Un musicien en proie à l'insomnie est entraîné dans une odyssée avec une étrangère qui commence à démêler le cœur même de son existence. (Source : TMdb)
Maniéré et vide avec en prime (mais comme d'habitude) des changements de cadre qui ne servent à rien sinon à épater la galerie... Ça part dans tous les sens et ça n'a rien à dire !
Je pensais au début avoir à faire à un film profond qui allait nous raconter une histoire complexe. Spoiler alerte le film n'est pas profond et l'histoire n'est pas complexe. Ce n'est pas difficile car il n'y a pas d'histoire. On suit une star torturée... vous attendez autre chose ? Je peux vous dire que c'est tout. Il n'y a ni début ni milieu ni fin, il ne se passe rien. On a juste un enchainement de scène, certaines que j'ai quand même trouvé bien filmées, qui n'ont pas de sens et on a pas vraiment d'explication. J'ai eu l'impression de suivre un trip de the weeknd... car oui ça parle de the weeknd, joué par the weeknd avec la musique de the weeknd... ceci dit je peux vous dire que j'ai été épatée (non pas par son jeu d'acteur) mais par ses dents qui sont d'une blancheur inégalable (oui j'ai remarqué ça). Et puis c'est quoi cet enchainement de scène ? On a une scène très foncée puis bam un flash de lumière puis ça redevient sombre puis bam encore de la lumière et bam on passe à une autre scène. Point positif the weeknd chante bien, après à la base j'aime ses musiques (peut-être devrait-il rester dans la musique et arrêter de jouer des rôles de chanteur torturé comme il avait aussi fait dans the idole). Bon Jenna Ortega joue assez bien. Après je ne peux pas donner mon avis sur son personnage je ne l'ai pas compris... Peut-être je ne suis pas assez intelligente pour comprendre ce film et ce qu'il a voulu nous raconter... où alors ils ont tous pris je ne sais quoi avant, pendant et après le tournage... je penche clairement pour la deuxième option.
Si j'étais mesquin, je ne commenterai qu'avec un pépère qui rigole mais je préfère pondre un pavé qui, je l'espère, finira en tube radio sur NRJ.
Assez peu familier de l'univers musical de The Weekend, j'ai découvert un titre grâce a ce film qui répétait en boucle "I just want to die" et l'artiste saisit là le sentiment principal qui se dégage devant le film.
Et encore, film, c'est un grand mot, on est clairement sur un projet expérimental qui consiste à nous plonger malgré nous dans la psyché de The Weekend donc, un artiste planétaire au coeur brisé qui galère a revenir sur les rails après s'être fait visiblement jeter comme une serpillère pleine de vomi au baptême du neveu.
Un projet casse gueule, vomitif tant le réalisateur semble nous montrer qu'une caméra peut tourner sur son axe mais aussi autour des personnages puisque ce style compose un plan sur deux la première moitié. L'autre moitié étant composé de bruits, que ce soit visuel ou sonores. Un film idéal quelque part pour tester son système de home cinéma tant ça fuse de toute part.
Jenna Ortega est là pour faire un coucou et nous apprendre que, malgré l'ambiance musicale assez festive du répertoire de the SamediDimanche, les paroles montrent que le bonhomme est un peu triste et torturé. Une analyse musicale digne d'un Philippe Manoeuvre sur M6, on a rarement pris le spectateur autant pour un con.
Bref vous l'aurez compris, Hurry Up tomorrow, c'est the Weekend qui refuse de voir un psy mais préfère nous consulter, nous autres curieux de cinéma, afin de nous dire que c'est pas bien facile d'être connu, que son âme est écorchée et que nous autres, ignares, on danse sur ses maux sans prêter attention à ses mots.
Une horreur donc qui rappelle la série The Idol où là aussi the Weekend était grave relou. Je ne suis donc toujours pas réconcilié avec le bonhomme. Sauvez Jenna Ortega des projets foireux, éloignez Weekend du cinéma et on s'en portera tous bien mieux.
Maniéré et vide avec en prime (mais comme d'habitude) des changements de cadre qui ne servent à rien sinon à épater la galerie... Ça part dans tous les sens et ça n'a rien à dire !
Un trip égocentrique qui ressemble à un clip étiré sur 1h45 ...
Je pensais au début avoir à faire à un film profond qui allait nous raconter une histoire complexe. Spoiler alerte le film n'est pas profond et l'histoire n'est pas complexe. Ce n'est pas difficile car il n'y a pas d'histoire. On suit une star torturée... vous attendez autre chose ? Je peux vous dire que c'est tout. Il n'y a ni début ni milieu ni fin, il ne se passe rien. On a juste un enchainement de scène, certaines que j'ai quand même trouvé bien filmées, qui n'ont pas de sens et on a pas vraiment d'explication. J'ai eu l'impression de suivre un trip de the weeknd... car oui ça parle de the weeknd, joué par the weeknd avec la musique de the weeknd... ceci dit je peux vous dire que j'ai été épatée (non pas par son jeu d'acteur) mais par ses dents qui sont d'une blancheur inégalable (oui j'ai remarqué ça). Et puis c'est quoi cet enchainement de scène ? On a une scène très foncée puis bam un flash de lumière puis ça redevient sombre puis bam encore de la lumière et bam on passe à une autre scène. Point positif the weeknd chante bien, après à la base j'aime ses musiques (peut-être devrait-il rester dans la musique et arrêter de jouer des rôles de chanteur torturé comme il avait aussi fait dans the idole). Bon Jenna Ortega joue assez bien. Après je ne peux pas donner mon avis sur son personnage je ne l'ai pas compris... Peut-être je ne suis pas assez intelligente pour comprendre ce film et ce qu'il a voulu nous raconter... où alors ils ont tous pris je ne sais quoi avant, pendant et après le tournage... je penche clairement pour la deuxième option.
Si j'étais mesquin, je ne commenterai qu'avec un pépère qui rigole mais je préfère pondre un pavé qui, je l'espère, finira en tube radio sur NRJ.
Assez peu familier de l'univers musical de The Weekend, j'ai découvert un titre grâce a ce film qui répétait en boucle "I just want to die" et l'artiste saisit là le sentiment principal qui se dégage devant le film.
Et encore, film, c'est un grand mot, on est clairement sur un projet expérimental qui consiste à nous plonger malgré nous dans la psyché de The Weekend donc, un artiste planétaire au coeur brisé qui galère a revenir sur les rails après s'être fait visiblement jeter comme une serpillère pleine de vomi au baptême du neveu.
Un projet casse gueule, vomitif tant le réalisateur semble nous montrer qu'une caméra peut tourner sur son axe mais aussi autour des personnages puisque ce style compose un plan sur deux la première moitié. L'autre moitié étant composé de bruits, que ce soit visuel ou sonores. Un film idéal quelque part pour tester son système de home cinéma tant ça fuse de toute part.
Jenna Ortega est là pour faire un coucou et nous apprendre que, malgré l'ambiance musicale assez festive du répertoire de the SamediDimanche, les paroles montrent que le bonhomme est un peu triste et torturé. Une analyse musicale digne d'un Philippe Manoeuvre sur M6, on a rarement pris le spectateur autant pour un con.
Bref vous l'aurez compris, Hurry Up tomorrow, c'est the Weekend qui refuse de voir un psy mais préfère nous consulter, nous autres curieux de cinéma, afin de nous dire que c'est pas bien facile d'être connu, que son âme est écorchée et que nous autres, ignares, on danse sur ses maux sans prêter attention à ses mots.
Une horreur donc qui rappelle la série The Idol où là aussi the Weekend était grave relou. Je ne suis donc toujours pas réconcilié avec le bonhomme. Sauvez Jenna Ortega des projets foireux, éloignez Weekend du cinéma et on s'en portera tous bien mieux.