Alors que Peter se rapproche de Gen, son ex, qui vit une période difficile, Lara Jean débute une correspondance avec John Ambrose McClaren, l'un des cinq garçons à qui elle a écrit et qui a fini par lui écrire en retour après avoir reçu sa lettre. La relation naissante entre Lara Jean et Peter va-t-elle être mise à mal par ce nouveau prétendant potentiel ?
(Source : Allociné)
Adapté du livre Les amours de Lara Jean, tome 2 : P.S. Je t'aime toujours... de Jenny Han
Rôle principal
Rôle principal
Rôle principal
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle secondaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Rôle tertiaire
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Petit rôle
Merci à Lmf qui a créé cette fiche
Inutile ce film.
J'ai été beaucoup moins enthousiaste que pour le premier opus mais en même temps, le film renferme une certaine "logique" de la comédie romantique. Je n'ai pas détesté. J'ai passé un bon moment mais c'est malheureusement "oubliable".
fidèle au livre, je regarderai le troisième avec plaisir.
Aussi bien que le 1 : même sans la surprise du pitch fort des lettres, deuxième partie oblige, les personnages continuent de gagner en profondeur, mention spéciale à Glen, les relations se créent ou se renforcent, très beau
J'adore la petite soeur qui se la joue Amélie Poulain, mais du coup je n'ai pas compris ce qu'on faisait de la personne qui venait toquer à la fin de la première partie (ç'a été effacé pour faire celle-ci ?)
Moins bien que le premier; Lara Jean fait un peu chieuse... la conclusion est trop vite amenée, en 10mn le film est plié
Après quand tu as Noah Centimeo en copain tu chipotes pas hahaha
Autant le premier était sympa et rafraîchissant autant celui là je l'ai trouvé long, niais au possible et assez ennuyeux ! Lara Jean m'a agacé pendant tout le film...
Ah là là mais elle se cause des problèmes toute seule cette enfant !! -.-'
Bref, me suis un peu ennuyée et Lara Jean m'a saoulée les 90% du film. Pourquoi les comédies romantiques ne s'arrêtent plus quand le couple se met ensemble ? Comme avant ? Où sont passées les comédies romantiques des 1990s et 2000s ?? x)
Comme quoi, revoir les films est toujours intéressant. Je l'avais pas du tout aimé en le voyant le jour j de la sortie, adorant e premier que j'ai vu au moins 5 fois, et adorant également les livres, quand j'ai vu que le dernier film sortait je l'ai revu et bah, je devais vraiment être de mauvaise humeur le premier jour..
Car même si il n'égalera jamais le premier, il reste mignonnet et doux, prévisible certes mais se regarde tout seul. Hâte du dernier qui risque de nous faire tomber beaucoup de larmiches !
Le premier volet était déjà un concentré de mièvrerie lycéenne à base de lettres d’amour et de quiproquos dignes d’une fanfic Wattpad sous calmants, mais là… on touche le fond du fond, en creusant à la pelle.
Le titre nous promet une déclaration d’amour, mais c’est surtout une lettre d’excuse qu’on attend du scénario. Lara Jean passe tout le film à douter de tout et de tout le monde, comme si elle n’était pas au cœur d’une romance molle pré-écrite. C’est plat, c’est lent, on se croirait devant une de ses longues pubs sur YouTube.
Quant au triangle amoureux, parlons-en. Jamais une rivalité romantique n’a semblé aussi artificielle. On dirait que les personnages eux-mêmes ne croient pas à ce qu’ils sont en train de jouer. Peter est toujours aussi lisse, et John Ambrose, pourtant censé incarner le « doute romantique », a à peu près autant de charisme qu’un pot de yaourt oublié au fond du frigo.
Le vrai souci, c’est ce que ce film vend comme “romance”. Encore une fois, on est face à une vision hyper aseptisée et totalement irréaliste de l’amour adolescent, où la moindre difficulté est surjouée comme une tragédie grecque, et où l’héroïne est toujours trop douce, trop gentille, trop perdue — jamais maîtresse de ses choix, toujours en fonction des garçons qui gravitent autour d’elle.
On est en droit d’attendre autre chose que ce genre de modèle émotionnel passif, surtout quand de jeunes filles consomment ce type de contenu en boucle en y cherchant des repères.
En résumé : P.S. Je t’aime toujours ? Non. P.S. J’en peux plus. Une suite inutile, sans profondeur, qui recycle les pires clichés de la romcom adolescente tout en se donnant un air faussement introspectif.