Claude Berri Claude Berri et Gérard Brach 
Gérard Depardieu, Daniel Auteuil, Yves Montand...
Petit et laid, Ugolin, le dernier des Soubeyran, revient du service militaire. Il retrouve son oncle, le Papet, à qui il dévoile son projet : rester au pays pour cultiver des œillets. Convaincu que l'affaire peut être rentable, le Papet accepte de financer l'entreprise. Il faut donc trouver une terre, ensoleillée bien sûr mais surtout bien arrosée. Celle de Pique-Bouffigue ferait l'affaire. Le Papet tente, en vain, de convaincre le vieillard irascible de lui céder son bien. Celui-ci perd la vie dans le bref affrontement qui s'ensuit. À la surprise générale, un héritier se présente, Jean Cadoret, un bossu qu'accompagnent sa femme et sa fille…
Adapté du livre Jean de Florette de Marcel Pagnol
Gérard DepardieuRôle principal
Daniel AuteuilRôle principal
Yves MontandRôle principal
Élisabeth DepardieuRôle secondaire
Margarita LozanoRôle secondaire
Ernestine MazurownaRôle secondaire
Roger SouzaRôle tertiaire
Didier PainRôle tertiaire
Armand MeffreRôle tertiaire
Marc BettonRôle tertiaire
André DuponRôle tertiaire
Pierre NougaroRôle tertiaire
Jean MaurelPetit rôle
Marcel ChampelPetit rôle
FransinedApparition
Merci à gon17 qui a créé cette fiche
Suisse
Italie
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Deux comparses de la campagne vont boucher la source de leur nouveau voisin venu de la ville, afin de l’appauvrir et de ce fait lui racheter ses terres pour une bouchée de pain. La cupidité de l’aîné est sans pareille et enchaîne manigance sur manigance via son neveu, simple d’esprit mais tout aussi roublard. La peau du citadin bossu que revêt Gérard Depardieu, lui sied à merveille avec sa force de réciter le texte tel un personnage de théâtre. C’est à travers ses espérances et ses déchéances que l’on suit cette tragédie en plein cœur de la Provence. L’ambiance sent bon le sud de la France ; on entend les cigales chanter et le soleil sur notre peau. Mais sur ce fond bucolique, c’est l’humanité avec ses pires et meilleurs aspects qui est dépeinte à travers différents personnages authentiques. L’eau est la source de ce drame, à la fois sujet de convoitise et arme redoutable, mais aussi symbole d’humanité.
« C’est pas moi qui pleure, c’est mes yeux. »