone souterraine hallucinante et jusqu’alors insoupçonnable ! Et ce genre d’exemple foisonne tant l’univers d’Elden Ring se veut vivant, riche et généreux en points d’intérêts. Jouant sur les reliefs et une verticalité saisissante, l’Entre-Terre regorge ainsi de secrets et récompense la curiosité. Bien évidemment, catacombes et autres sous-terrain lambda finissent par se ressembler, et le soin apporté aux donjons principaux contraste parfois avec le reste. Mais l’ensemble fait preuve d’une cohérence remarquable, hissant l’open world d’Elden Ring parmi les références du genre.
Baignant toujours dans une aura Dark Fantasy fortement inspirée de Berserk, l’ambiance dégagée nous happe dans un monde torturé et déchiré, en proie à différents maux malsains. Les humains qui n’ont pas sombrés dans la folie survivent dans des cités ou forteresses en ruines, en vénérant encore quelques divinités obscures. Mais généralement la compagnie n’a rien d’humanoïde, et le bestiaire décharné d’Elden Ring garanti un sentiment d’insécurité permanent. Car l’exigence de la saga, bien que désormais biaisée par la liberté offerte et les détours possibles dès qu’un obstacle trop ardu se présente, est respectée : le moindre mob peut vous punir si vous foncez tête baissée ! La prudence et l’assimilation des patterns adverses sont donc la clé du succès, à condition de ne pas négliger la construction d’un build viable et cohérent, également indissociable à une progression sereine. Un terme un peu déplacé pour évoquer la souffrance qui vous attend face aux nombreux boss du jeu. Certains se dévoilant sans préavis, hors donjons, alors que l’escapade initiale semblait safe. A la vue de leur nombre, proportionnel au contenu du jeu, on n’échappe pas au recyclage et à ce petit effet de redondance malheureux. Mais certains valent clairement le détour, tant pour leur originalité, leur design ou leur animation exceptionnelle. En résulte des affrontements mémorables et sanglants, portant la tension à son paroxysme et offrant un sentiment d’accomplissement rare une fois l’adversaire occis… après maintes tentatives ! Bien que l’habitué de la franchise n’aura pas de peine à s’assoir sur le trône d’Elden, non sans quelques gouttes de sueurs inévitables.
Désormais se sont des runes qui officient comme points d’expérience et vous permettent d’upgrader vos statistiques, réparties en plusieurs catégories : vitalité, endurance, esprit, agilité, etc… Vous connaissez la routine : ne pas s’éparpiller pour se concentrer sur une ou deux spécialités, et s’équiper en conséquence avec des armes indexant leurs dégâts sur vos critères privilégiés. Le gameplay ne change donc guère par rapport à un Soul traditionnel. Parmi les évolutions notables on relèvera la possibilité d’invoquer des esprits et de les améliorer tout au long de l’aventure, de sauter via une touche dédiée - enfin ! -, et surtout de se promener ou combattre avec son fier destrier céleste. Compagnon de route bien pratique, ce dernier se matérialise à loisir et en un éclair afin de vous faire profiter de sa vitesse et son agilité, au demeurant fort utile pour accéder à quelques lieux trop abrupts.
Elden Ring fait aussi la part belle au loot, et vous allez ramasser des objets en pagaille ! La plupart inutiles, puisque une fois fixé sur un build on a tendance à s’enfermer dans une routine de gameplay, on s’attachera néanmoins à tout récupérer en espérant tomber sur l’équipement parfait, la pierre de forge manquante ou un bonus de rune louable. La fabrication d’objets ne m’aura également servi qu’à de rares occasions, et le système de jeu d’Elden Ring reste finalement aussi classique qu’efficace. Une continuité au service d’un équilibre parfait, calibré pour cette nouvelle expérience en monde ouvert.
Un monde où la beauté artistique se matérialise à l’écran grâce à une réalisation de qualité. Si le titre de From Software n’atteint pas encore le rendu technique des gros triples A de sa génération, il n’en reste pas moins très impressionnant. Malgré quelques textures un peu vieillottes, l’Entre-Terre fourmille de détails et régale nos mirettes. On saluera les magnifiques jeux de lumières, notamment ce cycle jour/nuit renversant, mais surtout l’animation bluffante du bestiaire. Un point sur lequel Elden Ring règne en maitre.
La diversité des environnements assure un dépaysement unique et un voyage tout aussi inoubliable. Périple dont vous êtes acteur certes, mais qui ne tourne pas autour de votre avatar. Car le monde d’Elden Ring vit et mouvemente en toute autonomie, si bien qu’il est encore trop facile de passer à côté de nombreuses quêtes de PNJs. Un aspect qui m’a toujours un peu frustré.
Revenons sur l’atmosphère incroyable d’Elden Ring, déjà évoquée plus haut dans ce texte qui commence à s’éterniser. Ami lecteur, au singulier, courage. Tu en vois le bout ! La variété des environnements donne le ton : de la vaste Nécrolimbe orientale aux terres arides de Caelid, en passant par les marécages de Lirunia ou le plateau enneigé d’Atlus, chaque zone se reconnaît visuellement d’un coup d’œil et dégage une ambiance spécifique. Mais le point commun reste évidemment cette sensation d’oppression construite autour des innombrables dangers que recèle l’Entre-Terre. Pourtant, un semblant de quiétude contemplative ne manquera pas de titiller vos sens de temps à autre, déclenché par une pate artiste exceptionnelle et un gigantisme, je me répète, grisant. Des émotions bien évidemment transcendées par la bande son.
Car oui, avant de conclure il ne faudrait pas oublier l’apport des magnifiques thèmes composés pour l’occasion. Souvent discrets et mélancoliques pour laisser les bruitages ambiants accompagner au mieux l’exploration, ils prennent régulièrement une dimension épique, biblique même, lors des joutes magistrales contre les boss majeurs. Un régal, couplé à un doublage VO irréprochable.
DLC : Shadow of The Erdtree
Il faudrait voir à ne pas l’oublier celui-là ! Pourtant on ne s’éternisera pas, puisque ce DLC vient tout simplement prolonger avec maestria l’expérience de jeu initiale. Au programme : de nouvelles zones magnifiques, des boss incroyables, des armes inédites, d’intrigants PNJs, etc… Bref, de quoi s’offrir une petite trentaine d’heures supplémentaires de bonheur. Ce royaume des ombres n’étant accessible que vers la fin du jeu, les développeurs ont dû trouver un concept pour appuyer davantage la difficulté sans déséquilibrer l’aventure principale. Ainsi, un système de collectibles particuliers, applicable uniquement dans ce nouveau monde, vient compléter la montée en puissance de votre avatar.
Avant de conclure, faut-il vraiment aborder la durée de vie du jeu ? Dantesque, vous n’en doutez pas. Et si Elden Ring, malgré tout son génie conceptuel, n’échappe pas à quelques ficelles répétitives des mondes ouverts, il s’impose comme un modèle du genre et apporte à la saga une dimension inédite. Véritable consécration pour From Software, probablement la fin d’un cycle aussi, le succès planétaire d’Elden Ring n’est pas usurpé. Suite spirituelle et ambitieuse des Souls, il en ressort un périple marquant conduit par une direction artistique d’exception et un design majestueux. Marque de fabrique de la saga, ici transcendée par un monde ouvert dans lequel on a envie de se perdre tout en y relevant d’innombrables défis. De là à dire qu’il s’agit de l’aboutissement de la franchise, il n’y a qu’un pas. Un pur chef d’œuvre.
Sunread26 a dit (27 Février 2025 à 22:24)
http://sunread26.wordpress.com/2025/02/27/one-piece-world-seeker/
Benben a dit (25 Février 2025 à 11:33)
En optant pour une vue de côté dans un Prince of Persia, Ubisoft fait le choix avec "The Lost Crown" de renouer avec le passé, ce qui est raccord avec le scénario du jeu d'ailleurs. Tout en proposant une nouveauté dans la saga, à savoir le style "Metroidvania" et son lot de pouvoirs à débloquer, de trésors cachés et d'allers-retours dépensés sans compter.
Et n'en déplaise aux haters du studio, Ubisoft signe ici un très grand jeu. Je comprend tout à fait qu'on puisse cracher sur Ubi qui nous a pendant trop longtemps pris pour des cons à grands coups de jeux pas finis, de copier/coller indigeste d'un titre interchangeable à l'autre, et même d'épilogue à acheter en plus du jeu de base (Prince of Persia 2008, never forget, never forgive).
Mais ici, avec "The Lost Crown" on retrouve un jeu sans bugs, sans DLC, et fignolé aux petits oignons. On passera juste sur le scénario, assez bateau et convenu même s'il révèle quelques surprises, afin de s'attarder sur le gameplay et la direction artistique qui sont fabuleux.
C'est simple, le dernier né de la licence "Prince of Persia" joue dans la même cour que '"Hollow Knight" ou bien "Metroid : Dead". Fluide, nerveux, rythmé, emmené par un level design inspiré aux phases de plate-formes dantesques (certaines, optionnelles, sont d'une difficulté sans nom), chaque session de jeu est un régal, et le sentiment d'accomplissement nous met un calotte en pleine face sans arrêt.
Le protagoniste, Sargon, pourra s'équiper de différentes amulettes afin d'obtenir divers bonus, et dépenser trésors et cristaux pour acheter des améliorations pour ses armes, ses potions, etc... de manière très classique, il obtiendra de nouveaux pouvoirs au fil de l'aventure, et de manière surprenante, le double-saut ne sera accessible qu'en dernier. Choix judicieux, permettant de mieux mettre en avant les pouvoirs originaux du soft, comme le fait de pouvoir placer une ombre dans une zone afin de pouvoir téléporter son corps vers cette ombre au moment idoine. Utile pour esquiver certains pièges ou résoudre des puzzles.
Très punitif dans les combats (et les dégâts environnementaux), le jeu m'a obligé à ranger ma fierté. Débuté en mode "Héros" j'ai du revenir au mode "Normal" vers le milieu de ma progression tant certains passages étaient retors. Le laps de temps pour parer un coup est très limité et une parade ratée signifie une barre de vie bien entamée ! Reste l'esquive mais celle-ci ne fait pas monter la jauge d'Artha, sorte de barre de rage qui une fois remplie permet d'activer des coups spéciaux.
Un mot sur la direction artistique, qui prend le parti pris visuel influencé par "Spider-Man into the Spider-Verse" ou bien "League of Legends" tout en lorgnant, côté animation, sur les animés japonais.
"The Lost Crown" mérite tout plein d'éloges, et comme beaucoup de bons jeux, injustement boudés, n'aura pas eu le succès qui aurait du être le sien.
Mijak a dit (23 Février 2025 à 16:04)
Un jeu que j'ai pris un peu par hasard et à reculons, car j'ai une certaine aversion pour la licence "Marvel". Mais j'adore les RPG tactiques, donc bon...
Et j'ai bien fait de m'y lancer, car même s'il garde ce ton très "Marvel" (l'humour, la légèreté dans les conflits qui concernent le monde entier, les blagues, les persos sympathique et agaçants), il reste un RPG tactique, donc avec un système RPG assez poussé (craft de compétences, amélioration, expérience, objets...), et surtout un gameplay combat très plaisant.
Celui-ci se passe sur des zones moyennement étendues, mais libres (pas un damier), et le tour par tour concerne le joueur, pas le personnage. C'est un jeu de cartes, et avec votre main (pioche, défausse - du classique), vous pouvez parfois faire jouer plusieurs fois (ou seulement) un personnage dans le tour. Seule les "actions" sont limitées, mais peu importe qui les effectue, ça dépend de votre main (la pioche mélange les decks des trois persos en jeu).
Côté RPG, on incarne donc Hunter, et dans le hub (l'abbaye, on explore (vaste map champêtre), on craft, on sélectionne les missions...) on va être amené à développer nos relations avec nos camarades super-héros (l'aspect naturel des interactions est très bien géré), réorganiser les decks des personnages, et accomplir ou être inclus dans diverses activités visant à acquérir de nouvelles compétences (dont les doublons permettront l'amélioration). Hélas, il y a beaucoup de choses, et souvent on s'y perd (cueillir des plantes, activer les sceaux, mener les recherches, les missions héroïques, les entraînements, caresser Charlie, améliorer chaque atelier...). Pour cela, des ressources variées, récupérées en mission ou au hasard de notre exploration. ça fait pas mal d'activités extra-martiales, alors qu'on est là pour sauver le monde.
Un jeu prenant donc. L'équipe des "Midnight Suns", constituée pour lutter contre Lilith (la méchante, bah ouais), rassemble plusieurs héros. des ados (Runaways), des adultes (Avengers), et quelques autres. Comme j'ai dit, le ton est léger, on est inquiet comme dans un Marvel, un peu mais on dirait pas. Les persos ont leur problématiques, les enjeux sont crédibles, les caractères sont bien différents, mais le gameplay combat est vraiment fun.
Je le conseille. Il n'est pas prise de tête (même s'il fait usine à gaz, rien de sa complexité n'est nécessaire pour jouer - la difficulté s'adapte et est changeable), et il est généreux. MEME SI !... il faut payer du vrai argent, lier son compte, etc., pour les skins légendaires. NO SHIT.
Merci le capitalisme.
(EDIT : fini en 90 heures en difficulté héroïque 2. Quelques heures de plus auraient été nécessaires pour maxer les capacités légendaires, mais le principal est fait.)
Mijak a dit (20 Février 2025 à 19:35)
Fait 2 fois avec des amis, terminé en 5h environ. Du puzzle plate-forme minimaliste, bien frustrant mais très drôle et très varié.