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Key a dit (16 Juillet 2020 à 17:46)
Ça fait plaisir de tomber sur une bonne adaptation de livres ! J'ai retrouvé dans cette nouvelle adaptation d'Alex Rider tout ce que j'adorais dans les livres d'Anthony Horrowitz que je lisais plus jeune. Les modifications faites par rapport aux livres sont toujours pertinentes, les acteurs sont cool et on a enfin le droit à un Alex Rider british et crédible. On est bien loin de l'adaptation américaine blockbuster (et ratée) Stormbreaker ! Pour peu qu'on parvienne à utiliser la suspension d'incrédulité (bien sûr, tout n'est pas toujours crédible, on est dans une histoire où un ado de 16 ans devient espion pour les services secrets britanniques), on passe un super moment et les épisodes s'enchaînent facilement.
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12/ 20
Key a dit (11 Février 2020 à 22:31)
Une première saison kitsch, mal jouée, mal écrite, mal adaptée (le manque de fidélité n'est pas gênant mais le manque de cohérence fait vraiment tache). C'est chiant à regarder pour qui se satisfait un minimum d'utiliser son cerveau devant une série. Heureusement que les trois derniers épisodes relèvent un peu le niveau. L'univers d'Andrzej Sapkowski a été passé à la moulinette Netflix pour en faire une série de divertissement digne des années 2000. Le pire (ou heureusement ?) c'est que c'est assumé. On aurait pu avoir une grande série de fantasy, tant pis, on se contentera de ça.
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16/ 20
Key a dit (14 Janvier 2020 à 18:18)
Rolala, mais qui a parlé de passer six jours au lit ? Je veux bien qu'on critique mais il faut critiquer de façon constructive. Tu vois un personnage dans son lit au début d'un épisode, t'en déduis qu'il vient de passer six jours au lit ?
Ce n'est pas une série catastrophe, il n'y a pas eu de fusion du noyau terrestre, d'invasion alien, d'astéroïde qui a frappé la planète. La série est forte parce que réaliste : si la société, l'économie venaient à s'effondrer, ça arriverait progressivement et on réagirait tous de façon progressive. J+6 depuis le début de l'effondrement, ce n'est rien, la plupart des gens ont du continuer leur vie, s'inquiétant progressivement de ne plus voir de nourriture dans leur magasin, de ne plus avoir d'essence dans leur station service. Mais le personnage n'est pas la plupart des gens, il est riche, il a des gens pour lui faire ses courses, s'occuper de tout chez lui. Il n'y a rien d'incohérent à ce qu'il soit resté cloîtré dans sa grosse baraque sans se soucier du monde autour.
C'est justement ce décalage qui est amusant : quand les gens normaux font des heures de queue pour avoir quelques litres d'essence, lui n'a besoin de s'occuper de rien, il a tellement d'argent qu'il a souscrit à une assurance pour l'extirper de tout problème. Il a juste besoin d'enfiler son costard, d'attraper ses tableaux hors de prix et de s'enfuir, laissant derrière lui sa bonne, son chauffeur et sa maîtresse dont il se fiche totalement. C'est une critique très amusante des riches.
15/ 20
Key a dit (14 Janvier 2020 à 05:29)
J'ai rigolé quand la gamine dit à son père "Elle m'en a donné deux". En effet, l'actrice lui a donné deux gobelets, sans doute par erreur. Mais du coup, c'était intéressant de voir comment l'acteur qui joue le père a continué comme si de rien n'était. L'exercice du plan séquence est vraiment fascinant à regarder, on dirait une pièce de théâtre dont la représentation ne doit surtout pas cesser.
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17/ 20
Key a dit (14 Janvier 2020 à 05:26)
Épisode haletant au possible, on finirait presque par se sentir essoufflé aussi. Je suis toujours autant impressionnée par le travail de synchro que chaque épisode demande. C'est un vrai exercice de style et de réalisation que nous proposent Les Parasites.
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16/ 20
Key a dit (14 Janvier 2020 à 05:22)
C'est chouette d'avoir un point de vue depuis une maison de retraite. C'est toujours des lieux qu'on ne voit pas dans les scénarios catastrophes, à croire que les personnages âgées ne sont pas intéressantes quand le monde s'effondre. L'épisode est très touchant.
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16/ 20
Key a dit (14 Janvier 2020 à 05:20)
Le point fort de la série est justement de ne pas dire qu'il y a eu une catastrophe énorme. On ne sait pas ce qu'il y a eu, ils parlent pour l'instant juste d'un effondrement (sous entendu de la société, de l'économie ?). Pour l'instant, on sait juste que cet effondrement impacte les approvisionnements dans les magasins et les stations services qui sont donc en pénurie (épisodes 1 et 2), ainsi que l'électricité dans on ne sait quelle mesure. Puisqu'il n'est pas non plus dit qu'il n'y a plus d'électricité nulle part, sa bonne dit juste qu'il n'y a plus d'électricité, mais on ne sait pas si elle parle de la maison, de la ville, de partout...
Je ne trouve pas spécialement étonnant qu'un homme aussi riche soit autant en décalage avec la réalité. Bien sûr qu'il a sans doute passé ses derniers jours à roucouler avec sa maîtresse sans se préoccuper du monde, il est riche. Quand sa femme de ménage réunit sa famille pour faire des réserves, lui ne pense qu'à son aspirateur automatique et à sauver ses tableaux qui valent des millions...
J'ai trouvé l'épisode très bon, comme les deux précédents, le travail de synchronisation de tout ça est fou.
12/ 20
Key a dit (08 Janvier 2020 à 00:38)
Globalement, j'ai plus apprécié cet épisode parce qu'enfin les histoires de Yen et Geralt sont réunies et qu'on se perd donc moins dans des storylines. Pas fan du design du dragon non plus, il ressemblait trop à un vautour doré, mais on le voit peu de toute façon, donc ça passe. Cependant, tout va encore trop vite, il est clair à la fin de l'épisode que Geralt et Yen se sont revus depuis l'épisode du djinn et on met beaucoup trop de temps à le comprendre pour que leurs réactions, leurs sentiments et leur attachement l'un envers l'autre coulent de source.
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12/ 20
Key a dit (08 Janvier 2020 à 00:20)
On vous rappelle que l'espace des commentaires est fait pour donner vos avis sur les épisodes et non pour insulter, dénigrer ou demander à des gens qui ne sont pas d'accord avec vos avis d'arrêter de regarder la série.
Du reste, je suis entièrement d'accord que si une adaptation peut être libre tout en restant qualitative, ce n'est pas du tout le cas de The Witcher qui est une mauvaise adaptation : et pas mauvaise parce que non fidèle, mais mauvaise parce que ne rendant pas du tout justice à l'œuvre de base et parce que prenant des libertés qui ne servent ni l'histoire, ni la compréhension, ni la qualité de la série.
10/ 20
Key a dit (02 Janvier 2020 à 00:15)
Trop difficile pour moi de passer de la qualité d'écriture des livres et des jeux à un scénario si pauvrement adapté et à des dialogues si creux. On se tape de la parlotte inutile tandis que des faits importants sont sous-traités et bâclés. Cet épisode est censé être l'un des plus importants car il lie le destin de Ciri et Geralt. Dans le livre, on comprend très bien les enjeux de la nouvelle. Ici, le ton n'est pas juste, à commencer par Geralt qui semble n'en avoir rien à secouer.
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