Mike Nichols
Patrick Marber Julia Roberts, 
Jude Law, 
Natalie Portman...
Larry, médecin, aime Anna, photographe, qui le trompe avec Dan. Alice, stripteaseuse, aime Dan, écrivain et manipulateur, mais le trompe quand même avec Larry. À un niveau extrême, deux hommes et deux femmes vont jouer le jeu pervers de la séduction et du désir. Alternant manipulations et trahisons, ils entament un diabolique chassé-croisé amoureux dont personne ne sortira indemne.
Julia RobertsRôle principal
Jude LawRôle principal
Natalie PortmanRôle principal
Clive OwenRôle principal
Merci à baba qui a créé cette fiche
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Les dialogues sont énormes ^^
Oué assez, mais à part ça... Puis elle est trop plate Padmé. ^^
Enormes les dialogues !!
J'ai apprécié une chose : le film parle sensiblement de trahison, de tromperie, d'amour passionnel, de sexe, de fantasme.. Et pourtant on ne voit aucune scène de sexe. Pas une seule. On nous laisse l'imagination entres chaques ellipses !
Véritable démonstration du mal du siècle, la confrontation entre le désir, les sentiments, et un narcissisme malsain. En cela ce film rejoint un peu l'impression que j'ai eue avec Blue Valentine, c'est à dire un manuel d'instructions de ce qu'il ne faut pas faire dans sa vie sentimentale.
Servi par des dialogues très bien écrits et superbement interprétés, le film passe tout seul et nous fait passer de la pitié au mépris pour ses protagonistes. On peut même essayer d'y trouver différents niveaux de lecture, par exemple par le biais du personnage d'Alice, qui pourrait être une représentation mystique du désir, ou une sorte d'ange gardien (compliment qui lui est adressé dans le film d'ailleurs), dont l'intervention sera riche en enseignements pour les trois enfants (cf la plaque dans le square) qu'elle aura sauvé d'une maison en feu...
Bref, un beau film qui s'est hélas un peu noyé dans le flot des comédies dramatiques/romantiques, mais mérite mieux que cela.
Un casting au top pour un film assez insupportable, la faute aux dialogues improbables dans la bouche de personnages qui sont censés être la représentation de gens lambdas. On ressent trop la provenance des dialogues, à savoir le théâtre ce qui nuit toute crédibilité à l'oeuvre.