Michel Hazanavicius Jean-François Halin Jean Dujardin, 
Bérénice Bejo, Aure Atika...
Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d'espions.
Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l'ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117.
Source : Allociné
Adapté des romans de la saga OSS 117 (Jean Bruce)
Jean DujardinRôle principal
Bérénice BejoRôle secondaire
Aure AtikaRôle secondaire
Claude BrossetRôle secondaire
Laurent BateauRôle secondaire
Philippe LefebvreRôle tertiaire
Richard SammelRôle tertiaire
Arsène MoscaRôle tertiaire
Saïd AmadisRôle tertiaire
François DamiensPetit rôle
Merci à gon17 qui a créé cette fiche
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J'ai trouvé ce film bien lourd et trop peu drôle. Et contrairement à ce que je pensais, le jeu de Jean Dujardin enfonce encore plus le film... Bah, vu les notes ça doit venir de moi.
J'ai souri sans jamais vraiment rire, j'ai trouvé ça un peu lourd aussi, pas trop mon humour je crois...
Je lui ai redonné une chance, prêt à lui mettre un point chaque fois qu'il me ferait sourire... quite à surnoter, peur de rien. Aucun risque finalement. Le score était tellement bas que je l'ai même doublé.
Et puis s'il me fallait encore une raison pour ne pas aimer Bérénice Béjo et ses répliques mal récitées...
Je n'ai pas pu regarder jusqu'à la fin. Les dialogues sont bons mais le scénario est mince. Dommage avec de tels bons acteurs.
Habile.
Culte, tout simplement. Car la blanquette est bonne.
Bien rigolo, à condition de réussir à adhérer à l'humour (soit tout seul, soit grâce à des amis qui connaissent). De nombreux petits détails intelligents.
Ce film est une ode aux films des années 60, naïfs et ordinairement racistes, bourrés de clichés. Hazanavicius les parodie habilement, et Jean Dujardin excelle dans son rôle (comprendre qu'il joue très bien le con).
"J'adore me beurrer la biscotte"
En tous cas on peut dire que le soviet éponge!