Planté par sa fiancée à l’aéroport, Bruno s’envole seul pour une semaine dans un club de vacances All Inclusive aux Caraïbes. Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, il va devoir partager sa chambre avec Jean-Paul Cisse, éternel célibataire très envahissant…
Avec Lulu, retraitée et veuve très open, Caroline, Manon et Sonia, trois copines venues enterrer le divorce de la première et Edouard Laurent, le directeur du Club Caraïbes Princess, les deux vacanciers ne sont pas prêts d’oublier leur séjour sous le soleil des cocotiers.
(Source : Allociné)
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Apparition
Merci à Jeff6250 qui a créé cette fiche
Scénario : 2/4
Acteurs/Personnages : 2/4
Ambiance/Univers : 3/4
Visuel : 2/4
Son/Musique : 2/4
10 parce que il est rare que je ne mette pas la moyenne à un fin pour le principe & le travail fait.
C'est pas le grand film à voir ... ça se regarde mais sans plus.
J'ai mis 6 car c'est le nombre de fois où j'ai ris..
Ce film correspond bien à ce ce que peut être un NAVET...
C'est pas un film.
Est-ce que vous pensez qu'on puisse faire un recours collectif pour récupérer nos impôts qui ont servi au financement du film ?
Ce qui est génial avec ce type de films, c'est qu'ils peuvent toujours creuser plus loin vers la nullité :).
Pathétique !
Au même niveau que l'affiche.
Ou comment faires passer en film des vacances au soleil...
Une crise de couple, lorsque la routine s’installe et que plus rien ne semble capable de ranimer la flamme… Une situation absurde à l’aéroport pour servir de déclic et c’est parti pour une intrigue qui paraissait intéressante…
Malheureusement, après une introduction assez efficace, le film peine à tenir ses promesses. L’intrigue s’étiole rapidement, les enjeux s’effacent, et un ennui tenace s’installe. Le découpage en journées successives, censé rythmer le récit, produit finalement l’effet inverse : il accentue la sensation de répétition, comme si l’on vivait la même journée peu inspirée encore et encore.