Takashi Yamazaki Takashi Yamazaki Ryunosuke Kamiki, Minami Hamabe, Yuki Yamada...
Suivant la Seconde Guerre mondiale et les bombardements d’Hiroshima et Nagasaki, le pays est encore meurtri de ces événements tragiques. Deuil et traumatismes affectent les japonais qui espèrent tant bien que mal reprendre une vie normale. C’est en pleine reconstruction que leurs espoirs sont anéantis par une nouvelle catastrophe surnaturelle. Les dommages atomiques causés par l’armée américaine ont éveillé un monstre qui s’apprête à détruire le pays tout entier, un certain Godzilla.
(Source : journaldugeek.com)
Ryunosuke KamikiRôle principal
Minami HamabeRôle secondaire
Yuki YamadaRôle secondaire
Hidetaka YoshiokaRôle tertiaire
Sakura AndoRôle tertiaire
Kuranosuke SasakiRôle tertiaire
Non renseigné
Merci à ziggystar qui a créé cette fiche
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Un chef-d'oeuvre !
Quel pied ! On pourra regretter quelques dialogues un peu téléphonés et un twist final un peu facile mais autrement on se prend une sacré déflagration dans nos mirettes !
Je vous laisse toute la surprise du dernier affrontement avec Godzilla, totalement dément !
Pour le budget du film ($15M je crois), la bestiole est hyper crédible, terrifiante, même angoissante hors cadre. Un film japonais qui met à l'amende tous les blockbusters américains récents qui peinent à nous impressionner malgré des investissement colossaux.
Un Godzilla comme on l'aime : à la japonaise !
Et pouvoir entendre le thème de Godzilla .... j'en tremble encore !!!
Tout ce qui est lié à la caractérisation de Godzilla est très réussi, les limites budgétaires sont à peine visibles, juste certains mouvements du monstre, mais ça ne le dénature jamais au contraire, d'autant que la musique épique, renvoie directement dans les années 50. Un bon ravalement de façade en somme, sans jamais perdre de vue ce qui a fait le charme du prototype Japonnais. Les scènes d'action n'inventent rien, mais elles sont bien foutues, à tel point que le film perd rapidement de sa saveur sans la présence du monstre. Le film est clairement coupé en deux, et même si le héros est philosophiquement relié à la créature, j'ai un peu moins apprécié la partie mélo sur la culpabilité (avec la guerre en toile de fond), il y a quelques gros passages à vide, avec une émotion qui ne passe pas toujours, un scénario prévisible, et des personnages un poil superficiels... mais heureusement, on échappe aux tentatives d'humour ridicules, très loin des superproductions Américaines actuelles, qui coûtent dix fois plus cher. Les ambitions sont ailleurs, donc ça restera à mes yeux, un bon film d'action.
Au fond le film ne vient que confirmer ce que nous savions déjà : Godzilla n'est qu'un fantasme monstrueux d'un Japon foudroyé en 1945. Ce qui est d'ailleurs évoqué explicitement dans la scène de la destruction de la ville. Tant qu'au Japon on se souviendra d'Hiroshima, le monstre sera toujours vivant...
Magré ses métaphores aussi pataudes qu'un kaiju lâché en pleine ville, Godzilla Minus One est un film d'action exceptionnel dans la maîtrise de sa tension. Il déborde d'idées de mise en scène pour rendre son monstre inquiétant et le destin des personnages incertain.
Du grand cinéma, du grand divertissement, un grand film en somme !
Très sympa ! Un peu longuet, mais un bon côté rétro vintage et surtout des personnages évoluant autour de Godzilla très réussis (ce sur quoi avait largement échoué les derniers films américains.)
Le protagoniste est un personnage hanté par la guerre et par ses échecs personnels, bouffé par le désir de rester en vie en alternance avec des pulsions de mort. Il y a un très bon travail autour de l'après-guerre et la reconstruction personnelle.