Ma Reum

L'humour de ce film est digne de celui d'une cours de récré, c'est mauvais et on en tire à peine du leçon sur le harcélement - qui est un sujet grave et important à traiter.
À noter aussi que la scène de violence parentale aurait largement pu être évitée (elle est relativement choquante pour un film qui se destine à un jeune public).

Merci Mathilde pour ce commentaire dont je partage chaque point. je rajouterai juste que le film perd même l'occasion de se rattraper dans son final, qui préfère la facilité du larmoyant à la réalité du harcèlement vécu par les enfants.
Et que dire de cette scène de maltraitance... C'est difficilement soutenable, et le fait qu'elle soit pensée comme quelque chose de "drôle" l'est tout autant

Mon Dieu, quelle déception... Je ne sais pas si je dois rire ou pleurer, on commence par de la grossophobie, du harcèlement scolaire (qui n'a pas été exploité comme il se doit alors que c'est quelque chose qui demande qu'on s'y attarde encore plus à l'heure actuelle), de la maltraitance des parents envers les enfants, et Audrey Lamy... que dire ?
Bref, il n'y a pas grand chose à tirer de ce film... Les 5 derniers minutes du film sont les plus belles mais faut déjà tenir jusque là :D

Que penser de ce film ? Il est risqué d'aborder à tel point le harcèlement scolaire même si on se rend compte qu'au final le film n'est pas si décevant que ça. Les 10 dernières minutes sont belles. J'ai bien aimé la référence à Taken. Malgré ça, l'humour était un peu lourd...

rolala le navet.. de pire en pire.
Je m'attendais à pas grand chose j'ai été servie.
Il y a juste le final qui est bien

Même pas tenu jusque la fin, c'est bien moisi

Très déçu du film. Beaucoup de choses que je n'apprécie pas du tout, je ne peux finir ce film.
Grossophobie : en appelant plusieurs fois "mon gros" l'enfant qui vole le goûter d'Arthur, "c'est qui ce boudin" en parlant d'une fille.
Harcèlement & violence contre les enfants bourreaux de son fils : faire une tarte à la merde pour que le bourreau de son fils la mange, laxatif dans boissons, épices dans cacahuètes, et élaboration d'un plan en faisant des recherches sur les enfants, diffusion d'images d'eux sur les réseaux sociaux sans leur accord.
Harcèlement scolaire : c'est même pas traité un minimum, alors que 1 enfant/10 est touché, ça fait 700 000 élèves qui en ont victimes chaque année.
Violence des parents contre enfants : Raphaël se fait gifler plusieurs fois d'affilié par ses 2 parents.