Clarissa en résidence à la Fondation Ludovico, se livre à l'écriture de son prochain roman, assistée de Dalloway, une intelligence artificielle qui lui est dévouée. Au fur et à mesure de l'écriture Dalloway fait preuve d'un zèle trop troublant... (Source : themoviedb)
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Non renseigné
Merci à LN31 qui a créé cette fiche
Le film assène ses platitudes sur l’écriture, les névroses, l’IA, avec une lourdeur et une naïveté désespérantes.
Tout le côté thriller paranoïaque est satisfaisant.
Le dénouement ne l'est pas, par contre, il se contente d'enfoncer des portes ouvertes. De manière générale, le film est bien trop sage et convenu.
Il manque aussi tout un volet sur l'aspect santé mental, qui est seulement esquissé, alors qu'il semble pourtant au cœur de cette histoire. Ça m'a donné l'impression d'un souci d'adaptation du roman à l'origine de ce film (que je n'ai pas lu, donc pas moyen de confirmer ou d'infirmer cette intuition). Un peu comme si on n'avait gardé que la partie IA, et qu'on avait voulu couper tout ce qui concernait [spoiler] le trouble bipolaire de la protagoniste. (D'ailleurs, j'ai pas eu l'impression que Cécile de France jouait un personnage bipolaire... juste paranoïaque, ce qui n'est qu'un symptôme parmi tous ceux concernant cette maladie.)
Bref, ça aurait mérité d'être mieux exploité scénaristiquement, et pas juste pour servir d'excuse à deux trois séquences hallucinatoires sorties d'on ne sait où. [/spoiler]
J'ai passé un bon moment, mais le film m'a paru incomplet.
Un film qui part d’une idée intéressante la place qu’une IA peut prendre dans nos vies mais qui s’étire trop et finit par perdre en intensité. La tension psychologique est bien installée au début, mais la suite devient confuse et répétitive. Cécile de France joue juste, mais le scénario manque de clarté. Bof, je me suis ennuyée sur une bonne partie.