Mijak a dit (10 Mars 2024 à 13:05)
Incroyable, l'animation, l'ambiance, la façon dont tout s'enchaîne parfaitement, donnant une impression de course effrénée vers la liberté. La thématique très dystopique, le côté technologique et le gamin, tout ça m'a fait penser à Akira un peu ; dans ce jeu on peut tout imaginer, le lore n'est pas raconté, on a un décor riche de plein de choses, et la fin, dérangeante, et tout aussi belle (elle est évidente, quand même, c'est un peu l'aboutissement de tout ce qu'on fait dans le jeu)
Concrètement, comme j'ai dit l'animation incroyable donne une sensation de course sans relâche, sans changement de zone ni rien ; tout est fait comme si on parcourait le jeu d'un bout à l'autre, sur le même écran. La plateforme est intégrée parfaitement au décor, parfois subtilement, et les parties puzzle sont assez intuitives (je n'ai été bloqué que 2 fois, sur des trucs idiots). Certains passages sont angoissants, demandent de la rapidité d'exécution ou quoi, mais ils sont peu nombreux et assez courts. On n'a moins ce côté trial & error qu'on peut retrouver, avec une angoisse accrue, dans Little Nightmares (que j'ai laissé tomber, ça me gonflait).
Vraiment, depuis le temps que je voulais y jouer, j'ai adoré. Je ferai Limbo du coup, que j'avais un peu testé à sa sortie, sans aller plus loin.
Boucky a dit (09 Mars 2024 à 19:21)
Je crois que c’est bien la première fois que je suis déçue d’un AC. Certes les graphismes sont toujours aussi beau, mais il n’y a aucune histoire. Le jeu se résume en une succession d’assassinats de gens dont on ne connaît rien du tout. Il n’y a quasiment aucune quêtes secondaires.
Tous les quartiers de Bagdad se ressemblent, et la map est est finalement très petite. J’ai tout de même bien aimé le retour aux sources où il vaut mieux privilégier la discrétion.
Enfin bref, j’ai trouvé le jeu plutôt ennuyant
Mijak a dit (08 Mars 2024 à 11:15)
Un système un peu différent où nos persos ne se déplacent plus individuellement sur le plateau, ce qui fait un peu moins jeu de société avec des pions. Moi et les gens avec qui j'y ai joué ont trouvé ça moins marrant du coup.
z0rr0 a dit (06 Mars 2024 à 10:48)
30H environ , fini à 70% , niveau 29
Le jeu est beau ...... c'est deja ça !
Sinon inférieure vu notre époque à Dead island et l'impression d'un jeu pas fini !
Dispo actuellement dans le game pass , ça m'etonne pas ;)
Mijak a dit (06 Mars 2024 à 02:13)
Je suis pas fan des roguelite, où on passe son temps à perdre et à recommencer. Quand j'ai l'impression de progresser ça va encore, mais là, quand on se donne du mal pour voir nos améliorations juste reset, c'est frustrant. C'est un de ces jeux où je fais des courtes sessions, je peux pas y rester longtemps tellement ça m'énerve à la longue. Faut que j'oublie un peu, du coup, et j'y reviens.
Mais très probablement je ne le finirai pas.
Mijak a dit (04 Mars 2024 à 14:07)
Un jeu de city building qui prend l'aspect presque d'un tétris par moments, libéré du stress et des considérations pécuniaires, comme un "Anno". On vous demande juste de placer des bâtiments de manière à avoir des points combos de certains autres (les maisons près des centres ville, les scieries près des bucherons... mais aussi des points négatifs pour certains), pour débloquer de nouveaux "paquets" de bâtiments et accumuler assez de points pour passer à l'île suivante. Le but est donc du scoring.
Visuellement, c'est assez minimaliste mais c'est coloré, et l'aspect esthétique est là. Vous vous apercevrez que au fil de votre placement, avec la logique des combos, votre île est bien sympa, quand même.
On se laisse prendre, on voit pas le temps passer, c'est facile, c'est de la réflexion, mais pas de blocage, juste le plaisir de voir notre île (ou archipel) se peupler.
Stépha Ne a dit (03 Mars 2024 à 08:38)
Attendu depuis longtemps je lui ai donné sa chance, 70h et saison 1 achetée mais trop c'est trop.
La campagne est vraiment mauvaise, passe encore on attend le end game mais là c'est vide de chez vide. A part faire 40x le tour de la map pour les manufactures qui prennent un temps de dingue, offrir un pseudo pvp avec une communauté déjà pourri, et quelques missions en coop où personne ne vient , je suis joie.
Le pompon avec une saison 1 qui mis à part nous faire cracher au bassinet n'offre rien.
Ubi vraiment de plus en plus décevant.
Dommage pour toutes vos licences que vous plombez par manque d'idées, de facilités ou de mauvais choix.
Mijak a dit (03 Mars 2024 à 02:27)
Pas terrible.
Un point & click qui n'invente rien. Assez moche, l'animation est de ce genre qui fait bouger le perso comme un mannequin au niveau des articulations. Les décors sont des lieux citadins très limités (ruelles, intérieur de bâtiments...), et le gameplay est le plus basique du point & click : pointer, cliquer, et un inventaire. C'est tout. Pas d'actions différentes, pas d'observations... et un doublage assez rare, ce qui fait que la plupart du jeu se fait en silence, avec une ambiance sonore.
Côté gameplay, si, allez, il y a cette mécanique du passage dans deux époques ; ainsi donc certains accès seront possibles dans une, puis la bascule retour pourra vous faire avancer, etc. Et certaines énigmes sont basées sur la logique du présent/futur (ce qu'un joueur d'Ocarina of time - ou tout autre titre exploitant cette mécanique - comprendra sans soucis).
davidco a dit (02 Mars 2024 à 18:14)
J'ai mis 2 fois plus de temps que la plupart des joueurs puisque j'ai effectué plusieurs sauvegardes et ai progressé sur 2 sauvegardes. La première, en sauvant 14 mudokons sur 28 et la 2ème en me donnant la peine de sauver la totalité des 28 mudokons du premier niveau. Durée moyenne de 38h de jeu après ma notation.
Norteim a dit (01 Mars 2024 à 01:32)
En installant Bioshock 2, après avoir terminé l'opus précédent, j'ai ressenti une légère appréhension. Sans douter pour autant douter du talent de 2K Games, il m'a semblé difficile de reproduire une expérience similaire à celle provoquée par ses premiers pas dans Rapture. Retourner dans la même cité sous-marin, une seconde fois, retrouver ces chèrs.es Chrosomes, utiliser le même type d'arsenal... Les développeurs allaient devoir redoubler d'efforts pour nous surprendre.
Les premières heures de jeu confirmèrent ce ressenti. On incarne certes un Protecteur mais les similitudes avec le Bioshock originel restent frappantes. Je n'abandonne pas mes jeux en cours de route, mais je me suis préparé mentalement à devoir affronter une expérience déjà connue et moins savoureuse que la précédente.
Puis, je suis arrivé au parc Ryan, et 2K Games m'a mis une claque. Une seconde fois.
L'effet de découverte est effectivement absent, mais le jeu ne cherche pas à récréer désespérément cette illusion. Il connaît ses points forts et prend le temps de les mettre en scène. Pourquoi se précipiter à dévoiler un trésor quand chaque rue de Rapture possède sa propre fortune ?
L'ambiance m'a semblé d'abord plus horrifique que dans l'opus précédent : j'ai eu la même sensation que dans l'antique Clinique Steinman mais sur la quasi-totalité du scénario. Les Chrosomes Plafonniers sont terrifiants et se permettent parfois les pires screamers. J'ai parfois eu le sentiment, devant certains moments particulièrement intenses ou devant le désign de certains ennemis, d'assister à une sorte de "pré-Outlast". On n'est pas sûr un jeu consacré entièrement à de l'horreur mais Rapture ne s'est pas améliorée depuis votre dernière visite.
Bien que l'antagoniste principale, la Dr Lamb, ne parvient à se hisser au même rang que les grandiloquents Fontaine ou Andrew Ryan, la galerie de personnage dans sa totalité - notamment celui d'Eleanor, qui donne la parole aux Glaneuses - et la forte quantité de magnétophones n'ont rien à envier au premier Bioshock. Le scénario ne repose plus entièrement sur l'échec du libéralisme - bien que la "Famille" collectiviste ne soit en réalité qu'une secte rendue permise à cause de l'idéologie précédente - mais sur la question du libre-arbitre qui permet une profonde réflexion à travers l'existence même des Protecteurs et des Petites Filles, déjà entamée dans la narration principale du premier jeu.
Les décors sont grandioses, mélangeant les ruines sacrifiée de Rapture, les vestiges du monde de Ryan ainsi que les semblants de communautés organisées par le Dr Lamb et ses alliés.es.
Une fois de plus, 2K Games nous livre un jeu profondément réflexif sur des questions inhérente à l'existence. Peut-on être libre ? Le bien commun prône-t-il sur l'individualité ? Bioshock 2 se présente comme le digne héritier de son prédécesseur et promet à la franchise un avenir brillant.